Disc 1 | ||||||
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It's a God awful small affair
To the girl with the mousey hair, But her mummy is yelling, "No!" And her daddy has told her to go, But her friend is no where to be seen. Now she walks through her sunken dream To the seats with the clearest view And she's hooked to the silver screen, But the film is sadd'ning bore For she's lived it ten times or more. She could spit in the eyes of fools As they ask her to focus on Sailors Fighting in the dance hall. Oh man! Look at those cavemen go. It's the freakiest show. Take a look at the lawman Beating up the wrong guy. Oh man! Wonder if he'll ever know He's in the best selling show. Is there life on Mars? It's on America's tortured brow That Mickey Mouse has grown up a cow. Now the workers have struck for fame 'Cause Lennon's on sale again. See the mice in their million hordes From Ibeza to the Norfolk Broads. Rule Britannia is out of bounds To my mother, my dog, and clowns, But the film is a sadd'ning bore 'Cause I wrote it ten times or more. It's about to be writ again As I ask you to focus on Sailors Fighting in the dance hall. Oh man! Look at those cavemen go. It's the freakiest show. Take a look at the lawman Beating up the wrong guy. Oh man! Wonder if he'll ever know He's in the best selling show. Is there life on Mars? |
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4. |
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Anyway, I can try anything it's the same circle leading to nowhere and I'm tired now.
Anyway, I've lost my face, my dignity, my look, everything is gone and I'm tired now. Don't be scared, I found a good job and I go to work every day on my old bicycle you loved. I am pilling up some unread books turned in my bed and I really think I'll never read again. No concentration, just a white disorder everywhere around me, you know I'm so tired now. Don't worry I often go to dinners and parties with some old friends who care for me, take me back home and stay. Monochrome floors, monochrome walls, only absence near me, nothing but silence around me. Monochrome flat, monochrome life, only absence near me, nothing but silence around me. Sometimes I search an event or something to remind me, but I've really got nothing in mind. Sometimes I open the windows and listen people walking in the down streets. There is life out there. Don't be scared, I found a good job and I go to work every day on my old bicycle you loved. Anyway, I can try anything it's the same circle leading to nowhere and I'm tired now. Anyway, I've lost my face, my dignity, my look, everything is gone and I'm tired now. Don't worry I often go to dinners and parties with some old friends who care for me, take me back home and stay. Monochrome floors, monochrome walls, only absence near me, nothing but silence around me. Monochrome flat, monochrome life, only absence near me, nothing but silence around me. |
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6. |
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De l'endroit ou je suis
On voit les bras de mer, Qui s'allongent puis renoncent A mordre dans la terre... Dans le lit, tard, nous sommes la, Nous recommencons tout, J'ai du mal a y croire, Je vois des bras de mer... Je vois des bras de mer... Qui s'allongent... Qui s'allongent... Je vois des bras de mer... Qui s'allongent... Qui s'allongent... Et qui mordent la terre... Et la separent enfin |
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7. |
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8. |
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encore une nuit ou tout est calme, pas un bruit, rien
a part vos souffles reguliers, a cote encore une nuit sans sommeil, sans raison, juste une flopee de choses un peu floues tout autour alors on sent tres bien le bout du lit et les murs se resserrer, se refermer sur on ne sait trop quoi alors on sent tres bien nos mains se crisper et se tendre se diriger, se refermer sur on ne sait trop qui suit un lendemain sans histoire, comme tous les autres on regarde par la baie vitree alentour pas de surprise la mer est calme on avait tort d'esperer voir un coup de vent se lever alors on sent tres bien le bout des choses se fendre puis s'effriter, puis s'ecrouler sur on ne sait trop quoi alors on sent tres bien nos corps se crisper et se tendre se rapprocher, puis s'effondrer sur on ne sait trop qui l'apres-midi se passe sans heurt, sans incident aucun risque de voir l'orage eclater alors on sent tres bien la fin de tout approcher se deployer, puis effacer on ne sait plus trop quoi alors on sent tres bien nos corps se crisper et se tendre se detacher, se diriger vers on ne sait trop ou |
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9. |
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Sous la lumiere en plein
Et dans l'ombre en silence Si tu cherches un abri Inaccessible Dis-toi qu'il n'est pas loin et qu'on y brille A ton etoile Petite soeur de mes nuits ca m'a manque tout ca Quand tu sauvais la face a bien d'autres que moi Sache que je n'oublie rien mais qu'on est face A ton etoile Toujours a l'horizon Des soleils qui s'inclinent Comme on n'a pas le choix il nous reste le coeur Tu peux cracher, meme rire, et tu le dois A ton etoile A Marcos A la joie A la beaute des reves A la melancolie A l'espoir qui nous tient A la sante du feu Et de la flamme A ton etoile |
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10. |
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11. |
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Digue, ding don, don, ce sont les filles des forges
Des forges de Paimpont, digue ding dondaine Des forges de Paimpont, dingue ding dondon Digue, ding don, don, elles s'en vont a confesse Au cure du canton, digue ding dondaine Au cure du canton, dingue ding dondon Digue, ding don, don, qu'avions-vous fait les filles Pour demander pardon, digue ding dondaine Pour demander pardon, dingue ding dondon Digue, ding don, don, j'avions couru les bals Et les jolis garcons, digue ding dondaine Et les jolis garcons, dingue ding dondon Digue, ding don, don, ma fille pour penitence Nous nous embrasserons, digue ding dondaine Nous nous embrasserons, dingue ding dondon Digue, ding don, don, je n'embrasse point les pretres Mais les jolis garcons, digue ding dondaine Qu'ont du poil au menton, dingue ding dondon Digue, ding don, don, ce sont les filles des forges Des forges de Paimpont, digue ding dondaine Des forges de Paimpont, dingue ding dondon (Merci a Agadoue pour cettes paroles) |
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12. |
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Tu t'en vas a la derive
Sur la riviere du souvenir Et moi, courant sur la rive, Je te crie de revenir Mais, lentement, tu t'eloignes Et dans ta course eperdue, Peu a peu, je te regagne Un peu du terrain perdu. De temps en temps, tu t'enfonces Dans le liquide mouvant Ou bien, frolant quelques ronces, Tu hesites et tu m'attends En te cachant la figure Dans ta robe retroussee, De peur que ne te defigurent Et la honte et les regrets. Tu n'es plus qu'une pauvre epave, Chienne crevee au fil de l'eau Mais je reste ton esclave Et plonge dans le ruisseau Quand le souvenir s'arrete Et l'ocean de l'oubli, Brisant nos c?urs et nos tetes, A jamais, nous reunit. (Merci a Clarisa pour cettes paroles) |
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13. |
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La mer ca n's'invente pas
Et nous on creve a rester la Et le funambule beau qu'il est Marchant sur son fil Charles il disait l'albatros Il en est mort A marcher sur la terre Mais c'est pas fini On va continuer A marcher dans les airs Et les supermarches Pour nous donner l'air De ne pas rien faire Et pour manger On va s'aimer encore et encore Pendant des annees J'etais la moi monsieur Sinon on sait pas trop c'qu'il faut faire Et la y a la ginette qui valse en guinguette Qu'a toujours un verre d'avance Des fois qu'on ferme la derniere porte Faut s'enivrer quoi qu'il arrive Et puis rever et faire la fete C'est des musiciens sur des treteaux Tot ou tard ca va s'ecrouler Mais leur histoire on s'en fout Ginette continue a tourner Sur cet air de ferraille et de verres casses Allez ginette!... La mer ca n's'invente pas Et nous on creve a rester la Et c'est tout |
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14. |
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un apres-midi la, dans la rue du jourdain,
on peut dire qu'on etait bien, assis a la terrasse du cafe d'en face on voyait notre appartement. je ne sais plus si nous nous etions tus ou si nous parlions tout bas la au cafe d'en bas, mais je revois tres bien la table et tes mains, le the, le cafe et le sucre a cote. puis d'un coup c'est parti, tout s'est effondre, on n'a pas bien compris, tout a continue, tandis qu'entre nous s'en allait l'equilibre, plus jamais tranquilles, nous tombions du fil. cet apres-midi la, dans la rue du jourdain, en fait tout n'allait pas si bien, assis a la terrasse du cafe d'en face on voyait notre appartement, si triste finalement avec nous dedans |
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15. |
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