Disc 1 | ||||||
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1. |
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2. |
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Des yeux qui font baiser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche Voila le portrait sans retouche De l'homme auquel j'appartiens Quand il me prend dans ses bras Il me parle tout bas je vois la vie en rose Il me dit des mots d'amour Des mots de tous les jours et ca me fait quelque chose Il est entre dans mon coeur Une part de bonheur dont je connais la cause C'est lui pour moi, moi pour lui dans la vie Il me l'a dit, l'a jure pour la vie Et des que je l'apercois Alors je sens en moi mon coeur qui bat Des nuits d'amour a ne plus en finir Un grand bonheur qui prend sa place Des enuis des chagrins, des phases Heureux, heureux a en mourir |
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3. |
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Il joue avec mon coeur,
Il triche avec ma vie Il dit des mots menteurs, Et moi je crois tout c'qu'il dit Les chansons qu'il me chante, Les res qu'il fait pour deux C'est comme les bonbons menthe, Ca fait du bien quand il pleut Je m'raconte des histoires, En outant sa voix C'est pas vrai ces histoires, Mais moi j'y crois.Mon mec moi, Il me parle d'aventures Et quand elles brillent dans ses yeux J'pourrais y passer la nuit Il parle d'amour, Comme il parle des voitures Et moi j'l'suis o il veut Tellement je crois tout c'qu'il m'dit Tellement je crois tout c'qu'il m'dit, oh oui, Mon mec moi...Sa fa?n d're moi, Sans jamais dire je t'aime C'est rien qu'du cina, Mais c'est du pareil au me Ce film en noir et blanc, Qu'il m'a jou deux cents fois C'est Gabin et Morgan, Enfin ressemble tout j'm'raconte des histoires, Des scarios chinois C'est pas vrai ces histoires, Mais moi j'y croisMon mec moi, Il me parle d'aventures Et quand elles brillent dans ses yeux J'pourrais y passer la nuit Il parle d'amour, Comme il parle des voitures Et moi j'l'suis o il veut Tellement je crois tout c'qu'il m'dit Tellement je crois tout c'qu'il m'dit, oh oui, Mon mec moi...Mon mec moi, Il me parle d'aventures Et quand elles brillent dans ses yeux J'pourrais y passer la nuit Il parle d'amour, Comme il parle des voitures Et moi j'l'suis o il veut Tellement je crois tout c'qu'il m'dit Tellement je crois tout c'qu'il m'dit, oh oui, Mon mec moi...Mon mec moi, Il me parle d'aventures Et quand elles brillent dans ses yeux J'pourrais y passer la nuit Il parle d'amour, Comme il parle des voitures Et moi j'l'suis o il veut Tellement je crois tout c'qu'il m'dit Tellement je crois tout c'qu'il m'dit, oh oui, Mon mec moi... |
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4. |
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Mourir devant, courir derriere
Se taire en attendant En attendant que faut-il faire Gagner la guerre ou simplement Ne plus vouloir la faire Dans cet enfer gagner du temps Cacher dans un desert Derriere l'ocean Les gens qui nous sont chers Partir pour un moment S'eloigner prudemment Du feu et faire Aux iles du Levant L'amour devant la mer L'amour devant la mer Danser devant dans la lumiere D'un jour eblouissant Rire de l'enfer faire un enfant Courir derriere un peu de vent Avant qu'un peu de terre Coule doucement Sur la lumiere |
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5. |
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Les hommes qui passent Maman M'envoient toujours des cartes postales Des Bahamas Maman Les hommes qui passent tout l'temps Sont musiciens artistes peintres ou com |
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6. |
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7. |
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Des enfants qui s`elancent.
Une meme apparence. Des eclats de soleil. Des rayons d`innocence. Avant la prudence. Avant la malchance. Des enfants pareils. Y-a-t`il un sort,un signe. Est-ce un doigt qui designe. Celle ou celui qui va. Renoncer pas a pas. Comment qui sont-ils. Ces gens trop fragiles.qui ne savent pas. Vivre quand tout lache,quand tout casse,quand tout clash. Quand tout est blues ont sali ta raison,ta maison,tes saisons. Quand tout est sombre,plus rien n`est doux. J`ai peur de tout.Si ma vie je l`invente. Legere et insouciante. Je les croise au hasard. Dans les rues dans les bars. Fatigues,dociles. Ailleurs immobiles. Je ressens tout ca,tout ce froid. Cette intime fracture. Cette lezarde au mur. Je la sais,elle est la. Toutjours au fond de moi. Et parfois je coule. Comme une pierre qui runle. Qui roule si bas,. Si bas...quand tout lache,quand tout casse,quand tout clash. Quand tout est blues ont sali ta raison,ta maison,tes saisons. Quand tout est sombre,plus rien n`est doux. Quand j`ai peur de tout.Si j`avais pu m`enfermer dans tes bras. M`enfermer,me proteger. Mais ou es-tu dans ces moments-la. Qui pourrait m`apaiser?J`ai peur de tout.Vivre quand tout lache,quand tout casse,quand tout clash. Quand tout est blues ont sali ta raison,ta maison,tes saisons. Quand tout est sombre,plus rien n`est doux. J`ai peur de tout. J`ai peur de tout. Si peur de tout. Si peur de tout est blues ont sali ta raison,ta maison,tes saisons. Quand tout est sombre,plus rien n`est doux. Et parfois je coule. Comme une pierre qui roule. J`ai peur de tout. J`ai peur de tout. J`ai peur de tout. |
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8. |
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Quand la nuit renonce incognito
L'ombre me laisse en lambeaux La lumiere embrasse enfin ma peau Me remplit de tendresse, de chaud J'apprends a revivre entre clair et sombre Sans toi le monde est moins beau Je me souviens de rien Le temps m'emporte un peu loin Tout m'entraine et s'envolent Un par un mes chagrins Les souvenirs, ceux que la lumiere eteint Des que la nuit revient, je me souviens trop bien Mes amis, mes doux, mes beaux amis Ouh, me caressent des yeux, de mots Moi je promets, je souris tant que j'oublie Je prends, ces secondes en cadeau J'ai tant voyage de ruines en decombres J'ai la memoire un peu floue Je me souviens de rien Le temps m'emporte un peu loin Tout m'entraine et s'envolent Un par un mes chagrins Les souvenirs, ceux que la lumiere eteint Des que la nuit revient, je me souviens trop bien Je me redecouvre enfin toute entiere Avant je n'etais que nous Je me souviens de rien Le temps m'emporte un peu loin Tout m'entraine et s'envolent Les visages, les parfums Les souvenirs, ceux que la lumiere eteint Des que la nuit revient, je me souviens trop bien |
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9. |
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Et quand le temps se lasse
De n'être que tué Plus une seconde passe, Dans les vies d'uniformité Quand de peine en méfiance, De larmes en plus jamais Puis de dépit endéfiance, On apprend à se résigner Viennent les heures sombres, Où tout peut enfin s'allumer Ou quand les vies ne sont plus qu'ombres Restent nos rêves à inventerRefrainIl me dit que je suis belle Et qu'il n'attendait que moi Il me dit que je suis celle Juste faite pour ses bras Il parle comme on caresse De mots qui n'existent pas De toujours et de tendresse Et je n'entends que sa voix Des mensonges et des bêtises Qu'un enfant ne croirait pas Mais les nuits sont mes églises Et dans mes rêves, j'y croisEviter les regards, prendre cet air absent Celui qu'ont les gens sur les boul'vards Cet air qui les rend transparents Apprendre à tourner les yeux Devant les gens qui s'aiment Eviter tous ceux qui marchent à deux Ceux qui s'embrassent à perdre haleine Y a-t-il un soir, un moment Où l'on se dit c'est plus pour moi Tous les mots doux, les coups de sang, Mais dans mes rêves, j'y ai droitRefrainIl me dit que je suis belle Et qu'il n'attendait que moi Il me dit que je suis celle Juste faite pour ses bras Des mensonges et des bêtises Qu'un enfant ne croirait pas Mais les nuits sont mes églises Et dans mes rêves, j'y croisRefrainIl me dit que je suis belle... Je le vois courir vers moi Ses mains me frôlent et m'entraînent C'est beau comme au cinéma Plus de trahison, de peines Mon scénario n'en veut pas Il me dit que je suis reine Et pauvre de moi, j'y crois Hmm, pauvre de moi, j'y crois |
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10. |
| 2:47 | ||||
C'est le plus grand des voleurs,
Oui, mais c'est un gentleman. Il s'empar' de vos valeurs Sans vous menacer d'une arm'. Quand il detrouss' une femm', Il lui fait porter des fleurs. Gentleman cambrioleur Est un grand seigneur. Il viens chez vous la nuit Sans deranger votre sommeil. Il decroche sans bruit Le tableau achete la veill', Puis avant de partir, Apres ses coupables travaux, Il laisse un mot sur le piano. C'est le plus grand des voleurs, Oui, mais c'est un gentleman Et chaque femme a son heure Reve de voir son visag'. De l'actrice a la danceuse Et l'epouse la meilleur', Gentleman cambrioleur A gagne le cœur. |
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11. |
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12. |
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Arrête de pleurer Babelou
Sur I'argent qui vant plus un clou Arrête de dire que t'es toute seule Ici c'est chacun pour sa gueule Arrête de rêver qu'tu déprimes C'est vrai qu'tu débordes de ton jean Autour de toi tout I'monde s'en fout Arrête de pleurer Babelou. Regarde les riches Ils sont coifiés comme leur caniche Regarde les riches lls roulent en Rolls sur la comiche Regarde les riches Ils parlent pas l'anglais mais l'english Regarde les riches L'important c'est tout c'qu'ils affichent Les riches. Arrête de chanter Babelou Ce blues les banlieues qui rend fou Arrête de ramer pour personne Tu vois pas qu'on t'prend pour une conne Arrête de lire Ici-Paris Faudra r'tourner bosser lundi Ton blues à toi tout l'monde s'en fout Arrête de chanter Babelou Regarde les riches Tout c'que tu aimes ils trouvent ça kitch Regarde les riches lls boivent leur café en irish Regarde les riches lls ont l'argent mais pas d'artiche Regarde les riches L'important c'est tout c'qu'ils affichent Les riches. Regarde les riches lls sont coiffés comme leur caniche Regarde les riches lls roulent en Rolls sur la comiche Regarde les riches lls mordent jamais dans leur sandwich Regarde les riches L'important c'est tout c'qu'ils affichent. Regarde les riches lls sont coiffés comme leur caniche Regarde les riches lls roulent en Rolls sur la comiche Regarde les riches lls mordent jamais dans leur sandwich Regarde les riches L'important c'est tout c'qu'ils affichent Les riches. |
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13. |
| 4:12 | ||||
Je suis pas comme Rose Kennedy
J'voudrais pas que mes fils cheis Deviennent plus tard quelle folie Prident des Etats-Unis. Elle s'appelait Kennedy Rose Mais dites-moi quelle meamorphose A fait d'une si jolie rose Une dame pour qui ses fils osent De toute leur vie faire un dei De toute leur vie faire un dei. Je suis pas comme Rose Kennedy J'voudrais pas que mes fils cheis Deviennent plus tard quelle folie Preident des Etats-Unis. Rose Rose Mais quelle est la cause Il a d?se passer quelque chose Elle s'appelait Kennedy Rose C ait une jolie p'tite ville rose Ses fils cheis de l'Ameique Auraient pu faire de la musique Des sciences ou des matheatiques Au iieu de n'ere que dei. Je suis pas comme Rose Kennedy J'voudrais pas que mes fils cheis Deviennent plus tard quelle folie Preident des Etats-Unis. |
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14. |
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Quand t'as laisse de ta jeunesse Derriere les barreaux d'une prison Parce que t'avais eu d'la tendresse Pour une bagnole ou un blousonQuand t'as laiss |
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15. |
| 5:23 | ||||
Y'en a qui élèvent des gosses au fond des hlm
Y'en a qui roulent leurs bosses du Brésil en Ukraine Y'en a qui font la noce du côté d'Angoulême Et y'en a qui en peuvent plus de jouer les sex symbols Y'en a qui vendent l'amour au fond de leur bagnole Mademoiselle chante le blues Soyez pas trop jalouses Mademoiselle boit du rouge Mademoiselle chante le blues Y'en a huit heures par jour qui tapent sur des machines Y'en a qui font la cour masculine féminine Y'en a qui lèchent les bottes comme on lèche des vitrines Et y'en a même qui font du cinéma, qu'on appellent Marilyn Mais Marilyn Dubois s'ra jamais Norma Jean Faut pas croire que l'talent c'est tout c'qu'on s'imagine Elle a du gospel dans la voix et elle y croit Y'en a qui s'font bonne soeur, avocat, pharmacienne Y'en a qui ont tout dit quand elles ont dit je t'aime Y'en a qui sont vieilles filles du côté d'Angoulême Y'en a même qui jouent femmes libérées Petit joint et gardénal qui mélangent vie en rose et image d'Epinal Qui veulent se faire du bien sans jamais s'faire du mal |
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16. |
| 8:16 | ||||
J'ai bu le sable du desert
Assoiffee de trop de mirages Le soleil sur ma peau N'a laisse que des mots Chavirer des galeres Pour renaitre en naufrage Casser des vers, tourner les pages J'ai vu leurer sur la riviere Trop de sirenes a deux visages Le soleil sur ma peau A seche les sanglots Meloigner sur la mer Partir a l'abordage Ou m'endormir sur le rivage Ou est le vrai Ou est mon chemin Qui dit faux Quel est mon destin Chaque carrefour Creuse mes mains J'ai croise des boules de cristal Tirees par d'etranges chevaux Le soleil sur leur dos Dessinait des oiseaux Cueillir les fleurs du mal Boire un cafe au marc fatal Oh, je changerai demain Les lignes de nos mains Et pourtant si tu m'aimes encore Ensemble nous briserons les sorts |
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17. |
| 6:22 | ||||
Derniers instants restez encore
N'abandonnez pas cet enfant qui dort Ne laissez pas les assoiffes de sang Avoir raison des mirages de l'age d'or Ca m'derange Quand on dit qu'on se venge Ca m'derange Les hommes, les femmes, les anges Pleurez canon De la beaute ne reste rien Rien qu'un nom sans prenom Dans ma chair Saignent les eclats De vos convoitises Et mon cœur se bat Contre vos betises Dans ma chair Monte un SOS Un signal de tendresse Plus fort qu'un vacarme Qu'enfin se taisent les armes Assez coule de larmes Touchez pas a la vie N'entendez-vous pas monter ce cri Dans ma chair Pouquoi l'histoire Perd toujours la memoire Boucle sans fin Toujours la meme refrain Absolution un peu trop facile Que faut-il pour qu'en fin L'on soit futiles Ca m'derange Quand on dit qu'on se venge Ca m'derange Les hommes, les femmes, les anges Aucun animal Ne tue pour le mal |
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18. |
| 4:29 | ||||
Je voudrais la connaitre Savoir comment elle est Est-elle ou non bien faite Est-elle jolie, je voudrais Oh je voudrais la voir Longtemps, la regarder Connaitre son histoire Et son decor et son passe C'est etrange peut-etre Cette curiosite Voir enfin pour admettre Et pour ne plus imaginer Oh je voudrais comprendre Meme si ca me casse Puisqu'elle a su te prendre Puisqu'elle a pris ma place J'sais deja son parfum Aussi son ecriture Ce mot doux chiffonne Oublie dans notre voiture J'veux voir aussi l'hotel Si tu y as mis le prix Si la chambre etait belle Et si c'etait un grand lit C'est peut-etre pas normal C'est fou comme ca m'attire Cette envie d'avoir mal Oh jusqu'au bout, jusqu'a mourir Oh je voudrais tout savoir Et son age et sa peau Tout ce qui nous separe Et nous ressemble, c'est idiot Et te surprendre avec elle Quand t'es drole quand t'es doux T'ecouter lui promettre Et quand tu lui parles de nous Je veux te voir encore T'observer dans la glace Et quand tu l'embrasses Rentrer ton ventre oh matador Je veux vos corps a corps Tous ces gestes oublies Te retrouver encore Tel que je t'avais tant aime Dans ce froid dans ces cendres Je voudrais rester la Juste voir et comprendre Tout ce que je ne suis pas Hmm... ce que je ne suis pas Oh... ce que je ne suis pas |
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19. |
| 5:06 | ||||
Un beau jour, ou peut-?tre une nuit,
Pr?s d'un lac, je m'?tais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir, 어느 맑은 날, 아니면 밤이었던가, 나는 호수 부근에서 잠이 들고, 이때 갑자기 하늘이 갈라진듯, 어디선지 모르게 검은 독수리가 내쳐왔다. Lentement, les ailes d?ploy?es, Lentement, je le vis tournoyer, Pr?s de moi, dans un bruissement d'ailes, Comme tomb? du ciel, L'oiseau vint se poser, 천천히 날개를 펴고 천천히 선회하는 것을 봤는데 내 근처에 날갯짓 소리 내며 하늘에서 떨어진듯 새는 날아와 앉았다. Il avait, les yeux couleur rubis, Et des plumes couleur de la nuit, A son front, brillant de mille feux, L'oiseau roi couronn?, Portait un diamant bleu, 새의 눈은 루비 빛이고 깃은 밤의 색이이었다. 새의 이마에는 불꽃이 무수히 빛났다. 왕관을 쓴 새는 푸른 다이어먼드를 지니고 있었다. De son bec, il a touch? ma joue, Dans ma main, il a gliss? son cou, C'est alors que je l'ai reconnu, Surgissant du pass?, Il m'?tait revenu, 새는 부리로 내 뺨을 건드리고 내 손에 목을 쓸고 내가 그 새를 알아보자 과거에서 홀연히 나타나 내게 돌아왔다. Dis l'oiseau, ? dis, emm?ne-moi, Retournons au pays d'autrefois, Comme avant, dans mes r?ves d'enfant, Pour cueillir, en tremblant, Des ?toiles, des ?toiles, 새야 말하렴, 아 ! 말해 주렴, 나와 함께, 그 옛날의 나라로 돌아가자꾸나. 과거처럼, 내 아이적 꿈 속에서, 부르르 떨며 별들을, 별들을 따러 가자. Comme avant, dans mes r?ves d'enfant, Comme avant, sur un nuage blanc, Comme avant, allumer le soleil, Etre faiseur de pluie, Et faire des merveilles, 과거처럼, 내 아이적 꿈 속에서, 과거처럼, 하얀 구름 위에서, 과거처럼, 태양빛을 밝히고, 비 내리는 사람이 되어, 신비를 만들러 가자. L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes, Prit son vol, pour regagner le ciel, 검은 독수리는, 날개짓 소리 내며, 다시 창공을 지배하러 차고 올랐다. Un beau jour, ou peut-?tre une nuit, Pr?s d'un lac, je m'?tais endormie, Quand soudain, semblant crever le ciel, Et venant de nulle part, Surgit un aigle noir, 어느 맑은 날, 아니면 밤이었던가, 나는 호수 부근에서 잠이 들고, 이때 갑자기 하늘이 갈라진듯, 어느선지 모르게 검은 독수리가 내쳐왔다. Un beau jour, une nuit, Pr?s d'un lac, endormie, Quand soudain, Il venait de nulle part, Il surgit, l'aigle noir, 어느 맑은 날, 아니면 밤이었던가, 호수 부근에서 잠이 들고, 이때 갑자기 하늘이 갈라진듯, 어디선지 모르게 검은 독수리가 내쳐왔다. Un beau jour, une nuit, Pr?s d'un lac, endormie, Quand soudain, Il venait de nulle part, Surgit un aigle noir... 어느 맑은 날, 아니면 밤이었던가, 호수 부근에서 잠이 들고, 이때 갑자기 하늘이 갈라진듯, 어디선지 모르게 검은 독수리가 내쳐왔다. |
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20. |
| 3:55 | ||||
C'est une chanson simple que je te donne
Aussi facile qu'elle est tendre Tu sais ce sont parfois les mots trè simples Les plus difficiles à entendre Laisse-toi guider au bord des mots Et regarde au bout de tes pas Le gouffre profond où sont jetées Toutes ces phrases qu'on ne dit pas Tous nos silences je les pardonne Laisse-moi les ramener à la vie Par une chanson simple que je te donne Toi qui fus mon meilleur ami Depuis que les années ont passé Et l'avenir s'est embrumé Regarde nous deux devenus victimes D'être tombés entre les lignes Si chaque instant éveille le regret Si on n'se revoyait jamais Quand tu pens'ras à celle que tu aimais Souviens-toi que je vis en toi Souviens-toi que je lis en toi |