Disc 1 | ||||||
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Il etait un fou du roi
Qui vivait l'ame sereine Dans un chateau d'autrefois Pour l'amour d'une reine Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Il y eut une grande chasse Ou les nobles deux par deux Tous les dix metres s'embrassent Dans les chemins qu'on dit creux Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Lorsque le fou vit la reine Courtisee par un beau comte Il s'en fut le cœur en peine Dans un bois pleurer de honte Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Lorsque trois jours furent passes Il revint vers le chateau Et alla tout raconter Dans sa tour au roi la-haut Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Devant tout ce qu'on lui raconte Tout un jour le roi a ri Il fit decorer le comte Et c'est le fou qu'on pendit Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus Et vive les bossus Ma mere Et vive les pendus |
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Une chanson douce
Que me chantait ma maman, En sucant mon pouce J'ecoutais en m'endormant. Cette chanson douce, Je veux la chanter pour toi Car ta peau est douce Comme la mousse des bois. La petite biche est aux abois. Dans le bois, se cache le loup, Ouh, ouh, ouh ouh ! Mais le brave chevalier passa. Il prit la biche dans ses bras. La, la, la, la. La petite biche, Ce sera toi, si tu veux. Le loup, on s'en fiche. Contre lui, nous serons deux. Une chanson douce Que me chantait ma maman, Une chanson douce Pour tous les petits enfants. O le joli conte que voila, La biche, en femme, se changea, La, la, la, la Et dans les bras du beau chevalier, Belle princesse elle est restee, eh, eh, eh, eh La jolie princesse Avait tes jolis cheveux, La meme caresse Se lit au fond de tes yeux. Cette chanson douce Je veux la chanter aussi, Pour toi, o ma douce, Jusqu'a la fin de ma vie, Jusqu'a la fin de ma vie. {Variante pour les 2 derniers:} O le joli conte que voila, La biche, en femme, se changea, La, la, la, la Et dans les bras du beau chevalier, Belle princesse elle est restee, A tout jamais Une chanson douce Que me chantait ma maman, En sucant mon pouce J'ecoutais en m'endormant. Cette chanson douce Je veux la chanter aussi, Pour toi, o ma douce, Jusqu'a la fin de ma vie, Jusqu'a la fin de ma vie. |
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Il pleuvait fort sur la grand-route
Elle cheminait sans parapluie J'en avais un, vole sans doute Le matin meme a un ami Courant alors a sa rescousse Je lui propose un peu d'abri En sechant l'eau de sa frimousse D'un air tres doux, elle m'a dit oui Un p'tit coin d'parapluie Contre un coin d'paradis Elle avait quelque chose d'un ange Un p'tit coin d'paradis Contre un coin d'parapluie Je n'perdais pas au change, pardi Chemin faisant, que ce fut tendre D'ouir a deux le chant joli Que l'eau du ciel faisait entendre Sur le toit de mon parapluie J'aurais voulu, comme au deluge Voir sans arret tomber la pluie Pour la garder, sous mon refuge Quarante jours, quarante nuits Un p'tit coin d'parapluie Contre un coin d'paradis Elle avait quelque chose d'un ange Un p'tit coin d'paradis Contre un coin d'parapluie Je n'perdais pas au change, pardi Mais betement, meme en orage Les routes vont vers des pays Bientot le sien fit un barrage A l'horizon de ma folie Il a fallu qu'elle me quitte Apres m'avoir dit grand merci Et je l'ai vue toute petite Partir gaiement vers mon oubli Un p'tit coin d'parapluie Contre un coin d'paradis Elle avait quelque chose d'un ange Un p'tit coin d'paradis Contre un coin d'parapluie Je n'perdais pas au change, pardi |
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18. |
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Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage C'etait un petit cheval blanc Tous derriere et lui devant Il n'y avait jamais de beau temps Dans ce pauvre paysage Il n'y avait jamais de printemps Ni derriere ni devant Mais toujours il etait content Menant les gars du village A travers la pluie noire des champs Tous derriere et lui devant Sa voiture allait poursuivant Sa belle petite queue sauvage C'est alors qu'il etait content Tous derriere et lui devant Mais un jour, dans le mauvais temps Un jour qu'il etait si sage Il est mort par un eclair blanc Tous derriere et lui devant Il est mort sans voir le beau temps Qu'il avait donc du courage Il est mort sans voir le printemps Ni derriere ni devant |
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Disc 2 | ||||||
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Disc 3 | ||||||
1. |
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2. |
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Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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Oh ! je voudrais tant que tu te souviennes
Des jours heureux où nous étions amis. En ce temps-là la vie était plus belle, Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle. Tu vois, je n'ai pas oublié... Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Les souvenirs et les regrets aussi Et le vent du nord les emporte Dans la nuit froide de l'oubli. Tu vois, je n'ai pas oublié La chanson que tu me chantais. {Refrain:} C'est une chanson qui nous ressemble. Toi, tu m'aimais et je t'aimais Et nous vivions tous les deux ensemble, Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais. Mais la vie sépare ceux qui s'aiment, Tout doucement, sans faire de bruit Et la mer efface sur le sable Les pas des amants désunis. Les feuilles mortes se ramassent à la pelle, Les souvenirs et les regrets aussi Mais mon amour silencieux et fidèle Sourit toujours et remercie la vie. Je t'aimais tant, tu étais si jolie. Comment veux-tu que je t'oublie ? En ce temps-là, la vie était plus belle Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui. Tu étais ma plus douce amie Mais je n'ai que faire des regrets Et la chanson que tu chantais, Toujours, toujours je l'entendrai ! {Refrain} |
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