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from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003)
Ce fut un choc dans ma poitrine,
quand je le vis dans ta vitrine, cache derriere un' mandoline, ton cor. il me facina et tremblant, je suis entre presqu'haletant, il m'attira comme un aimant, ton cor. Ah ! ce que j'aim'rais souffler dedans, souffler dedans bien fort. Ah ! ce que j'aimerais souffler dedans, souffler dedans ton cor. Souviens-toi je restais muet, je le regardais, le fixais, du bout des doigts je l'effleurais, ton cor. Tu souriais, je te revois, en constatant tout mon emoi, tu me l'as place dans les bras, ton cor. Ah ! ce que j'aim'rais souffler dedans, souffler dedans bien fort. Ah ! ce que j'aimerais souffler dedans, si tu m'pretais ton cor. Comme un petit enfant gate, sur mon coeur je l'ai caresse. Je t'ai dis puis-je l'essayer, ton cor. Tu m'as dit oui, d'un ton bonasse, alors comme quelqu'un qu'on embrasse, j'ai souffle fort avec audace, dans ton beau cor, ton cor de chasse. Ah ! ton cor ! Alors,! tu me le pretes ou tu me l'vends ? |
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003)
Ta mere t'a donne comme prenom
Salade de fruits, ah! quel joli nom Au nom de tes ancetres hawaiens Il faut reconnaitre que tu le portes bien Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a mon pere, tu plais a ma mere Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Un jour ou l'autre il faudra bien Qu'on nous marie Pendus dans la paillote au bord de l'eau Y a des ananas, y a des noix de cocos J'en ai deja goute je n'en veux plus Le fruit de ta bouche serait le bienvenu Je plongerai tout nu dans l'ocean Pour te ramener des poissons d'argent Avec des coquillages lumineux Oui mais en revanche tu sais ce que je veux On a donne chacun de tout son cœur Ce qu'il y avait en nous de meilleur Au fond de ma paillote au bord de l'eau Le palmier qui bouge c'est un petit berceau Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a ton pere, Tu plais a ta mere Salade fruits, jolie, jolie, jolie C'est toi le fruit de nos amours ! Bonjour petit ! |
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from Bourvil - Le Petit Bal De Bourvil (2003)
Ta mere t'a donne comme prenom
Salade de fruits, ah! quel joli nom Au nom de tes ancetres hawaiens Il faut reconnaitre que tu le portes bien Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a mon pere, tu plais a ma mere Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Un jour ou l'autre il faudra bien Qu'on nous marie Pendus dans la paillote au bord de l'eau Y a des ananas, y a des noix de cocos J'en ai deja goute je n'en veux plus Le fruit de ta bouche serait le bienvenu Je plongerai tout nu dans l'ocean Pour te ramener des poissons d'argent Avec des coquillages lumineux Oui mais en revanche tu sais ce que je veux On a donne chacun de tout son cœur Ce qu'il y avait en nous de meilleur Au fond de ma paillote au bord de l'eau Le palmier qui bouge c'est un petit berceau Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a ton pere, Tu plais a ta mere Salade fruits, jolie, jolie, jolie C'est toi le fruit de nos amours ! Bonjour petit ! |
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from Bourvil - Sacree Serie (2003)
Ta mere t'a donne comme prenom
Salade de fruits, ah! quel joli nom Au nom de tes ancetres hawaiens Il faut reconnaitre que tu le portes bien Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a mon pere, tu plais a ma mere Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Un jour ou l'autre il faudra bien Qu'on nous marie Pendus dans la paillote au bord de l'eau Y a des ananas, y a des noix de cocos J'en ai deja goute je n'en veux plus Le fruit de ta bouche serait le bienvenu Je plongerai tout nu dans l'ocean Pour te ramener des poissons d'argent Avec des coquillages lumineux Oui mais en revanche tu sais ce que je veux On a donne chacun de tout son cœur Ce qu'il y avait en nous de meilleur Au fond de ma paillote au bord de l'eau Le palmier qui bouge c'est un petit berceau Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a ton pere, Tu plais a ta mere Salade fruits, jolie, jolie, jolie C'est toi le fruit de nos amours ! Bonjour petit ! |
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from Bourvil - Les Genies De La Chanson : Bourvil (2010)
Ta mere t'a donne comme prenom
Salade de fruits, ah! quel joli nom Au nom de tes ancetres hawaiens Il faut reconnaitre que tu le portes bien Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a mon pere, tu plais a ma mere Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Un jour ou l'autre il faudra bien Qu'on nous marie Pendus dans la paillote au bord de l'eau Y a des ananas, y a des noix de cocos J'en ai deja goute je n'en veux plus Le fruit de ta bouche serait le bienvenu Je plongerai tout nu dans l'ocean Pour te ramener des poissons d'argent Avec des coquillages lumineux Oui mais en revanche tu sais ce que je veux On a donne chacun de tout son cœur Ce qu'il y avait en nous de meilleur Au fond de ma paillote au bord de l'eau Le palmier qui bouge c'est un petit berceau Salade de fruits, jolie, jolie, jolie Tu plais a ton pere, Tu plais a ta mere Salade fruits, jolie, jolie, jolie C'est toi le fruit de nos amours ! Bonjour petit ! |
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| from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - Les Genies De La Chanson : Bourvil (2010) | |||||
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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| from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003) | |||||
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| from Bourvil - Le Petit Bal De Bourvil (2003) | |||||
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| from Bourvil - Suave La Chanson (2004) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - Chansons fran?aises : La tactique du gendarme (2009) | |||||
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| from Bourvil - Le Rois Faineants (2003) | |||||
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| from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003) | |||||
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| from Bourvil - Sacree Serie (2003) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003) | |||||
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| from Bourvil - Le Rois Faineants (2003) | |||||
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| from Bourvil - Le Petit Bal De Bourvil (2003) | |||||
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from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010)
Des ma naissance
Dans l'existence Je n'ai jamais ete gate Je me souviens meme Que a mon bapteme Marraine m'a laisse tomber Et j'ai failli me noyer tout petiot Au fond des fonds baptismaux En premier communiant J'etais tres elegant Mais j'avais mal au dents Pas d'chance Si bien que sur mon piano Il y a toujours cette photo Ou j'ai l'air d'un idiot Pas d'chance A mon certificat J'ai copie sur un gars qui se trompait deja Pas d'chance Plus tard au regiment J'ai fait le mur en sautant Sur le dos de l'Adjudant Pas d'chance Au ministere Comme secretaire Le jour ou j'ai debute Pas tres a l'aise J'offris une chaise A la femme du Depute C'etait la chaise qui avait un pied casse C'est moi que l'on a remplace On me pris par faveur Comme garcon d'ascenseur Mais cela me donnait mal au c?ur Pas d'chance Comme chauffeur de taxi J'aurais bien reussi Mais j'etais trop poli Pas d'chance Des malheurs de ma vie J'ai fait une poesie Mais tout le monde en a rit Pas d'chance Mes peintures sans efforts Se vendront a prix d'or Mais quand je serai mort Pas d'chance Au fond je me plains comme cela Puis je devrais etre heureux Parce que je suis amoureux Mais seulement, il faudrait l'etre a deux Pas d'chance Oh, puis apres tout Quand on a tout rate A quoi bon insister Il n'y a plus que a se repeter Pas d'chance Je m'en fiche pas mal, moi Comme je suis poete Parfois dans ma tete J'imagine le train du bonheur Qui passe a toute vapeur Avec ses voyageurs qui dansent Seulement ce petit train si joli Il ne s'arrete jamais ici C'est peut etre un oubli Tant pis Pas d'chance, hein... |
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| from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003) | |||||
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from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003)
Mon Papa joue du trombone,
Il en joue mieux que personne, C'est un trombone solo bien rigolo. Sa moustache trop longue et dure Se prend dans son embouchure; Puis au lieu de faire "tu tuut" ca fait "coin coin". Plus Papa pousse dans son trombone Plus Papa pousse, plus on s' bidonne Quand la fanfare defile, C'est encore plus difficile, Car mon Papa ne sait pas marcher au pas. Il allonge son trombone Dans l'derriere du saxophone Qui lui dit d'un air rageur: Va jouer ailleurs. Plus Papa pousse dans son trombone Plus Papa pousse, plus on s' bidonne |
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from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003)
C'etait en dix neuf cent vingt six,
Que sur la grand' route de Senlis, Ell' eu un' pann' d'automobile, Et tandis que je tatonnais, en essayant de la depanner, Ell' me murmura, j' m'appelle Odile, Ell'avait un sac en croco, oh oh Odile, Ell'avait une belle auto, oh oh Odile, Ell'avait aussi un tres beau chassis, l'automobile, Quand on appuyait sur ses jolies poires Ca faisait pouet pouet (coin coin) Oh oh oh ell' avait un sac en crocro oh oh Odile, Ell'avait une belle auto, oh oh Odile, Et sous l'pont arrier', un peu de poussier' l'automobile, Ell'avait de bell' couleur, oh oh Odile, Comme je verifiais l'essieu, Dans mes beaux yeux elle vit les cieux, Mon charme avait conquis Odile, En faisant demarrer l'moteur, J'ai cru entendre parler son c?ur, Ainsi demarra notr' idylle, Ell'avait un sac en croco, oh oh Odile, Ell'avait une belle auto, oh oh Odile, Tres bien carrossee, la ligne elancee, l'automobile, Quand elle avait froid, Avant d'partir ell' faisait comm' ca, heuh heuh Oh oh oh ell' avait un sac en crocro, oh oh Odile, Ell'avait une belle auto, oh oh Odile, Deux petits par chocs qu'etaient pas en toc, l'automobile, Ell' se conduisait bien, oh oh Odile, {Instrumental} Et comme' elle' etait tres bonn' a croquer, moi je jubile, Car l'ayant epousee, je croque Odile ! |
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| from Bourvil - Les Genies De La Chanson : Bourvil (2010) | |||||
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| from Bourvil - Chansons fran?aises : La tactique du gendarme (2009) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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from Bourvil - Sacree Serie (2003)
Un champ d'etoiles pour clocher,
Quatre maisons, l'une apres l'une, Jouant dans l'ombre a chat perche, C'est mon village au clair de lune. Au-dessus d'elles, tout poudreux, Le vieux moulin de la commune, Plein de murmures d'amoureux, C'est mon village au clair de lune. C'est la qu'un soir, bien doucement, Derriere un mur fleurant le grain, J'ai connu mon premier serment, Et trouve mon premier chagrin. Aussi, de tous mes souvenirs Faits de bonheurs ou d'infortunes, Le plus fidele a revenir, C'est mon village au clair de lune. Aussi, de tous mes souvenirs Faits de bonheurs ou d'infortunes, Le plus fidele a revenir, C'est mon village au clair de lune |
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from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010)
Mon bon vieux grand-pere qu'etait comedien
Quand j'etais gamin, chantait ce refrain Tout en remontant avec precaution La p'tite manivelle d'un vieux phono a pavillon Sur mon phono, mon bon vieux phono Petit, tu vois, Quand j'ai l' c?ur gros, je mets un rouleau Et je revois, Je r'vois Paulus, Mayol, les rois du music-hall, Dranem, narquois, qui chantait "Les p'tits pois" Sur mon phono, mon bon vieux phono Sans m' deranger Je peux ecouter l' premier numero De Chevalier Je vois La Scala, l'Eldorado Et moi en l'ver de rideau Sur mon phono, mon bon vieux phono Qui chante faux Par un soir d'hiver, pour une grande tournee Grand-pere est monte au ciel etoile Et j'ai herite - oh, pas d' ses millions - Mais de son metier et du phono a pavillon Sur mon phono, mon bon vieux phono Comme autrefois Quand j'ai l' cafard, qu' les contrats sont rares Alors ma foi Je donne un tour de cle a son c?ur de metal Et d' son cote, y me r'monte le moral Et meme si j' n'ai pour mon dejeuner Qu'un p'tit sandwich En ecoutant son vieux son fele, Je m' sens plus riche Et je suis pret a mettre au clou Ma montre et mes bijoux Mais surement pas, je vous l' dis bien haut, Mon vieux phono ! Et nous rest'rons, c'est bien certain Unis comme les doigts de la main Car mon phono, mon bon vieux phono Oui mon phono, mon bon vieux phono Qui a connu mes joies, mes chagrins C'est mon copain ! |
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| from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003) | |||||
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| from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003) | |||||
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| from Bourvil - Chansons fran?aises : La tactique du gendarme (2009) | |||||
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| from Bourvil - Le Petit Bal De Bourvil (2003) | |||||
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| from Bourvil - Sacree Serie (2003) | |||||
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| from Bourvil - Les Genies De La Chanson : Bourvil (2010) | |||||
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| from Bourvil - Le Rois Faineants (2003) | |||||
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from Bourvil - Les Genies De La Chanson : Bourvil (2010)
A l'hopital de la Salpetriere
Un medecin connu, un grand patron La legion d'honneur a la boutonniere Devant les lits et la consultation Une fillette est la avec sa mere Le docteur dit : "Elle a le teint palot" Donnez-lui donc de facon reguliere Matin et soir une assiette de pruneaux - On n'en a pas, dit l'infirmier La mere accourt chez l'epicier "Donnez-moi des pruneaux Des pruneaux pour ma fille Une livre, un kilo Donnez-moi des pruneaux Si c'est des pruneaux cuits Gardez-les dans leur jus Si c'est des pruneaux crus J'attendrai qu'ils soient cuits Donnez-moi des pruneaux Des pruneaux pour ma fille Des petits ou des gros Donnez-moi, donnez-moi, donnez-moi des pruneaux" Elle continua gravissant son calvaire Et vit au loin un endroit mal fame Ou les clients a coups de revolvers Reglaient des comptes qu'ils avaient a regler Sans hesiter elle traversa la rue Le c?ur gonfle de son dernier espoir Mais elle recue une balle perdue Et quand on la retrouva sur le trottoir Aux deux agents qui l'emportaient Les yeux fermes elle chantait : "Donnez-moi des pruneaux Des pruneaux pour ma fille Des petits ou des gros Donnez-moi des pruneaux" En retirant son kepi alors un agent dit : "Pruneaux cuit, pruneaux crus, Je crois que tout est foutu Faut l'emporter a l'hosto Pour retrouver sa fille Et tirer le rideau Sur l'histoire, sur l'histoire des pruneaux." |
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| from Bourvil - Le Rois Faineants (2003) | |||||
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from Bourvil - Collection Disques Pathe (1997)
Monsieur Blanc, jamais de repos,
sept heures du matin, deja au boulot, fatigue avec tout ce bruit, n'a pas ferme l'oeil de toute la nuit. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, dans un coquillage d'argent, ecoutent chanter l'ocean. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, ont cueilli pour s'habiller des guirlandes d'orchidees. Monsieur Blanc courir pour manger, courir pour travail, courir pour aimer, Monsieru Blanc regarder cent fois si la p'tite aiguille, elle est toujours la. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, pour se donner du mouv'ment, dansent, dansent dans le vent. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, ont cueilli pour dejeuner, un panier de fruits dores. Monsieur Blanc pilule pour le coeur, pilule pour le foie, pilule pour sa soeur, tout l'argent donne au docteur, donne avocat, donne precepteur. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, passent le temps a s'embrasser en s'frottant le bout du nez, Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, s'endorm'nt sur un lit de fleurs sans connaitre leur bonheur. papous, papous, deux papous.. |
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from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003)
Monsieur Blanc, jamais de repos,
sept heures du matin, deja au boulot, fatigue avec tout ce bruit, n'a pas ferme l'oeil de toute la nuit. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, dans un coquillage d'argent, ecoutent chanter l'ocean. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, ont cueilli pour s'habiller des guirlandes d'orchidees. Monsieur Blanc courir pour manger, courir pour travail, courir pour aimer, Monsieru Blanc regarder cent fois si la p'tite aiguille, elle est toujours la. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, pour se donner du mouv'ment, dansent, dansent dans le vent. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, ont cueilli pour dejeuner, un panier de fruits dores. Monsieur Blanc pilule pour le coeur, pilule pour le foie, pilule pour sa soeur, tout l'argent donne au docteur, donne avocat, donne precepteur. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, passent le temps a s'embrasser en s'frottant le bout du nez, Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, s'endorm'nt sur un lit de fleurs sans connaitre leur bonheur. papous, papous, deux papous.. |
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from Bourvil - Sacree Serie (2003)
Monsieur Blanc, jamais de repos,
sept heures du matin, deja au boulot, fatigue avec tout ce bruit, n'a pas ferme l'oeil de toute la nuit. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, dans un coquillage d'argent, ecoutent chanter l'ocean. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, ont cueilli pour s'habiller des guirlandes d'orchidees. Monsieur Blanc courir pour manger, courir pour travail, courir pour aimer, Monsieru Blanc regarder cent fois si la p'tite aiguille, elle est toujours la. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, pour se donner du mouv'ment, dansent, dansent dans le vent. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, ont cueilli pour dejeuner, un panier de fruits dores. Monsieur Blanc pilule pour le coeur, pilule pour le foie, pilule pour sa soeur, tout l'argent donne au docteur, donne avocat, donne precepteur. Et la-bas, la-bas, tout la-bas, dans un' ile gross' comm' un p'tit pois. Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, passent le temps a s'embrasser en s'frottant le bout du nez, Papous, papous, deux papous deux papous gentils comm'tout, s'endorm'nt sur un lit de fleurs sans connaitre leur bonheur. papous, papous, deux papous.. |
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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| from Bourvil - Chansons fran?aises : La tactique du gendarme (2009) | |||||
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from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003)
On doit chanter ce que l'on aime
Exalter tout ce qui est beau C'est pour cela qu'en un poeme Je vais chanter les haricots Alors que tout repose encore Des le premier cocorico A qu'il est doux quant vient l'aurore De voir semer les haricots Et puis un jour sortant de terre Et se dressant toujours plus haut Vers le soleil, vers la lumiere On voit pousser les haricots Au printemps la rose est eclose En ete, le coquelicot Mais quel spectacle grandiose De voir fleurir les haricots Plus tard les paysans de France S'agenouillant, courbant le dos Ont l'air de faire reverence Pour mieux cueillir les haricots Mais ces courbettes hypocrites Precedent la main du bourreau Qui les jetant dans la marmite Met a bouillir les haricots Et lorsque vient leur derniere heure Ont les sert autour d'un gigot Et chaque fois mon ame pleure Car c'est la fin des haricots |
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from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003)
On doit chanter ce que l'on aime
Exalter tout ce qui est beau C'est pour cela qu'en un poeme Je vais chanter les haricots Alors que tout repose encore Des le premier cocorico A qu'il est doux quant vient l'aurore De voir semer les haricots Et puis un jour sortant de terre Et se dressant toujours plus haut Vers le soleil, vers la lumiere On voit pousser les haricots Au printemps la rose est eclose En ete, le coquelicot Mais quel spectacle grandiose De voir fleurir les haricots Plus tard les paysans de France S'agenouillant, courbant le dos Ont l'air de faire reverence Pour mieux cueillir les haricots Mais ces courbettes hypocrites Precedent la main du bourreau Qui les jetant dans la marmite Met a bouillir les haricots Et lorsque vient leur derniere heure Ont les sert autour d'un gigot Et chaque fois mon ame pleure Car c'est la fin des haricots |
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| from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003) | |||||
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from Bourvil - Les Genies De La Chanson : Bourvil (2010)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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| from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003) | |||||
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from Bourvil - Le Rois Faineants (2003)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Bourvil - Le Petit Bal De Bourvil (2003)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Bourvil - Suave La Chanson (2004)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from France, Les Belles Chansons...Volume 1 (2008)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Les chansons en or, vol. 3 (2009)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Fifties vol 4 (2009)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Hits 50 vol 4 (2009)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Les chansons d'antan, vol. 3 (2009)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010)
Ell' n'avait pas de parents,
Puisque elle etait orpheline. Comm' ell' n'avait pas d'argent, Ce n'etait pas un' richissime. Ell' eut c'pendant des parents, Mais ils ne l'avaient pas r'connue, Si bien que la pauvr' enfant, On la surnomma l'inconnue. Ell' vendait des cart' postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendr' des crayons. Elle disait aux gens d'la rue : "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme de n'pas reconnaitre son enfant, Il faut pas etre physionomiste ! Il m'semble que si j'avais un enfant, moi je le reconnaitrais ! A condition qu'il me ressemble, naturellement ! C'etait rue d'Menilmontant, Qu'elle etalait son p'tit panier. Pour attirer les clients, Ell' remuait un peu son panier, Mais un jour, un vagabond Qui passait aupres d'son panier Lui a pris tous ses crayons, Alors, ell' s'est mise a crier : "Voulez-vous des cartes postales ? Je n'ai plus de crayons.", Mais les gens, chose banale, N'voulaient plus qu'des crayons. Quand elle criait dans la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Ils disaient a l'inconnue : "Tes crayons sont pas bons.", C'est ca qu'est triste. C'est triste quand meme, elle avait plus d'crayons. Forcement, elle s'baladait avec son panier a decouvert, n'est-ce pas ? Alors l'vagabond, lui, il passait a cote d'son panier, n'est-ce pas ? Alors avec sa main, alors ... heu ... hop ! Il lui a pris tous ses crayons, comme ca elle n'en avait plus. C'est vrai qu'elle n'en avait pas besoin puisqu'elle n'en vendait jamais ! Mais quand meme ! Un marchand d'crayons en gros Lui dit : "Viens chez moi mon enfant, Je t'en ferai voir des beaux, Je n'te demanderai pas d'argent." Ce fut un drole de marche, Car c'etait un drole de marchand, Et elle l'a senti passer, Car elle en a eu un enfant. C'est triste ca quand meme d'abuser d'une inconnue comme ca ! C'est vrai qu'elle a ete faible aussi ! C'est pas parce qu'il disait qu'il avait un... qu'il etait... Enfin, elle avait un enfant quoi, elle avait bonne mine ! Si seulement elle avait eu une mine de crayon ! Mais non, mais c'est ca qui la minait ! Alors elle l'a abandonnee, son enfant, Et qu'est-ce qu'elle a fait plus tard cette enfant, hein ? Elle vendait des cartes postales, Puis aussi des crayons, Car sa destinee fatale, C'etait d'vendre des crayons. Elle disait aux gens d'la rue, "Voulez-vous des crayons ?" Mais r'connaissant l'inconnue, Ils disaient toujours non. C'est ca qu'est triste |
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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from Bourvil - 20 Chansons D'Or (2003)
L'essaim se gonfle et s'abandonne
A la caresse du printemps Et, dans la ruche, tourbillonnent, Pretes a prendre leur elan, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Se posant par cent et par mille Sur les fleurs qui s'ouvrent a peine, Elles butinent leur pistil Pour en extraire le pollen, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Ces gentilles petites bestioles Fabriquent d'abord de la cire. Elles y font des alveoles, Doux petits nids pour bien dormir, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Mais gare a celui qui s'egare Au milieu d'elles, par hasard. Il aura beau s'enfuir dare-dare, Il sera pique par le dard. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Quand vient le grand jour de la ponte, La reine doit faire de son corps don Et dans l'azur elle monte, monte, Poursuivie par tous les bourdons. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, ca va etre sa fete ! C'est celui qui la rattrapera Qui sera le bourdon papa, Mais, tout de suite apres, il mourra Pour avoir donne tout ce qu'il a. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, vaches d'abeilles ! Si tous les hommes ici-bas Devaient mourir a ce moment-la, J'en connais plus d'un, croyez-moi, Qui y regardrait a deux fois. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, a d'autres ! Heureusement que c'est pas demain la veille Que les femmes deviendront abeilles. Dans ce cas, je dors sur mes deux oreilles Et je dis miel aux petites abeilles. Pensez bien, moi quand j'suis avec ma fiancee, J'me fiche pas mal des abeilles... Les abeilles... J'me demande un peu... Enfin, allez, a la ruche... A la ruche... |
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from Bourvil - Le Rois Faineants (2003)
L'essaim se gonfle et s'abandonne
A la caresse du printemps Et, dans la ruche, tourbillonnent, Pretes a prendre leur elan, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Se posant par cent et par mille Sur les fleurs qui s'ouvrent a peine, Elles butinent leur pistil Pour en extraire le pollen, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Ces gentilles petites bestioles Fabriquent d'abord de la cire. Elles y font des alveoles, Doux petits nids pour bien dormir, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Mais gare a celui qui s'egare Au milieu d'elles, par hasard. Il aura beau s'enfuir dare-dare, Il sera pique par le dard. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Quand vient le grand jour de la ponte, La reine doit faire de son corps don Et dans l'azur elle monte, monte, Poursuivie par tous les bourdons. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, ca va etre sa fete ! C'est celui qui la rattrapera Qui sera le bourdon papa, Mais, tout de suite apres, il mourra Pour avoir donne tout ce qu'il a. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, vaches d'abeilles ! Si tous les hommes ici-bas Devaient mourir a ce moment-la, J'en connais plus d'un, croyez-moi, Qui y regardrait a deux fois. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, a d'autres ! Heureusement que c'est pas demain la veille Que les femmes deviendront abeilles. Dans ce cas, je dors sur mes deux oreilles Et je dis miel aux petites abeilles. Pensez bien, moi quand j'suis avec ma fiancee, J'me fiche pas mal des abeilles... Les abeilles... J'me demande un peu... Enfin, allez, a la ruche... A la ruche... |
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from Bourvil - La Ronde Du Temps (2003)
L'essaim se gonfle et s'abandonne
A la caresse du printemps Et, dans la ruche, tourbillonnent, Pretes a prendre leur elan, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Se posant par cent et par mille Sur les fleurs qui s'ouvrent a peine, Elles butinent leur pistil Pour en extraire le pollen, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Ces gentilles petites bestioles Fabriquent d'abord de la cire. Elles y font des alveoles, Doux petits nids pour bien dormir, Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Mais gare a celui qui s'egare Au milieu d'elles, par hasard. Il aura beau s'enfuir dare-dare, Il sera pique par le dard. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz... les abeilles ! Quand vient le grand jour de la ponte, La reine doit faire de son corps don Et dans l'azur elle monte, monte, Poursuivie par tous les bourdons. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, ca va etre sa fete ! C'est celui qui la rattrapera Qui sera le bourdon papa, Mais, tout de suite apres, il mourra Pour avoir donne tout ce qu'il a. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, vaches d'abeilles ! Si tous les hommes ici-bas Devaient mourir a ce moment-la, J'en connais plus d'un, croyez-moi, Qui y regardrait a deux fois. Bzz, bzz, bzz, Bzz, bzz, bzz, a d'autres ! Heureusement que c'est pas demain la veille Que les femmes deviendront abeilles. Dans ce cas, je dors sur mes deux oreilles Et je dis miel aux petites abeilles. Pensez bien, moi quand j'suis avec ma fiancee, J'me fiche pas mal des abeilles... Les abeilles... J'me demande un peu... Enfin, allez, a la ruche... A la ruche... |
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from Bourvil - Collection Disques Pathe (1997)
Le voleur de pervenches
Il est encore en prison Il a vole deux pervenches Pour en faire deux chansons Il a fait la premiere Pour le beaux yeux de Sylvie La deuxieme pour sa mere Les deux femmes de sa vie Bienheureux le voleur Quand il vole des fleurs Pour l'amour et le c?ur La, la, la, la . . . . Le voleur de pervenches A le c?ur en liberte Les prisons sans dimanche N'empechent pas d'aimer Et pour sa recompense Un miracle est arrive Car il pleut des pervenches La prison s'est ecrasee Bienheureux prisonnier Ton amour t'a paye D'un printemps tout entier La, la, la, la . . . . Le voleur de pervenches S'est enfuit de sa prison Il a des fleurs dans les manches Et l'printemps aux talons Toutes ces fleurs pour sa mere Pour Sylvie et ses beaux yeux Il a fleurit toute la terre Les printemps sont toujours bleus La, la, la, la . . . . |
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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from Bourvil - Chansons fran?aises : La tactique du gendarme (2009)
Dans une loterie a la fete foraine
De joyeux fetards risquaient des enjeux Mais un p'tit gamin de six ans a peine Suivait la roulette d'un air anxieux Soudain le patron, d'une voix farouche Dit : "Le numero 5 a gagne le gros lot" Un joli bocal et un poisson rouge Choisissez Monsieur sur le rayon d'en haut Le joueur avide, deja tendait la main Quand on entendit murmurer le bambin : "Ce n'est qu'un p'tit poisson rouge Mais malgre sa couleur Sous ses ecailles bouge Un bon p'tit coeur Pour vous c'n'est qu'une amusette Un peu d'joie qui s'achete Laissez-moi mon compagnon N'emportez pas mon petit poisson !" {Parle:} Forcement, ce petit bambin, ca lui faisait envie, le poisson ! Cela faisait deja deux heures qu'il jouait, il avait depense tous les sous de son porte-monnaie parce que sa mere l'avait envoye chercher le lait et puis l'pain et tout ca. Mais triste destin, il n'avait pas gagne, il comprenait pas c'que c'etait que le jeu, c'est pour ca que inconsciemment, inconsciemment, il a dit au gagnant : "Vous.. vous m'le donnez pas le petit poisson ?" Non dit le joueur, j'lai gagne, je l'garde Je veux l'emporter et l'faire empailler Et l'pauvre gosse partit Vers sa p'tite mansarde Sous les ricanements du joueur sans pitie Mais hors du bocal, d'un coup d'queue agile Dans le caniveau sauta le poisson Qui suivit l'enfant a son domicile Mais mourut de fatigue sur le paillasson {Parle:} Forcement, il manquait d'eau, mais fallait qu'il soit agile ce petit poisson-la, et intelligent ah, oui, puis brave ! Ah, oui, on peut dire qu'il etait brave ! Voila pourquoi on peut dire bien souvent : Y a des betes qui sont meilleures que les gens Ce n'est qu'un p'tit poisson rouge Mais malgre sa couleur Sous ses ecailles bougeait Un bon p'tit coeur Preferant l'amour sincere Aux richesses mensongeres Il est mort car les poissons Ca ne vit pas sur les paillassons C'est bien trop sec pour les p'tits poissons |
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| from Bourvil - Collection Disques Pathe (1997) | |||||
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| from Bourvil - Suave La Chanson (2004) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||
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| from Bourvil - Chansons fran?aises : La tactique du gendarme (2009) | |||||
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| from Bourvil - A Bicyclette/Disques Pathe (2000) | |||||
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| from Bourvil - Bourvil, Rires Et Tendresse (2010) | |||||





