Disc 1 | ||||||
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1. |
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Tombe la neige
Tu ne viendras pas ce soir Tombe la neige Et mon coeur s'habille de noir Ce soyeux cortege Tout en larmes blanches L'oiseau sur la branche Pleure le sortilege Tu ne viendras pas ce soir Me crie mon désespoir Mais tombe la neige Impassible manege Tombe la neige Tu ne viendras pas ce soir Tombe la neige Tout est blanc de desespoir Triste certitude Le froid et l'absence Cet odieux silence Blanche solitude Tu ne viendras pas ce soir Me crie mon desespoir Mais tombe la neige Impassible manege |
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2. |
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Quand les roses fleurissaient,
sortaient les filles. On voyait dans tous les jardins danser les jupons. Puis les roses se fanaient, rentraient les filles pour passer dans leur doux ecrin le temps des flocons. C'etait charmant, c'etait charmant, c'etait charmant, le temps des roses, quand on y pense, paupieres closes. Mais les roses d'aujourd'hui sont artificielles, et les filles vont cueillir des fleurs ete comme hiver. Elles ne supportent plus l'ennui, ces demoiselles. Elles se griment le corps et le coeur et vont prendre l'air. |
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3. |
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Si je t'oublie pendant le jour
Je passe mes nuits a te maudire Et quand la lune se retire J'ai l'ame vide et le coeur lourd La nuit tu m'apparais immense Je tend les bras pour te saisir Mais tu prends un malin plaisir A te jouer de mes avances La nuit je deviens fou, je deviens fou Et puis ton rire fend le noir Et je ne sais plus ou chercher Quand tout se tait revient l'espoir Et je me reprends a t'aimer Tantot tu me reviens fugace Et tu m'appelles pour me narguer Mais chaque fois mon sang se glace Ton rire vient tout effacer La nuit je deviens fou, je deviens fou Le jour dissipe ton image Et tu repars, je ne sais ou Vers celui qui te tient en cage Celui qui va me rendre fou Le nuit je deviens fou, je deviens fou |
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4. |
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Je sais tout est fini
J'ai perdu ta confiance Neanmoins je te prie De m'accorder ma chance Si devant mon remords Tu restes indifferente On ne peut te donner tort Mais soit donc indulgente Au nom des joies Que nous avons vecues Au nom de l'amour Que nous croyons perdu Sans toi ma mie Le temps est si lourd Les heures et les jours Sombrent sans espoir Sans toi, ma mie Sans toi, ma mie Je vogue sans but Je vogue perdu Sous un ciel tout noir Comprends que dans les rues Tant de filles nous tentent Et leur air ingenu Nous torture et nous hante Aussi je viens vers toi Pour te confier ma voile Toi tu me guideras Tu es ma bonne etoile Sans toi, ma mie Le temps est si lourd Les heures et les jours Sombrent sans espoir Sans toi, ma mie |
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5. |
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Aujourd'hui, c'est le bal des gens bien.
Demoiselles, que vous etes jolies! Pas question de penser aux folies: les folies sont affaires de vauriens. On n'oublie pas les belles manieres, on demande au papa s'il permet; et comme il se mefie des gourmets, il vous passe la museliere. *Vous permettez, Monsieur, que j'emprunte votre fille? Et, bien qu'il me sourie, moi, je sens qu'il se mefie. Vous permettez, Monsieur? Nous promettons d'etre sages comme vous l'etiez a notre age juste avant le mariage. Bien qu'un metre environ nous separe, nous voguons par-dela les violons. On doit dire, entre nous, on se marre a les voir ajuster leurs lorgnons. *Repeat Que d'amour dans nos mains qui s'etreignent! Que d'elans vers ton coeur dans le mien! Le regard des parents, s'il retient, n'atteint pas la tendresse ou l'on baigne. *Repeat |
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6. |
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La la la la la la la
Paola, dolce Paola In un mio sogno Mi sono permesso Paola La mano tremante Ho sfiorato il suo viso Gli ho colto un sorriso Paola Dolce chimera Quando una sera Mi offri il suo sguardo Paola Nella sua maesta Ho visto in verita Una colomba fragile La la la la la la Paola, dolce Paola Paola, dolce Paola Paola Se hai visto gli occhi suoi Mancare tu non puoi Di farmi un mito Paola Conservo in fondo al cuore Come di un vago fiore La sua dolcezza La la la la la la la la la la la la la la la la la la la |
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7. |
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Notre histoire a commence
Par quelques mots d'amour C'est fou ce qu'on s'aimait Et c'est vrai tu m'as donne Les plus beaux de mes jours Mais je te les rendais Je t'ai confie sans pudeur Les secrets de mon coeur De chanson en chanson Et mes reves et mes je t'aime Le meilleur de moi-meme Jusqu'au moindre frisson C'est ma vie, c'est ma vie Je n'y peux rien C'est elle qui m'a choisi C'est ma vie C'est pas l'enfer, C'est pas l'paradis Ma candeur et mes vingt ans Avaient su t'emouvoir Je te couvrais de fleurs Mais quant a mon firmament J'ai vu des nuages noirs J'ai senti ta froideur Mes rires et mes larmes La pluie et le soleil C'est toi qui les regis Je suis sous ton charme Souvent tu m'emerveilles Mais parfois tu m'oublies C'est ma vie, c'est ma vie Je n'y peux rien C'est elle qui t'a choisi C'est ma vie C'est pas l'enfer, C'est pas l'paradis J'ai choisi des chaines Mes amours, mes amis Savent que tu me tiens Et devant toi, sur scene Je trouve ma patrie Dans tes bras, je suis bien Et le droit d'etre triste Quand parfois j'ai l'coeur gros Je te l'ai sacrifie Et devant toi j'existe Je gagne le gros lot Je me sens sublime C'est ma vie, c'est ma vie Je n'y peux rien C'est elle qui m'a choisi C'est ma vie C'est pas l'enfer, C'est pas l'paradis C'est ma vie, c'est ma vie Je n'y peux rien C'est elle qui m'a choisi C'est ma vie C'est pas l'enfe, C'est pas l'paradis. |
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8. |
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Dis n'est-ce pas merveilleux ?
La plage est la pour nous seuls Dis n'est-ce pas merveilleux ? La vague danse sur les ecueils Cette lune qui dort Dans un ciel tout en or Et ce vent qui nous berce N'est-ce pas merveilleux ? Et ta main dans la mienne Et ton coeur pres du mien L'eternelle rengaine C'est quand meme merveilleux Oui, c'est quand meme merveilleux Dis n'est-ce pas merveilleux ? Ecoute l'onde qui chante Dis, ferme les yeux Retiens l'heure presente Cette nuit de velours Et ce souffle d'amour Pour deux coeurs amoureux N'est-ce pas merveilleux ? Et si ce n'est qu'un reve Quelques images breves Il s'agit de nous deux C'est quand meme merveilleux C'est quand meme merveilleux C'est quand meme merveilleux |
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9. |
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Si jamais en un jour de cafard
Il te prenait soudain l'envie de me revoir Si jamais le regret te prend la main Suis-le n'hesite pas s'il te conduit vers moi Moi j'oublierais Le mal que tu m'as fait Je me tairais Pourvu que tu reviennes Si jamais Si jamais Tu pouvais comprendre Si jamais Que je reste a t'attendre Si jamais Viens, tu serais ma reine Si dans le souvenir de mes caresses Tu trouvais la tendresse Qui te manque aujourd'hui N'oublie pas qu'au bout d'une rue deserte Ma porte te reste ouverte Viens chasser mon ennui Moi j'oublierais Le mal que tu m'as fait Je me tairais Pourvu que tu reviennes Si jamais Si jamais Tu pouvais comprendre Si jamais Que je reste a t'attendre Si jamais Viens, tu serais ma reine Si jamais Si jamais La, la, la, la, la Si jamais Si jamais La, la, la, la, la |
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10. |
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Sois pas fachee si je te chante les souvenirs de mes 15 ans
Ne boude pas si tu es absente de mes reveries d'adolescent Ces amourettes insignifiantes ont prepare un grand amour Et c'est pourquoi je te les chante et les presente tour a tour Mais laisse mes mains sur tes hanches Ne fais pas ces yeux furibonds Oui tu l'auras ta revanche tu seras ma derniere chanson Dans chaque fille que j'ai connue c'est un peu toi que je cherchais Quand dans mes bras je t' ai tenue moi je tremblais je comprenais Que tu est sortie d'une fable pour venir habiter mon reve Et ce serait bien regrettable que notre amour ainsi s'acheve Oui se serai bien regrettable que notre amour ainsi s'acheve Mais laisse mes mains sur tes hanches Ne fais pas ces yeux furibonds Oui tu l'auras ta revanche tu seras ma derniere chanson Laisse mes mains sur tes hanches Ne fais pas ces yeux furibonds Oui tu l'auras ta revanche tu seras ma derniere chanson La la la la la la la ... |
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11. |
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Allons les copains je ne sors quand meme pas de taule
Tendez-moi vos mains, tapez-moi sur l'epaule Vos regards sont si froids qu'ils me desarment et m'accablent Comme si de je ne sais quoi, vous me rendiez coupable On cherche son destin quand on trouve on s'accroche Moi j'ai suivi le mien ou m'a mene le coche Et je vis en chantant, un peu sous tous les porches C'est vrai, j'ai de d'argent, est-ce la votre reproche ? On paiera chacun son tour comme toujours Comme toujours, comme toujours Allons les copains je ne suis pas un autre On m'habille chez machin, mais je suis toujours des votres Avant de retrouver les scenes et les studios J'ai voulu m'enivrer de l'air du vieux bistrot Ou venaient les copains sans avoir rendez-vous Ou je venais certain de trouver l'un de vous On paiera chacun son tour Comme toujours, comme toujours Comme toujours ! Comme toujours ! |
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12. |
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J'aime quand le vent nous taquine
Quand il joue dans tes cheveux Quand tu te fais ballerine Pour le suivre a pas gracieux J'aime quand tu reviens ravie Pour te jeter a mon cou Quand tu te fais petite fille Pour t'asseoir sur mes genoux J'aime le calme crepuscule Quand il s'installe a pas de loup Mais j'aime a esperer credule Qu'il s'embraserait pour nous J'aime ta main qui me rassure Quand je me perds dans le noir Et ta voix elle murmure De la source de l'espoir J'aime quand tes yeux couleur de brume Me font un manteau de douceur Et comme sur un coussin de plumes Mon front se pose sur ton coeur |
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13. |
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J'ai vu l'orient dans son ecrin
Avec la lune pour banniere Et je comptais en un quatrain Chanter au monde sa lumiere Mais quand j'ai vu Jerusalem Coquelicot sur un rocher J'ai entendu un requiem Quand sur lui je me suis penche Ne vois-tu pas humble chapelle Toi qui murmures paix sur la terre Que les oiseaux cachent de leurs ailes Ces lettres de feu danger frontiere Le chemin mene a la fontaine Tu voudrais bien remplir ton seau Arrete-toi Marie-Madeleine Pour eux ton corps ne vaut pas l'eau Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Et l'olivier pleure son ombre Sa tendre epouse son amie Qui repose sous les decombres Prisonnieres en terre ennemie Sur une epine de barbeles Le papillon guette la rose Les gens sont si ecerveles Qu'ils me repudieront si j'ose Dieu de l'enfer ou Dieu du ciel Toi qui te trouves ou bon te semble Sur cette terre d'Israel Il y a des enfants qui tremblent Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Les femmes tombent sous l'orage Demain le sang sera lave La route est faite de courage Une femme pour un pave Mais oui j'ai vu Jerusalem Coquelicot sur un rocher J'entends toujours ce requiem Lorsque sur lui je suis penche Requiem pour 6 millions d'ames Qui n'ont pas leur mausolee de marbre Et qui malgre le sable infame On fait pousser 6 millions d'arbres Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah Inch'Allah |
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14. |
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Toi, l'amour te ressemble, si fort que j'en tremble
Et je me demande dans quel paradis perdu Dans quelle legende, quel reve ou j'etais troubadour J'ai pu te rencontrer un jour ? Toi, l'amour te ressemble, si fort qu'il me semble Que j'ai connu tes yeux et ton sourire Au pays merveilleux de mes delires ! Toi, l'amour te ressemble, si fort que j'en tremble Mais tu viens me surprendre quand je n'y croyais plus Quand, lasse d'attendre, j'allais au fil de mes jours noirs Perdu, le coeur au desespoir Toi, l'amour te ressemble et coeur a coeur restons ensemble Et tu verras ma mie que dans la longue errance Qu'avait ete ma vie sans ta presence Tout te ressemble. |
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15. |
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Accroche une larme aux nuages
Et laisse le vent l'emporter Bergere tu n'es pas tres sage Et le vent me l'a raconte Accroche une larme aux nuages Je la cueillerai au reveil Je la ferai couler sur ton visage Et la pluie sera mon soleil Le vent n'ose plus me parler de toi Il ne connait que des refrains sans joies Il s'est blotti dans le creux de ma main Pour se cacher en attendant demain Accroche une larme aux nuages Pour que le vent se mette a danser Je lui donnerai comme gage De courir te couvrir de mes baisers Accroche une larme aux nuages Et au desert la rose fleurira Et meme si ce n'est qu'un mirage Elle est si belle que j'y crois deja Accroche une larme aux nuages Et laisse le vent l'emporter Bergere tu n'es pas tres sage Et le vent me l'a raconte ... Et le vent me l'a raconte ... Et le vent me l'a raconte ... |
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16. |
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Parle-moi de mon enfance, mon vieux ruisseau
Du temps ou coulait ma chance au fil de ton eau Parle-moi des doux delires de mes tendres annees Les bleuets qui les fleurirent sont-ils a jamais fanes Parle-moi de ces dimanches ou je venais te confier En timide voile blanche, mes reves de papier Parle-moi tant que j'y pense de mon premier amour Il etait tout innocence, a-t-il dure toujours ? Parle-moi de mon enfance, mon vieux ruisseau Du temps ou coulait ma chance au fil de ton eau Coule coule mon enfance au fil du souvenir C'est un jeu perdu d'avance que de la retenir Car le vent de l'insouciance un jour lacha ma main Je vains pleurer en silence et larmes tu devins Champs de roses champs de ronces que j'avais traverses Je viens chercher reponse, qui de vous m'a blesse ? Parle-moi de mon enfance, mon vieux ruisseau Du temps ou coulait ma chance au fil de ton eau Je suis tombe le nez dans un reve, c'est la faute au ruisseau Coeur meurtri je m'en releve, c'est la faute a son eau ! |
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17. |
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A demain sur la lune
Aux quatre coins des dieux A demain sur la lune A trois bornes des cieux Il y aura un carrosse Qui nous emmenera Voir mes reves de gosse Et tu t'y reconnaitras Et pour toi ma jolie Le vent, ce magicien Jouera une symphonie De mille musiciens A demain sur la lune... La nous verrons la terre Comme une boule de Noel Se balancer legere Au grand sapin du ciel Et d'etoile en etoile Nos chevaux voleront A l'heure ou le ciel se voile De mille reves blancs (blonds?) A demain sur la lune... Le vent te couvrira D'un voile de dentelles Et tu t'endormiras Dans la nuit la plus belle Moi moi, moi je te bercerai J'attendrai ton reveil Puis je t'embrasserai A la barbe du soleil A demain sur la lune... A demain sur la lune... (ad lib) |
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18. |
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Tu t'en vas ma pauvre amourette
Tu t'en vas, ne s'aimait-on pas? Oui la mer a berce tant d'amour Dans le creux de ses vagues Le temps d'un ete Mais l'ete en partant a laisse sur le sable mouille Tant de reves oublies Un bout de ciel et un coin de dune Un gout de sel sur ta peau brune Et l'ete qui nous ensorcelle En ete, mefie toi la belle Car la mer a berce tant d'amour Dans le creux de ses vagues Le temps d'un ete Mais l'ete en partant a laisse sur le sable mouille Tant de reves oublies On cueille l'ete a fleur d'insouciance Jamais l'ete au chagrin ne pense Mais tu pleureras petite fleur des plages Quand l'ete chantera sur notre rivage Car la mer a berce tant d'amour Dans le creux de ses vagues Le temps d'un ete Mais l'ete en partant a laisse sur le sable mouille Tant de reves oublies Oui la mer a berce tant d'amour Dans le creux de ses vagues Le temps d'un ete Mais l'ete en partant a laisse sur le sable mouille Tant de reves oublies La la la la la la la la |
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19. |
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Dans tes yeux j'ai lu un jour
Si tu me regardes garde-moi Je t'ai jure grand Amour Alors abandonnes donne-toi Belle tu me tues Quand d'un air calin D'une voix menue Tu me fredonnes ce refrain Petit bonheur deviendra grand Pourvu que Dieu pourvu que Dieu Me prete Amour toujours Petit amour deviendra grand Tout doucement avec le temps Et les serments autour Coeur a coeur main dans la main Nous traversons la vie a grand pas de geant Belle ca n'est pas malin Quelques pas encore et nous aurons cent ans Belle ca me tue De t'imaginer Toute vieille et bossue T'entetant a me marmonner Petit bonheur deviendra grand Pourvu que Dieu pourvu que Dieu Nous prete Amour toujours Petit amour deviendra grand Tout doucement avec le temps Et les serments autour Tu m'as dit tres tendrement Je connais une fable: il etait une fois Ils eurent beaucoup d'enfants Nous en auront douze epouse-moi Belle tu me tues Avec ces mots-la Allez va je te salue Tiens connais-tu ce refrain la Petit bonheur deviendra grand Pourvu que Dieu pourvu que Dieu Me prete Amour toujours Petit amour deviendra grand Tout doucement avec le temps Et les serments autour Petit bonheur deviendra grand Pourvu que Dieu pourvu que Dieu Me prete Amour toujours Petit amour deviendra grand Tout doucement avec le temps Et les serments autour.......... |
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20. |
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Tiens un oiseau qui chante tiens un enfant qui joue
Une fleur qui s'invente un printemps pour deux sous Tiens un soleil qui brille d'ou sort-il celui-la Des gens qui me sourient ca existe tout ca *J'avais oublie que les roses sont roses J'avais oublie que les bleuets sont bleus J'avais oublie tant de belles choses J'avais oublie ou avais-je les yeux Une douce lumiere s'enroule autour de moi Mille mains familieres me fetent comme un roi J'ai retrouve ma vieille vie, jolis pulls delaves A l'instant je m'habille et je repars au passe *Repeat Je me trouvais dans un vieux livre que j'ai relu cent fois Un monde ou il fait bon vivre quitte a vivre sans toi Et toi qui n'est plus qu'une ombre dans le ciel bien trop bleu Enfin je suis du nombre des imbeciles heureux *Repeat |