Disc 1 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|
1. |
| - | ![]() |
|||
A l'ecole quand j'etais petit, je n'avais pas beaucoup d'amis.
J'aurais voulu m'appeller Dupond, avoir les yeux un peu plus clairs, Je revais d'etre un enfant blanc, j'en voulais un peu a mon pere. C'est vrai je suis un etranger, on me l'a assez repete J'ai les cheveux couleur corbeau , je viens du fond de l'Italie, Et j'ai l'accent de mon pays , Italien jusque dans la peau. Refrain: Je suis rital et je le reste, et dans le verbe et dans le geste, Vos saisons sont devenues miennes, et ma musique est italienne. Je suis rital dans mes coleres , dans mes douceurs et mes prieres,, J'ai la memoire de mon espece , je suis rital et je le reste. J'aime les amours de Verone, les spaghettis, le minestrone, Et les filles de Napoli, du rhin , rhum et mes voisines, Et la Joconde de Vinci qui se trouve Helas a Paris. Mes yeux delaves par les pluies de vos automnes et de l'ennui, Et par vos brumes silencieuses, j'avais bien l'humeur voyageuse Mais de raccourci en detour j'ai toujours fait l'aller-retour. Retour au refrain (1fois) C'est vrai je suis un etranger, on me l'a assez repete J'ai les cheveux couleur corbeau , mon nom a moi c'est Barzotti, Et j'ai l'accent de mon pays , Italien jusque dans la peau |
||||||
2. |
| - | ![]() |
|||
Je vous regardais tendrement,
J'aurais bien voulu vous parler, Mais le courage m'a manque. J'aurais voulu vous emmener, Faire quelques pas a mes cotes, Sans pour cela imaginer. Imaginer un tas de choses, Des choses que je n'oses vous dire madame, Et pourtant, je pense a vous bien souvent. Refrain: Souvent je pense a vous madame, Souvent, je vous revois madame, Je suis heureux j'ai des idees, Et peut-etre a demain, vous me prendrez la main. Souvent, je pense a vous madame, Souvent, je vous revois madame, Ne me dites pas de m'en aller, Je pourrais en souffrir et peur-etre en mourir. J'ai au coeur une vieille solitude, Viendrez-vous du nord ou du sud, Pour devenir mon habitude, Vous serez mon premier ete, Ma rose et ma source cachee, Laissez-moi donc imaginer, Imaginer un tas de choses, Des choses que je n'oses vous dire Madame, Et pourtant, je pense a vous bien souvent. Retour au refrain(2fois) |
||||||
3. |
| - | ![]() |
|||
Vado
Questa volta ho deciso vado Ma perche non me l' hai detto tu Di non poterne piu Dientro a quel mezzo sorriso un po' spento Ho scoperto i difetti che hai Ma come avrei potuto amarti mai Giuro che Vado via Casa tua piu non c'e E' meglio io Ti lascio Adesso Che posso Ti lascio Non sono piu quel ragazzo che sai Ma non avrei ripensamenti mai Giuro che Vado via Casa tua Piu non c'e E'meglio se Tremo sul confine di un mondo sereno Il mio viaggio finisce con te Ma come avrei potuto amare te Vado via Casa tua Piu non c'e E meglio se Ti lascio Adesso Giuro che Vado via (Merci a francois pour cettes paroles) |
||||||
4. |
| - | ![]() |
|||
5. |
| - | ![]() |
|||
6. |
| - | ![]() |
|||
7. |
| - | ![]() |
|||
8. |
| - | ![]() |
|||
9. |
| - | ![]() |
|||
On parle souvent des mamas,
On oublie parfois les papas Venus du fond de l'Italie, De Pescara, de Napoli. Ils etaient bien souvent macons Devenus des mineurs de fond, Ils mettaient du coeur a l'ouvrage Tout au bout de ce long voyage. On a grandi avec l'amour, Y avait jamais de mauvais jours, Les fins de mois etaient fragiles Et c'etait parfois difficile. Mais quand on a au fond du coeur Des jardins parfumes de fleurs Ils nous apportaient le soleil, Un nouveau pays de merveilles. Refrain : Papa, Papa, Papa Si tu n'avais pas ete la, Dis-moi qu'aurais-je fait sans toi ? Papa, Papa Si tu n'avais pas ete la, Qu'aurais-je fais de mes dix doigts ? Les cheveux noirs devenus blancs Avec la pluie, avec le temps, Ils n'ont pas perdu leur accent Et leurs mains parlent encore vraiment Elle est arrivee enfin l'heure De n' plus se fatiguer le coeur, De se reposer en famille, Les papas ont les yeux qui brillent? On n'a pas tous la meme histoire, Non, mais ca y ressemble un peu. Qui n'a pas eu envie un soir De dire "Papa, je suis heureux". Je suis heureux, je te le dois, Je suis ici, c'est grace a toi J' trouve pas les mots pour dire merci A toi et a Maman aussi? Retour au refrain (1 fois) Toi tu m'as donne la musique Le coeur et l'ame romantique, Avec ces instants si magiques De tes souvenirs nostalgiques Papa, Papa, Papa Et si un jour tu n'es plus la? Comment vais-je vivre sans toi |
||||||
10. |
| - | ![]() |
|||
11. |
| - | ![]() |
|||
12. |
| - | ![]() |
|||
13. |
| - | ![]() |
|||
Moi qui n'ai su aimer vraiment
Aucune des femmes de ma vie, Je crois que je sais maintenant Pourquoi je n'ai jamais grandi. A force de toujours chercher A travers elle une autre toi, Je crois que je me suis trompe D'histoire d'amour a chaque fois. Si j'ai toujours ete, c'est vrai, De tes deux fils le mouton noir, Dieu sait combien tu m'as aime Tu n'as jamais cesse d'y croire? On a fait les quatre cents coups Et toi tu nous pardonnais tout, Et tu trouvais toujours les mots Pour excuser tous nos defauts Et si le temps t'arrache a moi, Faut vraiment que tu saches, crois-moi, Tu resteras comme une flamme, Tu resteras la seule femme Refrain : J' veux pas qu' tu partes, non pas maint'nant, Demain?plus tard?on a le temps, Debrouille-toi comme tu voudras, Mais surtout, non, ne t'en vas pas?! J' veux pas qu' tu partes, c'est bien trop tot, On doit feter tes noces d'or, Sarah s'est choisie un chapeau, Tu ne peux pas partir encore La-haut, la-haut, la-haut, Pas de fleurs, pas d'oiseaux La-haut, la-haut, Pas d'enfants, de cerceaux La-haut, la-haut, La-haut y'a rien a voir N'y va pas, je n' veux pas Reste avec nous, reste avec moi! Sur les routes de nos voyages, C'est toi qui montrais le chemin, Toi qui avais tous les courages Et qui tenais tite au destin ! Je t'en ai fait des cheveux blancs, Des rides au creux de ton visage, Toi qui as dompte tous le vents, Montre de quoi tu es capable ! Et si le temps t'arrache a moi, Faut vraiment que tu saches, crois-moi, Tu resteras comme une flamme, Tu resteras la seule flamme Retour au refrain (1 fois) |
||||||
14. |
| - | ![]() |
|||
15. |
| - | ![]() |
|||
16. |
| - | ![]() |
|||
Entre la tour St-Jacques et la tour Montparnasse,
On avait eu le temps d'echanger nos prenoms. Moi de te contempler en passant par les glaces, Tout en me demandant m'aimera-t-elle ou non. Il faisait sur Paris un soleil d'avant guerre. Les images partout me semblaient depinalles. Je pensais en marchant aux amours de la guerre Qui souffreront beaucoup sans s'en porter plus mal. De la tour Montparnasse aux tours de la defense Sans presque se parler on a fait du chemin. Et sans s'en rendre compte on a fait connaissance Comme des imbeciles en se tenant la main. Puis nous sommes alles jusqu'a la tour de Pise Avec un petit tour en Palade Sorequio. Mais l'amour s'en allait entre nous sans reprise, Les mots que l'on disait je les trouvais idiots. Entre le tour du monde et le tour de soi-meme, Et le tour du silence qui tourne autour des mots, Je crois qu'on n'ose plus vraiment dire je t'aime. L'amour nous fait trop peur et c'est le pire des mots. Entre la tour St-jacques et la tour Montparnasse, Les fantomes ont fait place aux jours que j'ai connus. Si bon que maintenant n'est plus qu'une fleur de glace. Je peux dire et c'est vrai j'ai fait ce que j'ai pu |
||||||
17. |
| - | ![]() |
|||
18. |
| - | ![]() |
|||
Sa facon de m'interdire
De parler , de tout lui dire Ca me tue. Elle me glace d'emotion, Pute ou poupee de salon, Elle me tue. Sa demarche a reculons, Leopard Cameleon Ca me tue, Elle me fait des courants d'air, Par-dessus le pull-overs, Elle me tue. Refrain: Elle me tue, elle me tue, J'suis perdant, j'suis perdu, Elle me tue, mais je l'aime, Mais je l'aime quand meme, Je n'suis qu' un oiseau pour le chat, Une proie. Elle me tue, mais je l'aime, Mais je l'aime quand meme, Elle peut bien faire n'importe quoi, Elle est tout, tout pour moi. Elle sait se dehancher, C'est pas marcher, c'est danser, Elle me tue. Elle me veut dans son sillage Comme un chien, comme un otage, Elle me tue. Elle se met sur les paupieres, Tous les sables du desert, Elle me tue, On dirait qu'elle a vaincu, L'emprise du temps perdu, Elle me tue. Retour au refrain(1 fois) |
||||||
19. |
| - | ![]() |
|||
20. |
| - | ![]() |
|||
Les filles et les femmes en jeans ou en dentelle
En bourgeoise , en nana, les louves et les pucelles Les brunes et les blondes armees de seins si lourds Ou tous les cris du monde s'ecrasent en cris d'amour. Et les petites filles aux coquilles de nacre Et ce gout de myrtille sous les kiosques du parc Un regard echange avec une etrangere Et sa robe d'ete mourant dans la lumiere. Je vous aime , je vous aime, je vous aime Je vous aime, je vous aime, je vous aime Je vous aime... Et la pudeur des cils sur ces miroirs pervers Cet orage immobile dans ces lacs bien trop clairs Le parfum de vos levres aux couleurs de cerises Un soupire qui s'acheve sur des perles et surprises. Avec ce blanc sourire souvent comme une fleur Qui eclate en un rire comme un echo du coeur Et ces traces de sel sur un dos de marquise Ma main qui fait la belle vers une idee precise. Je vous aime , je vous aime, je vous aime Je vous aime, je vous aime, je vous aime Je vous aime... Et le monde connu de ton corps familier Et ce desir tetu, ta tendresse etonnee Cette ombre badera, cette vallee promise Et les quatre chemins qui menet a cette eglise. Et ce triomphe d'or, cette lumiere noire Cette plage ou s'endort la vie ou meurt la gloire Les filles et les femmes en Gino en dentelle En bourgeoise , en nana, les louves et les pucelles Je vous aime , je vous aime, je vous aime Je vous aime, je vous aime, je vous aime Je vous aime...(2 fois) Je vous aime |