J’etais un homme heureux avant de te connatre J’avais refoul tout au fond de mon tre Cette force du sexe touffue dans mon adolescence Je n'avais que deux matresses, la religion et la science
Oh! tre pretre et aimer une femme L’aimer de toutes les fureurs de son me!
Contre vents et mares j’etais inbranlable Droit et fier comme une tour de cathedrale Quand tu vins comme un ver me ronger par dedans Et reveiller en moi le feu d’un vieux volcan
Oh! etre pretre et aimer une femme L’aimer de toutes les fureurs de son eme!
Je vivais loin des femmes, flagell dans ma chair Quand au coeur de la nuit, ce fut comme un eclair Distrait de ma priere, j’ai ouvert ma fenetre Au jour qui se levait pour te voir apparaetre
Oh! etre pretre et aimer une femme L’aimer, oui l'aimer, de toutes les fureurs de son eme! Oh! etre pretre et aimer une femme
Caresse-moi d’une main, torture-moi de l’autre Fais-moi expier ma faute L’enfer oe tu iras, j’irai aussi Et ce sera mon paradis
Oh! etre pretre et aimer une femme L’aimer, oui l’aimer, de toutes les fureurs de son eme! Oh! etre pretre et aimer une femme Une femme -
Cet ocean de passion Qui deferle dans mes veines Qui cause ma deraison Ma deroute, ma deveine Doucement j’y plongerai Sans qu’une main me retienne Lentement je m’y noierai Sans qu’un remords ne me vienne Tu vas me detruire Tu vas me detruire Et je vais te maudire Jusqu’e la fin de ma vie Tu vas me detruire Tu vas me detruire J’aurais pu le predire D?s le premier jour D?s la premiere nuit Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Mon peche, mon obsession Desir fou qui me tourmente Qui me tourne en derision Qui me dechire et me hante Petite marchande d’illusion Je ne vis que dans l’attente De voir voler ton jupon Et que tu danses et tu chantes Tu vas me detruire Tu vas me detruire Et je vais te maudire Jusqu’e la fin de ma vie Tu vas me detruire Tu vas me detruire J’aurais pu le predire Des le premier jour Des la premiere nuit Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire
Moi qui me croyais l’hiver Me voici un arbre vert Moi qui me croyais de fer Contre le feu de la chair Je m’enflamme et me consume Pour les yeux d’une etrangere Qui ont bien plus de mystere Que la lumiere de la lune Tu vas me detruire Tu vas me detruire Et je vais te maudire Jusqu’a la fin de ma vie Tu vas me detruire Tu vas me detruire J’aurais pu le pr?dire Des le premier jour Des la premiere nuit Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire
Cet ocean de passion Qui deferle dans mes veines Qui cause ma deraison Ma deroute, ma deveine Doucement j’y plongerai Sans qu’une main me retienne Lentement je m’y noierai Sans qu’un remords ne me vienne Tu vas me detruire Tu vas me detruire Et je vais te maudire Jusqu’e la fin de ma vie Tu vas me detruire Tu vas me detruire J’aurais pu le predire D?s le premier jour D?s la premiere nuit Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Mon peche, mon obsession Desir fou qui me tourmente Qui me tourne en derision Qui me dechire et me hante Petite marchande d’illusion Je ne vis que dans l’attente De voir voler ton jupon Et que tu danses et tu chantes Tu vas me detruire Tu vas me detruire Et je vais te maudire Jusqu’e la fin de ma vie Tu vas me detruire Tu vas me detruire J’aurais pu le predire Des le premier jour Des la premiere nuit Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire
Moi qui me croyais l’hiver Me voici un arbre vert Moi qui me croyais de fer Contre le feu de la chair Je m’enflamme et me consume Pour les yeux d’une etrangere Qui ont bien plus de mystere Que la lumiere de la lune Tu vas me detruire Tu vas me detruire Et je vais te maudire Jusqu’a la fin de ma vie Tu vas me detruire Tu vas me detruire J’aurais pu le pr?dire Des le premier jour Des la premiere nuit Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire Tu vas me detruire
J’etais un homme heureux avant de te connatre J’avais refoul tout au fond de mon tre Cette force du sexe touffue dans mon adolescence Je n'avais que deux matresses, la religion et la science
Oh! tre pretre et aimer une femme L’aimer de toutes les fureurs de son me!
Contre vents et mares j’etais inbranlable Droit et fier comme une tour de cathedrale Quand tu vins comme un ver me ronger par dedans Et reveiller en moi le feu d’un vieux volcan
Oh! etre pretre et aimer une femme L’aimer de toutes les fureurs de son eme!
Je vivais loin des femmes, flagell dans ma chair Quand au coeur de la nuit, ce fut comme un eclair Distrait de ma priere, j’ai ouvert ma fenetre Au jour qui se levait pour te voir apparaetre
Oh! etre pretre et aimer une femme L’aimer, oui l'aimer, de toutes les fureurs de son eme! Oh! etre pretre et aimer une femme
Caresse-moi d’une main, torture-moi de l’autre Fais-moi expier ma faute L’enfer oe tu iras, j’irai aussi Et ce sera mon paradis
Oh! etre pretre et aimer une femme L’aimer, oui l’aimer, de toutes les fureurs de son eme! Oh! etre pretre et aimer une femme Une femme -