Disc 1 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
1. |
| - | ||||
Le Monde entier
est toujours la demain de beau matin je fermerai ma porte j'irai par les chemins par les chemins rien de plus cher que les chansons que les chansons bleues Il ne suffira plus de se presser contre soi Il ne suffira plus de se presser contre soi et de sourire Je vis, je meurs je me brule et je me noie puis ca, puis la comme le vent varie comme le vent varie Il ne suffira plus de se presser contre soi Il ne suffira plus de se presser contre soi et de sourire Si je partais sans me retourner je me perdrais bientot de vue Si je partais sans me retourner je me perdrais bientot de vue Il ne suffira plus de se presser contre soi Il ne suffira plus de se presser contre soi et de sourire |
||||||
2. |
| - | ||||
1. L'ombre de mes cils un seul regard
L'ombre de mes cils comme un rempart Le plaisir facile les amours d'un soir Meurent d'un oubli subtil dans le noeud d'un foulard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi saoul de toi 2. L'ombre de mes cris flèches invisibles L'ombre de mes cris comme une cible Les mots inutiles sourires illusoires A vos questions futiles je réponds au hasard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi 3. Ces jours-là j'ai de la peine A vivre loin loin de toi J'ai de la folie plein les veines Je bois je bois et je suis saoul de toi Combien de temps Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois et je suis saoul de toi |
||||||
3. |
| - | ||||
4. |
| - | ||||
5. |
| - | ||||
'S isch aben e Monsch uf Arde
Simeliberg und ds Vreneli abem Guggisbarg Und Simes Hansjoggeli anet em Barg 'S isch aben e Monsch uf Orde Und I mochte bi-n'ihm si U ma ner mir nid warde Vor Chummer stirbe n'I U stirbe n'I vor Chummer So leit me mi i'ds Grab I mines Buelis Garte Dert stoh zwoi jungi Boim Dr eini treit Muschgaate Dr andri Nageli Muschgaate die si suess U Nageli si rass I gib's mim Lieb z'versueche Das a mi nie vergass Ha Di no nid vergasse Ha immer a di dankt 'Sisch numeh zwoi Jahr vergange Das mi a'Di ha ghankt Dert unde i dr Tiefi Dert steiht as Muhlirad Das mahlet nut als Liebi Bi Nacht und ou bi Tag Das Muhlirad isch broche Und d'Liebi het es And Wenn zwoi von enangere scheide De gah si enangere d'Hand |
||||||
6. |
| - | ||||
7. |
| - | ||||
8. |
| - | ||||
9. |
| - | ||||
Je ne t'entend pas très bien
il y a si longtemps d'où m'appelles tu? D'où vient ce besoin si pressant de m'écouter soudain? Les poules auraient-elles des dents? Ma voix t'a-t-elle manqué après bientôt un an? Ce serait une belle journée et il n'y en a pas tant je sais me contenter de petites choses à présent On enterre ce qui meurt on garde les bons moments j'ai eu quelquefois peur que tu m'oublies vraiment tu as sur mon humeur encore des effets gênant Mais tu ne me dois rien j'ai eu un mal de chien à me faire à cette idée à l'accepter enfin est-ce qu'au moins tu m'en sais gré? Chacun poursuit son chemin avec ce qu'on lui a donné mais toi tu ne me dois rien Tu ne m'as pas dérangé je vis seul pour l'instant mais je ne suis pas pressé tu sais, je prend mon temps tout est si compliqué tout me parait si différent On ne refait pas sa vie on continue seulement on dort moins bien la nuit on écoute patiemment de la maison les bruits du dehors l'effondrement Je vais bien cela dit appelle moi plus souvent si tu en a envie si tu as un moment mais il n'y a rien d'écrit et rien ne t'y oblige vraiment |
||||||
10. |
| - | ||||
Elle vient me voir
Elle prend grand soin de ma sante Depuis qu'elle m'a laisse tomber Je suis devenu son pauvre amour Celui qu'elle cherira toujours Et qu'elle serre contre sa poitrine Comme un Jesus tendre et sublime Baisant mon front et mes paupieres Jurant que la vie est amere Elle vient me voir Elle n'a plus peur d'etre avec moi Depuis qu'elle a ce qu'elle avait pas Je ne suis plus sa mauvaise etoile Ni son desespoir, ni son drame Et me regardant travailler Elle dit n'avoir jamais doute Qu'a mon cou, on viendrait se pendre Mais qu'elle ne pouvait plus attendre Elle vient me voir Elle vient me voir Elle a de tres jolis soupirs Quand la nuit tombe, qu'elle doit partir "Ne melange pas tout" me dit-elle "Je ne me sens pas pousser des ailes" Et sur ces mots elle disparait Je crois qu'elle n'a aucun regret Nous ne sommes ni des saints, ni des anges Il n'y a que la lumiere qui change Elle vient me voir (Merci a talent pour cettes paroles) |
||||||
11. |
| - | ||||
12. |
| - | ||||
Je croise des rêves, je croise des gens,
je croise des morts et des vivants. Le jour se lève en emportant de la poussière, des ossements. Sous les mensonges, sous les tourments, la nuit s'étire, l'ombre s'étend. Petite éponge noyée de sang, ne vois-tu rien venir devant ? Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Poignée de sable qu'on voit filant, d'entre nos doigts, n'y rien pouvant. Sur son nuage va chevauchant chacun de nous cheveux au vent. Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Ce que main donne, l'autre reprend, ce que l'on tient fichera le camp. Noir dit un homme, l'autre dit blanc, il faut parfois tuer le temps. Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? |
||||||
13. |
| - | ||||
Il n'a aucune chance avec elle :
Je l'ai prévenu, Mais il veut essayer quand même : Il est têtu. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain:} Il ne m'écoute jamais. Il fait ce qui lui plaît, Car encore ne connait Ni remords, ni regrets. Inutile de le mettre en garde : Il tend les bras. Il trouve ce monde si désirable Qu'il n'attends pas. Il tient les serments, les promesses Pour de l'or pur, pour de l'airain. Trahi, il en tombe sur les fesses Mais il n'y pense plus le lendemain. {Refrain} Il bénit chaque jour qui se lève, Se frotte les mains. Il voit partout de la lumière, Même dans les coins. Il se jette la tête la première, Sans hésiter, sans prendre soin De glisser un oeil en arrière, Pour voir s'il connait le chemin. {Refrain} Si j'ai passé la nuit entière A lui parler, Au matin c'est lui qui m'enterre Pour la journee. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain} |
||||||
14. |
| - | ||||
J'attends a la riviere
Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient J'attends le nez en l'air Je n'me tords pas les mains On gagne ou bien on perd Mais c'est plutot bien Je m'en irai tout a l'heure Je reviendrai demain On n'sort pas du desert On tourne sans fin Le jour tombe et l'enfer N'est pas aussi lointain Mais je n'suis pas amer Toujours on en revient Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain Je garde les bras ouverts Le vent passe entre mes mains C'est l'heure de la priere Mais rien ne vient On finit par s'y faire Avec un peu d'entrain On sait bien qu'nos miseres Ne prennent jamais fin Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain J'attends a la riviere Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient |
||||||
15. |
| - | ||||
16. |
| - | ||||
On sait quand ça commence
Pas quand ça finira On sait qu'on a la chance Terrible d'être là Malgré ce que l'on pense De tout ce que l'on voit Même si donner un sens A tout ne se peut pas On apprend la souffrance On livre des combats Qui sont perdus d'avance Et qui n'apportent pas D'issue, de délivrance On fait n'importe quoi On a peur du silence On hurle dans les bois Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix Et vient la récompense Quand on ne l'attend pas Comme vient la pénitence Quand on tendait les bras On croit que l'on avance En reculant d'un pas On donne de l'importance A ce qui n'en a pas Butins et indulgences Qu'on porte à bout de bras énergie qu'on dépense Que rien ne nous rendra Oh stupide innocence Oh fol ... et cetera Cependant que s'avance Le jour ... et cetera Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix |
||||||
17. |
| - | ||||
Aurai-je le mensonge à la bouche
La main droite posée sur le cour? Serai-je habillé sous la douche Ivre-mort ou glacé de peur ? Serai-je en train de rendre l'âme Avec une parfaite inconnue Serai-je assis seul à ma table Dans la pénombres, à demi nu ? Pourrai-je te regarder en face Et te dire: "j'ai fait c'que j'ai pu" Pourrai-je seulement briser la glace Et toucher ta joue, honte bue ? Serai-je mûr pour demander grâce Aurai-je ravalé mon orgueil Ou en étoufferai-je sur place Qui peut savoir ce qu'on recueille ? Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors Aurai-je un ami à ma table Ou quelqu'un que tu n'aimeras pas Serai-je encore une fois coupable De faiblesse ou de je ne sais quoi ? Serai-je dans mon lit comme un ange Ruminant de mauvaises pensées Ou pressant la peau d'une orange Devant mes yeux pour m'éclairer Aurai-je droit à ta bienveillance Ou m'enverras-tu par le fond Plus j'y réfléchis, plus je pense Que je n'ai pas compris la leçon Comment ai-je pu séduire ton âme Autrefois, y as-tu songé ... ? Toi et ton cour invulnérable Toi et ta foutue vérité Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors |
||||||
18. |
| - | ||||
Venez danser
Une dernière fois Prenez ma main Prenez mon bras Venez danser Encore une fois Souvenez-vous Souvenez-moi Accordez-moi Une dernière chance Ce n'est pas moi Qu'on récompense Elle vous dira Que je ne suis plus Tout à fait l'gars Qu'elle a connu Quand nous aurons Lavé nos fautes Nous marcherons La tête haute Et si le ciel Nous tombe dessus Nous marcherons encore La tête nue Venez danser Venez à moi Laissez-la dire Croyez en moi Elle ne sait pas Que je n'joue plus Elle ne sait pas Que je suis nu Le jour s'en vient Le jour s'en va La Dame de Coeur Ne reste pas Elle a payé Ce qui est dû Elle a été Ce qu'elle a pu |
||||||
Disc 2 | ||||||
1. |
| - | ||||
1. L'ombre de mes cils un seul regard
L'ombre de mes cils comme un rempart Le plaisir facile les amours d'un soir Meurent d'un oubli subtil dans le noeud d'un foulard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi saoul de toi 2. L'ombre de mes cris flèches invisibles L'ombre de mes cris comme une cible Les mots inutiles sourires illusoires A vos questions futiles je réponds au hasard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi 3. Ces jours-là j'ai de la peine A vivre loin loin de toi J'ai de la folie plein les veines Je bois je bois et je suis saoul de toi Combien de temps Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois et je suis saoul de toi |
||||||
2. |
| - | ||||
Durant un long moment
Il reste silencieux Sans bouger Examine lentement Une meche de cheveux Parfumee Puis il dit C'est comme ca, c'est la vie J' vais pas en mourir Je suis trop vieux pour ca On doit s'attendre au pire Ou c'est bien fait, c'est bien fait, c'est bien fait pour soi! S'asseyant sur le lit Il s'oblige un regard Sur la Chambre Il n'y a plus rien ici Il n'y a plus que le fard Et la cendre Et il dit Voila, tout est fini Je n'avais pas tout-appris Mais sacre nom de dieu Faut-il aimer la vie Ou la jeter, la jeter, la jeter au feu? Ses yeux roulent dans le noir Sans qu'il puisse y changer Quelque chose Les voies du desespoir En pitreries se Metamorphosent Il se dit Quelle erreur ai-je commis? Vais-je finir a genoux Ou bien sur le tapis? Une femme vous tient debout Puis un jour elle, un jour elle, un jour elle vous scie! Plus tard, dans le jardin Dans la fraicheur du soir Il repense A ce qu'il aimait bien Venant d'elle ou de par Sa presence Et il dit J'en aurais bien repris! Je le dis simplement Avec humilite Te suis reconnaissant Pour tout le temps, tout le temps, tout le temps passe! |
||||||
3. |
| - | ||||
Donne moi tes mains
Laisse moi te regarder Depuis que je n' ecri plus Des histoires d' Amour Je n' Arrive plus A trouver les mots Qu' il faudrait Encore une fois Sois patient avec moi Je voudrais que tu sois Patiente avec moi Esque demain Tout va recommencer Depuis queje n'ai pas eu D'histoires d' amour Je me souviene plus Si c'est aussi beau Qu' il parait Je n'ai pas l'habitude D' etre avec tois Mais sois patient avec moi Je voudrais que tu sois Patiente avec moi Sur quel chemin Vas-tu me fair aller J' ai peur d'avoir perdu Le sens de l' humour Je me sens nu Ca peut sembler idiot Comme effet Je connais ca Mais sois patient avec moi Je voudrais que tu sois Patiente avec moi |
||||||
4. |
| - | ||||
Je compte sur les doigts
De ma main gauche Combien il reste de lunes Avant que les jours ne s'allongent Je compte sur les doigts De ma main droite Combien il reste d'etes Avant que le soleil ne se couche sans moi Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher Je verifie mes factures de telephone Dans l'espoir de voir l'avenir Peut-etre certains de ces chiffres Portent-ils chance Je cherche ma voie Sur la carte routiere de mon visage Peut-etre y a t'il des signes A chaque croisement de rides Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher J'entends le tic-tac de l'horloge Le sang boue dans mes veines Ma tete tourne Et mes mains moites J'entends le tic-tac de l'horloge Le tumulte de mon esprit Tout tourne autour de moi Mes mains transpirent Allez, fais-moi peur Je crois que j'aime ca Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher Words and music by Stephan Eicher |
||||||
5. |
| - | ||||
6. |
| - | ||||
7. |
| - | ||||
8. |
| - | ||||
9. |
| - | ||||
Oh all diese Geschichten
Ich glaub' es ist genug Jetzt noch eine zu dichten Kennst Du mich doch zu gut Die Wahrheit ist gefrassig Die Wahrheit ist ein Tier Die Wahrheit wird nicht mude Sie lasst nicht mehr von dir Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst Ich weiss genau das bin ich An dem Du so tragst Ja Dein Gesicht liegt in Wolken Das wollte ich nicht Glaub' mir wenn ich's konnte Ich trug' es Ich trug' es fur Dich Warum nur willst Du wissen Wie alles wirklich war Am Ende sind die Lugen Doch fast genauso wahr Die Wahrheit ist ein Fieber Die Wahrheit wutet blind Die Wahrheit nimmt kein Ende Sie reisst Dich mit sich hin Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst... Ich glaub es ist genug Jetzt noch eine zu dichten Kennst du mich doch zu gut Die Wahrheit ist gefrassig Die Wahrheit ist ein Tier Die Wahrheit wird nicht mude Sie lasst nicht mehr von dir Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst... Warum nur willst du wissen Wie alles wirklich war Am ende sind die lugen Doch fast genauso wahr |
||||||
10. |
| - | ||||
Je reprends un Campari Soda
Loin sur moi la mer des nuages Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si j'existais pas Par le hublot je vois des turbines L' avion se balance doucement dans l'air Le copilote dit au microphone "On your left you can see Balpmoos in the dust." Je reprends un Campari Soda Loin sous moi la mer de brouillard Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si j'existais pas Je reprends un Campari Soda Loin sous moi la mer des nuages Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si on n'existait pas Words and music by Dominique Grandjean |
||||||
11. |
| - | ||||
12. |
| - | ||||
13. |
| - | ||||