Son cabas sous le bras, en pleine nonchalance Un peintre en batiment de moyenne importance En ce jour de conge, traine son anatomie Un sourrie iradiant sa tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Une fois bien maquille sa tete de mardi L'ovreuse de cinema ressasse les images Qui se sont projetees dessus son blanc corsage Esperant, pour demain, du neuf, de l'inedit
Aujourd'hui Mercredi, demain Jeudi, c'est bath! Tous les gens que je croise ont la tete adequate Tetes blondes, tetes brunes si bien galvanisees Jour apres jour, au rythme des caledrivers
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Ce matin je velt ma tete des dimanches Journees emblematiques ou la semaine calanche Dans une iterminable fin d'apres midi J'attends impatiment ma tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Il est parti en voyage L'homme de tous les instants en bagages Car c'est un grand baladeur de bitume D'une espece peu commune
C'est un touriste admirable Certes curiex mais toujours tres affable Il est fort bien equipe Car chez lui, tout est jetable
Il s'en va souvent Il s'egare aussi Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Des plaines, des blonds deserts, des recifs Des mers, des estuaries, des glaciers Attention, c'est un touriste Qui en a vu, des ses yeux, vu des paysages Etonnant, car lui n'a jamais plie bagages
Lorsque la pluie se dechaine Lui, sous le soleil, traverse une plaine Calme etendue sauvageonne Car pour l'heure, il n'y voit personne
Il voyage En solo Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Vers ces plaines, ces blonds deserts, ces recifs Ces mers, ces estuaries, ces glaciers A jamais, c'est un touriste Qui en a vu, des ses yeux, vu des paysages Etonnant, car lui n'a jamais plie bagages
Mais en son for interieur L'ennui l'attend pour y fonder sa demeure Lui parasiter ses cartes routieres Effacer ses arrieres Qu'il se perde, c'est vrai Qu'il s'y retrouve aussi Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Je me mefie de l'eau qui dort Je me defie des bras qui, forts, M'en tombent Langoureusement Amoureuse De tous ces cas d'especes Je me suis bien amusee De tout, j'ai bien profite De bal en mal Si souvent emballee Pour un rien, je sais…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Je me suis mefiee des amnesiques Dans le cirque des annees "Tabouret" Lumieres en poursuite Sur les coeurs Les flonflons amateurs Je me suis bien amusee De tout ai-je bien profite ? D'envies Souvent si naives En pre sentiments Qui maintenant, me suivent…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Son cabas sous le bras, en pleine nonchalance Un peintre en batiment de moyenne importance En ce jour de conge, traine son anatomie Un sourrie iradiant sa tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Une fois bien maquille sa tete de mardi L'ovreuse de cinema ressasse les images Qui se sont projetees dessus son blanc corsage Esperant, pour demain, du neuf, de l'inedit
Aujourd'hui Mercredi, demain Jeudi, c'est bath! Tous les gens que je croise ont la tete adequate Tetes blondes, tetes brunes si bien galvanisees Jour apres jour, au rythme des caledrivers
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Ce matin je velt ma tete des dimanches Journees emblematiques ou la semaine calanche Dans une iterminable fin d'apres midi J'attends impatiment ma tete de lundi
Chaque jour, son visage Mais le meme paysage Defile en continu C'est le train train absolu
Il est parti en voyage L'homme de tous les instants en bagages Car c'est un grand baladeur de bitume D'une espece peu commune
C'est un touriste admirable Certes curiex mais toujours tres affable Il est fort bien equipe Car chez lui, tout est jetable
Il s'en va souvent Il s'egare aussi Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Des plaines, des blonds deserts, des recifs Des mers, des estuaries, des glaciers Attention, c'est un touriste Qui en a vu, des ses yeux, vu des paysages Etonnant, car lui n'a jamais plie bagages
Lorsque la pluie se dechaine Lui, sous le soleil, traverse une plaine Calme etendue sauvageonne Car pour l'heure, il n'y voit personne
Il voyage En solo Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Vers ces plaines, ces blonds deserts, ces recifs Ces mers, ces estuaries, ces glaciers A jamais, c'est un touriste Qui en a vu, des ses yeux, vu des paysages Etonnant, car lui n'a jamais plie bagages
Mais en son for interieur L'ennui l'attend pour y fonder sa demeure Lui parasiter ses cartes routieres Effacer ses arrieres Qu'il se perde, c'est vrai Qu'il s'y retrouve aussi Dans sa vie, pas tres Zanzibar, sans envie de Patagonie
Je me mefie de l'eau qui dort Je me defie des bras qui, forts, M'en tombent Langoureusement Amoureuse De tous ces cas d'especes Je me suis bien amusee De tout, j'ai bien profite De bal en mal Si souvent emballee Pour un rien, je sais…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer
Je me suis mefiee des amnesiques Dans le cirque des annees "Tabouret" Lumieres en poursuite Sur les coeurs Les flonflons amateurs Je me suis bien amusee De tout ai-je bien profite ? D'envies Souvent si naives En pre sentiments Qui maintenant, me suivent…
Je ne sais ou je veux bien aller Si je suis mouton dans un pre carre Ou bien megot sous un talon d'acier Je ne sais, je ne sais qui fumer