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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Je reprends un Campari Soda
Loin sur moi la mer des nuages Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si j'existais pas Par le hublot je vois des turbines L' avion se balance doucement dans l'air Le copilote dit au microphone "On your left you can see Balpmoos in the dust." Je reprends un Campari Soda Loin sous moi la mer de brouillard Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si j'existais pas Je reprends un Campari Soda Loin sous moi la mer des nuages Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si on n'existait pas Words and music by Dominique Grandjean |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999) | |||||
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Je compte sur les doigts
De ma main gauche Combien il reste de lunes Avant que les jours ne s'allongent Je compte sur les doigts De ma main droite Combien il reste d'etes Avant que le soleil ne se couche sans moi Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher Je verifie mes factures de telephone Dans l'espoir de voir l'avenir Peut-etre certains de ces chiffres Portent-ils chance Je cherche ma voie Sur la carte routiere de mon visage Peut-etre y a t'il des signes A chaque croisement de rides Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher J'entends le tic-tac de l'horloge Le sang boue dans mes veines Ma tete tourne Et mes mains moites J'entends le tic-tac de l'horloge Le tumulte de mon esprit Tout tourne autour de moi Mes mains transpirent Allez, fais-moi peur Je crois que j'aime ca Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher Words and music by Stephan Eicher |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999) | |||||
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
J'en ai assez
Laisse-moi me lever Jette l'eponge Ca y est La date a expire J'ai fait ce que j'avais a faire Je suis fatigue Laisse-moi partir Compte Huit, Neuf, Sonne la cloche! Je prepare ma valise Je laisse les cles Prends un train Souhaite-moi bonne chance Ai-je entendu sept ? Huit, Neuf ? Sonne la cloche, S'il-te-plait sonne la cloche! Je veux rentrer chez moi Ou que cela puisse etre Je veux rentrer chez moi Quoi que cela implique Je veux rentrer chez moi Ou que cela soit Laisse-moi simplement rentrer chez moi Ou est l'endroit Ou ma bien aimee dort ? A ses cotes Laisse-moi me reveiller Son corps Chaud et calme Laisse-moi couler Pour mon bien Pourquoi, oh pourquoi Trainer cette vie Sur cette colline Et disparaitre A travers le passe L'espace de joie C'etait de la sueur Maintenant ce ne sont que des larmes Ai-je entendu sept, Huit, Neuf ? Sonne la cloche S'il-te-plait sonne la cloche ! Je veux rentrer chez moi Ou que cela puisse etre Je veux rentrer chez moi Quoi que cela implique Je veux rentrer chez moi Ou que cela soit Laisse-moi simplement rentrer chez moi Words and music by Stephan Eicher |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Hell's Kitchen
Je sens la terre Pousser contre mes pieds Tout tremble Tout s'ecroule Je vois le ciel A travers l'eau Et il pleut encore Sur un homme qui se noie Je suis dans la cuisine de l'enfer Diable, qu'est ce qu'il se prepare? Tout est en flamme autour de moi Mais je suis gele J' ai oublie nos secrets Quel crime ai-je commis ? Te briser le coeur - Brise le mien J'ai la bouteille A la bouche Je tiens cette bouteille Comme un pistolet charge Je suis dans la cuisine de l'enfer Diable, qu'est ce qu'il se prepare? Tout est en flamme autour de moi Mais je suis gele Et je deteste Detester mes choix Oui je deteste ma voix Et je deteste Mon dernier recours Et a partir d' ici Je continue a chanter Est-ce que quelqu'un peut me dire Ce que l'on crie Est-ce que quelqu'un peut me dire De quoi il s'agit De trebucher et de tomber Le vieux refrain Il faut que je me releve Et que je continue Je suis dans la cuisine de l'enfer Diable, qu'est ce qu'il se prepare? Tout est en flamme autour de moi Mais je suis gele Et j'ai en marre Des 'Good bye' Words by Stephan Eicher Music by Stephan Eicher and Achim Meier |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Or, on ne peut pas toujours mourir
A trente ans et en rester la Or, on ne peut pas toujours se dire La verite, ca ne marche pas Sur le mur, tes amants defilent Montes sur des chevaux de bois Tu te demandes a quoi ca rime Et jusqu'au soir, tu restes la Comme si la fin du monde allait venir Et jeter son manteau sur toi Mais des regrets, mais des soupirs A digerer, qui n'en a pas Or, on a que des souvenirs Et il faut les garder pour soi Il y a un temps pour les sortir Il y a un temps ou ils sont froids Sur les murs dans une autre ville Tu reconnais d'autres endroits Tu penses que tu en connais mille Et sans bouger tu restes la Comme si la fin du monde allait venir Et jeter son manteau sur toi Mais des regrets, mais des soupirs A digerer, qui n'en a pas Nous etions tous Fous de toi Nous voulions tous De tes bras Sentir la douce Etreinte et la Sueur et la mousse Coller nos doigts Comme si la fin du monde allait venir Et jeter son manteau sur toi Mais des regrets, mais des soupirs A digerer, qui n'en a pas Words by Philippe Djian Music by Stephan Eicher |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999) | |||||
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Ces quelques mots avant le soir
Je ne voudrais pas partir trop tard Cette fois c'est moi qui cherche une rime Avec so long ou ciao bambina Nous avons tenté l'impossible Avons fouillé ce qui était vide Dommage qu'on n'ait pas le coeur tendre Car nous allions si bien ensemble Mais je tiens A louer Tous nos vains efforts Pour durer Et je tiens A louer Tous nos vains efforts Pour durer La maison te paraîtra grande Quand tu ne m'auras plus dans les jambes Et tu verras ce n'est pas drôle On se cogne toujours à des fantômes N'avions pas besoin l'un de l'autre Au point de nous passer nos fautes Notre aventure arrive au bout Le souffle court, le ventre mou Mais je tiens A louer Tous nos vains efforts Pour durer Oui je tiens A louer Tous nos vains efforts Pour durer Le vent qui nous soulevait de terre N'est plus qu'un simple courant d'air Ni rage au coeur ni vague à l'âme Rien à demander à soeur Anne Suis arrivé en bas de page Inutile d'en dire davantage Chacun reprend sa couverture Et son caillou dans sa chaussure Mais je tiens A louer Tous nos vains efforts Pour durer |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Sans vouloir
Te commander Viens t'asseoir A mes cotes Dans le noir Viens me trouver Sans retard Sans vouloir Te commander Ne dis rien Jusqu'a demain Il est tard Pour se chercher Des histoires Tu viendras me remercier Un peu plus tard Tu viendras m'en redemander Sans vouloir Te commander Viens me voir Je vais t'aider A y croire A effacer Ta memoire Sans vouloir Te commander Essayons De nous croiser Quelque part Entre Arrivee Et Depart Tu viendras me remercier Un peu plus tard Tu viendras m'en redemander Sans vouloir Te commander Viens t'asseoir A mes cotes Dans le noir Viens me trouver Sans retard Sans vouloir Te commander Eu egard A nos santes Dans le noir Viens me trouver Sans retard Words by Philippe Djian Music by Stephan Eicher |
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from Stephan Eicher - Louanges (1999) | |||||
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from Stephan Eicher - Louanges (1999)
Venez danser
Une dernière fois Prenez ma main Prenez mon bras Venez danser Encore une fois Souvenez-vous Souvenez-moi Accordez-moi Une dernière chance Ce n'est pas moi Qu'on récompense Elle vous dira Que je ne suis plus Tout à fait l'gars Qu'elle a connu Quand nous aurons Lavé nos fautes Nous marcherons La tête haute Et si le ciel Nous tombe dessus Nous marcherons encore La tête nue Venez danser Venez à moi Laissez-la dire Croyez en moi Elle ne sait pas Que je n'joue plus Elle ne sait pas Que je suis nu Le jour s'en vient Le jour s'en va La Dame de Coeur Ne reste pas Elle a payé Ce qui est dû Elle a été Ce qu'elle a pu |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Aurai-je le mensonge à la bouche
La main droite posée sur le cour? Serai-je habillé sous la douche Ivre-mort ou glacé de peur ? Serai-je en train de rendre l'âme Avec une parfaite inconnue Serai-je assis seul à ma table Dans la pénombres, à demi nu ? Pourrai-je te regarder en face Et te dire: "j'ai fait c'que j'ai pu" Pourrai-je seulement briser la glace Et toucher ta joue, honte bue ? Serai-je mûr pour demander grâce Aurai-je ravalé mon orgueil Ou en étoufferai-je sur place Qui peut savoir ce qu'on recueille ? Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors Aurai-je un ami à ma table Ou quelqu'un que tu n'aimeras pas Serai-je encore une fois coupable De faiblesse ou de je ne sais quoi ? Serai-je dans mon lit comme un ange Ruminant de mauvaises pensées Ou pressant la peau d'une orange Devant mes yeux pour m'éclairer Aurai-je droit à ta bienveillance Ou m'enverras-tu par le fond Plus j'y réfléchis, plus je pense Que je n'ai pas compris la leçon Comment ai-je pu séduire ton âme Autrefois, y as-tu songé ... ? Toi et ton cour invulnérable Toi et ta foutue vérité Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Aurai-je le mensonge à la bouche
La main droite posée sur le cour? Serai-je habillé sous la douche Ivre-mort ou glacé de peur ? Serai-je en train de rendre l'âme Avec une parfaite inconnue Serai-je assis seul à ma table Dans la pénombres, à demi nu ? Pourrai-je te regarder en face Et te dire: "j'ai fait c'que j'ai pu" Pourrai-je seulement briser la glace Et toucher ta joue, honte bue ? Serai-je mûr pour demander grâce Aurai-je ravalé mon orgueil Ou en étoufferai-je sur place Qui peut savoir ce qu'on recueille ? Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors Aurai-je un ami à ma table Ou quelqu'un que tu n'aimeras pas Serai-je encore une fois coupable De faiblesse ou de je ne sais quoi ? Serai-je dans mon lit comme un ange Ruminant de mauvaises pensées Ou pressant la peau d'une orange Devant mes yeux pour m'éclairer Aurai-je droit à ta bienveillance Ou m'enverras-tu par le fond Plus j'y réfléchis, plus je pense Que je n'ai pas compris la leçon Comment ai-je pu séduire ton âme Autrefois, y as-tu songé ... ? Toi et ton cour invulnérable Toi et ta foutue vérité Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Je reprends un Campari Soda
Loin sur moi la mer des nuages Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si j'existais pas Par le hublot je vois des turbines L' avion se balance doucement dans l'air Le copilote dit au microphone "On your left you can see Balpmoos in the dust." Je reprends un Campari Soda Loin sous moi la mer de brouillard Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si j'existais pas Je reprends un Campari Soda Loin sous moi la mer des nuages Le ventilateur ronronne doucement C'est comme si on n'existait pas Words and music by Dominique Grandjean |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Je compte sur les doigts
De ma main gauche Combien il reste de lunes Avant que les jours ne s'allongent Je compte sur les doigts De ma main droite Combien il reste d'etes Avant que le soleil ne se couche sans moi Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher Je verifie mes factures de telephone Dans l'espoir de voir l'avenir Peut-etre certains de ces chiffres Portent-ils chance Je cherche ma voie Sur la carte routiere de mon visage Peut-etre y a t'il des signes A chaque croisement de rides Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher J'entends le tic-tac de l'horloge Le sang boue dans mes veines Ma tete tourne Et mes mains moites J'entends le tic-tac de l'horloge Le tumulte de mon esprit Tout tourne autour de moi Mes mains transpirent Allez, fais-moi peur Je crois que j'aime ca Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de descendre Prendre un cafe Et je m'eclaircis la voix Je secoue la tete Avant de retourner Me coucher Words and music by Stephan Eicher |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
1. L'ombre de mes cils un seul regard
L'ombre de mes cils comme un rempart Le plaisir facile les amours d'un soir Meurent d'un oubli subtil dans le noeud d'un foulard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi saoul de toi 2. L'ombre de mes cris flèches invisibles L'ombre de mes cris comme une cible Les mots inutiles sourires illusoires A vos questions futiles je réponds au hasard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi 3. Ces jours-là j'ai de la peine A vivre loin loin de toi J'ai de la folie plein les veines Je bois je bois et je suis saoul de toi Combien de temps Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois et je suis saoul de toi |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
1. L'ombre de mes cils un seul regard
L'ombre de mes cils comme un rempart Le plaisir facile les amours d'un soir Meurent d'un oubli subtil dans le noeud d'un foulard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi saoul de toi 2. L'ombre de mes cris flèches invisibles L'ombre de mes cris comme une cible Les mots inutiles sourires illusoires A vos questions futiles je réponds au hasard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi 3. Ces jours-là j'ai de la peine A vivre loin loin de toi J'ai de la folie plein les veines Je bois je bois et je suis saoul de toi Combien de temps Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois et je suis saoul de toi |
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1. L'ombre de mes cils un seul regard
L'ombre de mes cils comme un rempart Le plaisir facile les amours d'un soir Meurent d'un oubli subtil dans le noeud d'un foulard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi saoul de toi 2. L'ombre de mes cris flèches invisibles L'ombre de mes cris comme une cible Les mots inutiles sourires illusoires A vos questions futiles je réponds au hasard Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois Et je suis saoul de toi 3. Ces jours-là j'ai de la peine A vivre loin loin de toi J'ai de la folie plein les veines Je bois je bois et je suis saoul de toi Combien de temps Combien de temps combien de temps Si on restait face à face sans un mot Sans une gomme qui efface Combien de temps combien de temps Et je bois je bois et je suis saoul de toi |
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Durant un long moment
Il reste silencieux Sans bouger Examine lentement Une meche de cheveux Parfumee Puis il dit C'est comme ca, c'est la vie J' vais pas en mourir Je suis trop vieux pour ca On doit s'attendre au pire Ou c'est bien fait, c'est bien fait, c'est bien fait pour soi! S'asseyant sur le lit Il s'oblige un regard Sur la Chambre Il n'y a plus rien ici Il n'y a plus que le fard Et la cendre Et il dit Voila, tout est fini Je n'avais pas tout-appris Mais sacre nom de dieu Faut-il aimer la vie Ou la jeter, la jeter, la jeter au feu? Ses yeux roulent dans le noir Sans qu'il puisse y changer Quelque chose Les voies du desespoir En pitreries se Metamorphosent Il se dit Quelle erreur ai-je commis? Vais-je finir a genoux Ou bien sur le tapis? Une femme vous tient debout Puis un jour elle, un jour elle, un jour elle vous scie! Plus tard, dans le jardin Dans la fraicheur du soir Il repense A ce qu'il aimait bien Venant d'elle ou de par Sa presence Et il dit J'en aurais bien repris! Je le dis simplement Avec humilite Te suis reconnaissant Pour tout le temps, tout le temps, tout le temps passe! |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Elle vient me voir
Elle prend grand soin de ma sante Depuis qu'elle m'a laisse tomber Je suis devenu son pauvre amour Celui qu'elle cherira toujours Et qu'elle serre contre sa poitrine Comme un Jesus tendre et sublime Baisant mon front et mes paupieres Jurant que la vie est amere Elle vient me voir Elle n'a plus peur d'etre avec moi Depuis qu'elle a ce qu'elle avait pas Je ne suis plus sa mauvaise etoile Ni son desespoir, ni son drame Et me regardant travailler Elle dit n'avoir jamais doute Qu'a mon cou, on viendrait se pendre Mais qu'elle ne pouvait plus attendre Elle vient me voir Elle vient me voir Elle a de tres jolis soupirs Quand la nuit tombe, qu'elle doit partir "Ne melange pas tout" me dit-elle "Je ne me sens pas pousser des ailes" Et sur ces mots elle disparait Je crois qu'elle n'a aucun regret Nous ne sommes ni des saints, ni des anges Il n'y a que la lumiere qui change Elle vient me voir (Merci a talent pour cettes paroles) |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Elle vient me voir
Elle prend grand soin de ma sante Depuis qu'elle m'a laisse tomber Je suis devenu son pauvre amour Celui qu'elle cherira toujours Et qu'elle serre contre sa poitrine Comme un Jesus tendre et sublime Baisant mon front et mes paupieres Jurant que la vie est amere Elle vient me voir Elle n'a plus peur d'etre avec moi Depuis qu'elle a ce qu'elle avait pas Je ne suis plus sa mauvaise etoile Ni son desespoir, ni son drame Et me regardant travailler Elle dit n'avoir jamais doute Qu'a mon cou, on viendrait se pendre Mais qu'elle ne pouvait plus attendre Elle vient me voir Elle vient me voir Elle a de tres jolis soupirs Quand la nuit tombe, qu'elle doit partir "Ne melange pas tout" me dit-elle "Je ne me sens pas pousser des ailes" Et sur ces mots elle disparait Je crois qu'elle n'a aucun regret Nous ne sommes ni des saints, ni des anges Il n'y a que la lumiere qui change Elle vient me voir (Merci a talent pour cettes paroles) |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
'S isch aben e Monsch uf Arde
Simeliberg und ds Vreneli abem Guggisbarg Und Simes Hansjoggeli anet em Barg 'S isch aben e Monsch uf Orde Und I mochte bi-n'ihm si U ma ner mir nid warde Vor Chummer stirbe n'I U stirbe n'I vor Chummer So leit me mi i'ds Grab I mines Buelis Garte Dert stoh zwoi jungi Boim Dr eini treit Muschgaate Dr andri Nageli Muschgaate die si suess U Nageli si rass I gib's mim Lieb z'versueche Das a mi nie vergass Ha Di no nid vergasse Ha immer a di dankt 'Sisch numeh zwoi Jahr vergange Das mi a'Di ha ghankt Dert unde i dr Tiefi Dert steiht as Muhlirad Das mahlet nut als Liebi Bi Nacht und ou bi Tag Das Muhlirad isch broche Und d'Liebi het es And Wenn zwoi von enangere scheide De gah si enangere d'Hand |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
'S isch aben e Monsch uf Arde
Simeliberg und ds Vreneli abem Guggisbarg Und Simes Hansjoggeli anet em Barg 'S isch aben e Monsch uf Orde Und I mochte bi-n'ihm si U ma ner mir nid warde Vor Chummer stirbe n'I U stirbe n'I vor Chummer So leit me mi i'ds Grab I mines Buelis Garte Dert stoh zwoi jungi Boim Dr eini treit Muschgaate Dr andri Nageli Muschgaate die si suess U Nageli si rass I gib's mim Lieb z'versueche Das a mi nie vergass Ha Di no nid vergasse Ha immer a di dankt 'Sisch numeh zwoi Jahr vergange Das mi a'Di ha ghankt Dert unde i dr Tiefi Dert steiht as Muhlirad Das mahlet nut als Liebi Bi Nacht und ou bi Tag Das Muhlirad isch broche Und d'Liebi het es And Wenn zwoi von enangere scheide De gah si enangere d'Hand |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Oh all diese Geschichten
Ich glaub' es ist genug Jetzt noch eine zu dichten Kennst Du mich doch zu gut Die Wahrheit ist gefrassig Die Wahrheit ist ein Tier Die Wahrheit wird nicht mude Sie lasst nicht mehr von dir Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst Ich weiss genau das bin ich An dem Du so tragst Ja Dein Gesicht liegt in Wolken Das wollte ich nicht Glaub' mir wenn ich's konnte Ich trug' es Ich trug' es fur Dich Warum nur willst Du wissen Wie alles wirklich war Am Ende sind die Lugen Doch fast genauso wahr Die Wahrheit ist ein Fieber Die Wahrheit wutet blind Die Wahrheit nimmt kein Ende Sie reisst Dich mit sich hin Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst... Ich glaub es ist genug Jetzt noch eine zu dichten Kennst du mich doch zu gut Die Wahrheit ist gefrassig Die Wahrheit ist ein Tier Die Wahrheit wird nicht mude Sie lasst nicht mehr von dir Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst... Warum nur willst du wissen Wie alles wirklich war Am ende sind die lugen Doch fast genauso wahr |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Le Monde entier
est toujours la demain de beau matin je fermerai ma porte j'irai par les chemins par les chemins rien de plus cher que les chansons que les chansons bleues Il ne suffira plus de se presser contre soi Il ne suffira plus de se presser contre soi et de sourire Je vis, je meurs je me brule et je me noie puis ca, puis la comme le vent varie comme le vent varie Il ne suffira plus de se presser contre soi Il ne suffira plus de se presser contre soi et de sourire Si je partais sans me retourner je me perdrais bientot de vue Si je partais sans me retourner je me perdrais bientot de vue Il ne suffira plus de se presser contre soi Il ne suffira plus de se presser contre soi et de sourire |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Je croise des rêves, je croise des gens,
je croise des morts et des vivants. Le jour se lève en emportant de la poussière, des ossements. Sous les mensonges, sous les tourments, la nuit s'étire, l'ombre s'étend. Petite éponge noyée de sang, ne vois-tu rien venir devant ? Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Poignée de sable qu'on voit filant, d'entre nos doigts, n'y rien pouvant. Sur son nuage va chevauchant chacun de nous cheveux au vent. Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Ce que main donne, l'autre reprend, ce que l'on tient fichera le camp. Noir dit un homme, l'autre dit blanc, il faut parfois tuer le temps. Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Je croise des rêves, je croise des gens,
je croise des morts et des vivants. Le jour se lève en emportant de la poussière, des ossements. Sous les mensonges, sous les tourments, la nuit s'étire, l'ombre s'étend. Petite éponge noyée de sang, ne vois-tu rien venir devant ? Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Poignée de sable qu'on voit filant, d'entre nos doigts, n'y rien pouvant. Sur son nuage va chevauchant chacun de nous cheveux au vent. Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Ce que main donne, l'autre reprend, ce que l'on tient fichera le camp. Noir dit un homme, l'autre dit blanc, il faut parfois tuer le temps. Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Il n'a aucune chance avec elle :
Je l'ai prévenu, Mais il veut essayer quand même : Il est têtu. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain:} Il ne m'écoute jamais. Il fait ce qui lui plaît, Car encore ne connait Ni remords, ni regrets. Inutile de le mettre en garde : Il tend les bras. Il trouve ce monde si désirable Qu'il n'attends pas. Il tient les serments, les promesses Pour de l'or pur, pour de l'airain. Trahi, il en tombe sur les fesses Mais il n'y pense plus le lendemain. {Refrain} Il bénit chaque jour qui se lève, Se frotte les mains. Il voit partout de la lumière, Même dans les coins. Il se jette la tête la première, Sans hésiter, sans prendre soin De glisser un oeil en arrière, Pour voir s'il connait le chemin. {Refrain} Si j'ai passé la nuit entière A lui parler, Au matin c'est lui qui m'enterre Pour la journee. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain} |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Il n'a aucune chance avec elle :
Je l'ai prévenu, Mais il veut essayer quand même : Il est têtu. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain:} Il ne m'écoute jamais. Il fait ce qui lui plaît, Car encore ne connait Ni remords, ni regrets. Inutile de le mettre en garde : Il tend les bras. Il trouve ce monde si désirable Qu'il n'attends pas. Il tient les serments, les promesses Pour de l'or pur, pour de l'airain. Trahi, il en tombe sur les fesses Mais il n'y pense plus le lendemain. {Refrain} Il bénit chaque jour qui se lève, Se frotte les mains. Il voit partout de la lumière, Même dans les coins. Il se jette la tête la première, Sans hésiter, sans prendre soin De glisser un oeil en arrière, Pour voir s'il connait le chemin. {Refrain} Si j'ai passé la nuit entière A lui parler, Au matin c'est lui qui m'enterre Pour la journee. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain} |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
On sait quand ça commence
Pas quand ça finira On sait qu'on a la chance Terrible d'être là Malgré ce que l'on pense De tout ce que l'on voit Même si donner un sens A tout ne se peut pas On apprend la souffrance On livre des combats Qui sont perdus d'avance Et qui n'apportent pas D'issue, de délivrance On fait n'importe quoi On a peur du silence On hurle dans les bois Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix Et vient la récompense Quand on ne l'attend pas Comme vient la pénitence Quand on tendait les bras On croit que l'on avance En reculant d'un pas On donne de l'importance A ce qui n'en a pas Butins et indulgences Qu'on porte à bout de bras énergie qu'on dépense Que rien ne nous rendra Oh stupide innocence Oh fol ... et cetera Cependant que s'avance Le jour ... et cetera Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix |
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On sait quand ça commence
Pas quand ça finira On sait qu'on a la chance Terrible d'être là Malgré ce que l'on pense De tout ce que l'on voit Même si donner un sens A tout ne se peut pas On apprend la souffrance On livre des combats Qui sont perdus d'avance Et qui n'apportent pas D'issue, de délivrance On fait n'importe quoi On a peur du silence On hurle dans les bois Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix Et vient la récompense Quand on ne l'attend pas Comme vient la pénitence Quand on tendait les bras On croit que l'on avance En reculant d'un pas On donne de l'importance A ce qui n'en a pas Butins et indulgences Qu'on porte à bout de bras énergie qu'on dépense Que rien ne nous rendra Oh stupide innocence Oh fol ... et cetera Cependant que s'avance Le jour ... et cetera Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix |
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J'attends a la riviere
Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient J'attends le nez en l'air Je n'me tords pas les mains On gagne ou bien on perd Mais c'est plutot bien Je m'en irai tout a l'heure Je reviendrai demain On n'sort pas du desert On tourne sans fin Le jour tombe et l'enfer N'est pas aussi lointain Mais je n'suis pas amer Toujours on en revient Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain Je garde les bras ouverts Le vent passe entre mes mains C'est l'heure de la priere Mais rien ne vient On finit par s'y faire Avec un peu d'entrain On sait bien qu'nos miseres Ne prennent jamais fin Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain J'attends a la riviere Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient |
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J'attends a la riviere
Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient J'attends le nez en l'air Je n'me tords pas les mains On gagne ou bien on perd Mais c'est plutot bien Je m'en irai tout a l'heure Je reviendrai demain On n'sort pas du desert On tourne sans fin Le jour tombe et l'enfer N'est pas aussi lointain Mais je n'suis pas amer Toujours on en revient Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain Je garde les bras ouverts Le vent passe entre mes mains C'est l'heure de la priere Mais rien ne vient On finit par s'y faire Avec un peu d'entrain On sait bien qu'nos miseres Ne prennent jamais fin Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain J'attends a la riviere Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient |
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Donne moi tes mains
Laisse moi te regarder Depuis que je n' ecri plus Des histoires d' Amour Je n' Arrive plus A trouver les mots Qu' il faudrait Encore une fois Sois patient avec moi Je voudrais que tu sois Patiente avec moi Esque demain Tout va recommencer Depuis queje n'ai pas eu D'histoires d' amour Je me souviene plus Si c'est aussi beau Qu' il parait Je n'ai pas l'habitude D' etre avec tois Mais sois patient avec moi Je voudrais que tu sois Patiente avec moi Sur quel chemin Vas-tu me fair aller J' ai peur d'avoir perdu Le sens de l' humour Je me sens nu Ca peut sembler idiot Comme effet Je connais ca Mais sois patient avec moi Je voudrais que tu sois Patiente avec moi |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Je ne t'entend pas très bien
il y a si longtemps d'où m'appelles tu? D'où vient ce besoin si pressant de m'écouter soudain? Les poules auraient-elles des dents? Ma voix t'a-t-elle manqué après bientôt un an? Ce serait une belle journée et il n'y en a pas tant je sais me contenter de petites choses à présent On enterre ce qui meurt on garde les bons moments j'ai eu quelquefois peur que tu m'oublies vraiment tu as sur mon humeur encore des effets gênant Mais tu ne me dois rien j'ai eu un mal de chien à me faire à cette idée à l'accepter enfin est-ce qu'au moins tu m'en sais gré? Chacun poursuit son chemin avec ce qu'on lui a donné mais toi tu ne me dois rien Tu ne m'as pas dérangé je vis seul pour l'instant mais je ne suis pas pressé tu sais, je prend mon temps tout est si compliqué tout me parait si différent On ne refait pas sa vie on continue seulement on dort moins bien la nuit on écoute patiemment de la maison les bruits du dehors l'effondrement Je vais bien cela dit appelle moi plus souvent si tu en a envie si tu as un moment mais il n'y a rien d'écrit et rien ne t'y oblige vraiment |
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Je ne t'entend pas très bien
il y a si longtemps d'où m'appelles tu? D'où vient ce besoin si pressant de m'écouter soudain? Les poules auraient-elles des dents? Ma voix t'a-t-elle manqué après bientôt un an? Ce serait une belle journée et il n'y en a pas tant je sais me contenter de petites choses à présent On enterre ce qui meurt on garde les bons moments j'ai eu quelquefois peur que tu m'oublies vraiment tu as sur mon humeur encore des effets gênant Mais tu ne me dois rien j'ai eu un mal de chien à me faire à cette idée à l'accepter enfin est-ce qu'au moins tu m'en sais gré? Chacun poursuit son chemin avec ce qu'on lui a donné mais toi tu ne me dois rien Tu ne m'as pas dérangé je vis seul pour l'instant mais je ne suis pas pressé tu sais, je prend mon temps tout est si compliqué tout me parait si différent On ne refait pas sa vie on continue seulement on dort moins bien la nuit on écoute patiemment de la maison les bruits du dehors l'effondrement Je vais bien cela dit appelle moi plus souvent si tu en a envie si tu as un moment mais il n'y a rien d'écrit et rien ne t'y oblige vraiment |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Venez danser
Une dernière fois Prenez ma main Prenez mon bras Venez danser Encore une fois Souvenez-vous Souvenez-moi Accordez-moi Une dernière chance Ce n'est pas moi Qu'on récompense Elle vous dira Que je ne suis plus Tout à fait l'gars Qu'elle a connu Quand nous aurons Lavé nos fautes Nous marcherons La tête haute Et si le ciel Nous tombe dessus Nous marcherons encore La tête nue Venez danser Venez à moi Laissez-la dire Croyez en moi Elle ne sait pas Que je n'joue plus Elle ne sait pas Que je suis nu Le jour s'en vient Le jour s'en va La Dame de Coeur Ne reste pas Elle a payé Ce qui est dû Elle a été Ce qu'elle a pu |
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from Stephan Eicher - Hotels (2001)
Venez danser
Une dernière fois Prenez ma main Prenez mon bras Venez danser Encore une fois Souvenez-vous Souvenez-moi Accordez-moi Une dernière chance Ce n'est pas moi Qu'on récompense Elle vous dira Que je ne suis plus Tout à fait l'gars Qu'elle a connu Quand nous aurons Lavé nos fautes Nous marcherons La tête haute Et si le ciel Nous tombe dessus Nous marcherons encore La tête nue Venez danser Venez à moi Laissez-la dire Croyez en moi Elle ne sait pas Que je n'joue plus Elle ne sait pas Que je suis nu Le jour s'en vient Le jour s'en va La Dame de Coeur Ne reste pas Elle a payé Ce qui est dû Elle a été Ce qu'elle a pu |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
Aurai-je le mensonge à la bouche
La main droite posée sur le cour? Serai-je habillé sous la douche Ivre-mort ou glacé de peur ? Serai-je en train de rendre l'âme Avec une parfaite inconnue Serai-je assis seul à ma table Dans la pénombres, à demi nu ? Pourrai-je te regarder en face Et te dire: "j'ai fait c'que j'ai pu" Pourrai-je seulement briser la glace Et toucher ta joue, honte bue ? Serai-je mûr pour demander grâce Aurai-je ravalé mon orgueil Ou en étoufferai-je sur place Qui peut savoir ce qu'on recueille ? Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors Aurai-je un ami à ma table Ou quelqu'un que tu n'aimeras pas Serai-je encore une fois coupable De faiblesse ou de je ne sais quoi ? Serai-je dans mon lit comme un ange Ruminant de mauvaises pensées Ou pressant la peau d'une orange Devant mes yeux pour m'éclairer Aurai-je droit à ta bienveillance Ou m'enverras-tu par le fond Plus j'y réfléchis, plus je pense Que je n'ai pas compris la leçon Comment ai-je pu séduire ton âme Autrefois, y as-tu songé ... ? Toi et ton cour invulnérable Toi et ta foutue vérité Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Ne viens pas savonner la pente Ne viens pas compliquer mon sort Mille vies ne sont pas suffisantes Mille hommes ne sont pas assez forts Reviens si je suis à ma lampe Ne reviens pas si je m'endors |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001) | |||||
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
I never leave the mirror
Until I see my father I walk like the old man One step slowly then the other I sit quietly by the window And watch them all move quickly by There's a song caught between my teeth I'm sucking on a lullaby I know what I know It only comes with time When your blood begins to feel The Pull of Sunset's tide When the winter can't stop the bloom And the end is long delayed I will show you that small room White sheets, white light Flowers on the wall Oh my bones I recall my younger days Of ignorance and days of pride But the mask can grow into the skin Until one day you just die Now I'm invisible Like a blackbirds shadow My face is yours reflected in You rippled shallow waters What we are is more precious When seen trough eyes Fed by blood that feels the pull Of sunset's tide When the winter can't stop the bloom And the end is long delayed I will show you that small room White sheets, white light Flowers on the wall Oh my bones |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
Ich hab geschworen Deine Stimme
Zumindest die vergess ich nicht Manchmal glaube ich noch immer Ich hore, wie Du mit mir sprichst Bevor die Falschungen beginnen Bevor Du untergehst im Nichts Will ich mich noch einmal erinnern Wie Du fur mich gewesen bist Nane doumala fate ba abadan Sagne nako sede man Pas pas bi gua amonesisa ligueye Dokh ngua ko bamu diekh Dein Atem schwer, die Erde leicht Die Himmel wie mit Gold beschlagen Dein Fenster leer, ein Schritt zu weit Und endlich alle Fragen hinter Dir Dein Leben war wie lose Schlingen Die keine Hand zusammenfuhrt Du warst ein Meister im beginnen Du hast Dir gerne zugehort Du bist ins Leben eingesunken Als ware's ein heisses Bad Der Liebe voll vom Dasein trunken Bis es Dich ausgespien hat Der Anfang schwer, das Ende leicht Du schaust uber den Rand der Welt Dein Kopf ist leer, ein Stuck zu weit Du weisst Dich halt nichts mehr Dich halt nichts mehr und fallst |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001) | |||||
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
Words from the mouth
Drip from the tongue Lips cover teeth And the lie is young People are selfish Life is a beast But the radio voice Knows how to give The voice is rough From shouted prayers From the bitter curse From despair It's your demon lover Who makes you weak Who kisses your hair While you sleep The melody curls Through blue violins Drums hypnotize Through ancients sins You open your heart And your arms to the sound The emptiness fills You open your mouth Here it comes Here it comes Open wide You're the road I'm walking And I'll walk on you until I realize that you carry me And I'm standing still I believed in the song When it sang in my blood I believed that together Forever was good But love is cruel And cheats more than I And will punish the fool Who cannot lie So I use my tongue Like the finest whore For four minutes My love is pure I drank the champagne That came with the rose Your love is mine The empty bottle is yours Here it comes, here it comes, turn arround |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
Oh all diese Geschichten
Ich glaub' es ist genug Jetzt noch eine zu dichten Kennst Du mich doch zu gut Die Wahrheit ist gefrassig Die Wahrheit ist ein Tier Die Wahrheit wird nicht mude Sie lasst nicht mehr von dir Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst Ich weiss genau das bin ich An dem Du so tragst Ja Dein Gesicht liegt in Wolken Das wollte ich nicht Glaub' mir wenn ich's konnte Ich trug' es Ich trug' es fur Dich Warum nur willst Du wissen Wie alles wirklich war Am Ende sind die Lugen Doch fast genauso wahr Die Wahrheit ist ein Fieber Die Wahrheit wutet blind Die Wahrheit nimmt kein Ende Sie reisst Dich mit sich hin Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst... Ich glaub es ist genug Jetzt noch eine zu dichten Kennst du mich doch zu gut Die Wahrheit ist gefrassig Die Wahrheit ist ein Tier Die Wahrheit wird nicht mude Sie lasst nicht mehr von dir Und Dein Gesicht liegt in Wolken Wahrend Du schlafst... Warum nur willst du wissen Wie alles wirklich war Am ende sind die lugen Doch fast genauso wahr |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
On sait quand ça commence
Pas quand ça finira On sait qu'on a la chance Terrible d'être là Malgré ce que l'on pense De tout ce que l'on voit Même si donner un sens A tout ne se peut pas On apprend la souffrance On livre des combats Qui sont perdus d'avance Et qui n'apportent pas D'issue, de délivrance On fait n'importe quoi On a peur du silence On hurle dans les bois Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix Et vient la récompense Quand on ne l'attend pas Comme vient la pénitence Quand on tendait les bras On croit que l'on avance En reculant d'un pas On donne de l'importance A ce qui n'en a pas Butins et indulgences Qu'on porte à bout de bras énergie qu'on dépense Que rien ne nous rendra Oh stupide innocence Oh fol ... et cetera Cependant que s'avance Le jour ... et cetera Oh iro, oh iro Oh ironie de nos danses Oh iro, oh iro Oh ironie de nos choix |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
Je les entends parler
S'eloigner dans la rue Puis tout a coup cesser Disparaitre de ma vue Les liens se sont uses Le temps nous a vaincus Plus rien a partager Que sont amis devenus ? Comme des pierres Comme la glace Comme des sourds aux fenetres d'en face Sans colere Sans grimaces Sans retour et sans perdre la face Chacun de nous le sait Chacun en est conscient Mais le vide nous effraie Et le reste est decevant La nuit nous a distraits Quelques verrez nous aidant Lucidite jamais Ne vous fait le coeur content Si l'on n'meurt pas d'un coup C'est par petits morceaux La toiture qui se troue Puis la cave qui prend l'eau Nous nous aimions beaucoup Ne nous blessons pas trop Amis je pense a vous Et murmure dans votre dos Comme des pierres Comme la glace Comme des sourds aux fenetres d'en face Sans colere Sans grimaces Sans retour et sans perdre la trace |
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from Stephan Eicher - 1000 Vies (2001)
Like a wrecking ball we rolled through this town
Into the teeth of it's contented smile Like a snake we crawled across it's feet They witched in sleep The city dreamed two drunk men walking We were hungry and the trees were bare We spat on their roots until our mouths were dry If it promised to end this nameless emptiness It went in our mouths The city dreamed of two fire eaters But if not for just one word from a friend By chance or by design I would have broken my neck On some dark stone steps Singing "any town , is a good place to die" Afraid of the kiss of getting burned on the lips I lean just close enough to light my cigarette I climb the steps with the key to my room My hands are warm My pockets are full of stolen fire Like a fisT he arcs through ancient dust Into the jaws of the beast the chrome and the rust Like a Saint who turned his back on one kind word He seldom sleeps The radio, plays a drunk man walking |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001) | |||||
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Durant un long moment
Il reste silencieux Sans bouger Examine lentement Une meche de cheveux Parfumee Puis il dit C'est comme ca, c'est la vie J' vais pas en mourir Je suis trop vieux pour ca On doit s'attendre au pire Ou c'est bien fait, c'est bien fait, c'est bien fait pour soi! S'asseyant sur le lit Il s'oblige un regard Sur la Chambre Il n'y a plus rien ici Il n'y a plus que le fard Et la cendre Et il dit Voila, tout est fini Je n'avais pas tout-appris Mais sacre nom de dieu Faut-il aimer la vie Ou la jeter, la jeter, la jeter au feu? Ses yeux roulent dans le noir Sans qu'il puisse y changer Quelque chose Les voies du desespoir En pitreries se Metamorphosent Il se dit Quelle erreur ai-je commis? Vais-je finir a genoux Ou bien sur le tapis? Une femme vous tient debout Puis un jour elle, un jour elle, un jour elle vous scie! Plus tard, dans le jardin Dans la fraicheur du soir Il repense A ce qu'il aimait bien Venant d'elle ou de par Sa presence Et il dit J'en aurais bien repris! Je le dis simplement Avec humilite Te suis reconnaissant Pour tout le temps, tout le temps, tout le temps passe! |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Got to save my life with a goodbye
Keep walking out that door Got to find me a sweet something That lifts me from the floor I didn't think this path will liead me One step from the waterfall I don't know if you want to see me If you want to see me fly or fall Got to save what's left with a goodbye Keep walking out that door Got to find me a sweet something That lifts me from the floor I came here with the circus To do the number you pay me for Went up there on the old tight rope And stumbledance for you once more Got to save what's left with a goodbye Keep walking out that door Got to find me a sweet something That lifts me from the floor |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Here I'm standing at the sea shore
Watch the waves rolling in one by one Hear them shouting, hear them roar Like some blessed animal, like a lost soul Here I'm bending against the wind Who tries to rip off the coat from my skin I reach out to old some and keep it till tonight I'll bring it to your house, so we can blow out the light [Chorus:] Hope, hope, hope keeps me alive Yes, hope, hope, hope keeps me going Here I'm sitting by the water To catch some oranges, the ones you like so much I hold my hands into salty water And try not to breathe not to scare them away Chorus Here I'm laying down at the beach And see how the rest of this day is sailing west I reach into my mouth to rip out a kiss And throw it against the horizon, hope I won't miss Chorus (Merci a Werner pour cettes paroles) |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Wenn i am Morge wider bi mer bi
De seit mi Chopf es isch verbi De weiss i gnau es muess so si Mir sotte numme zame si Wenns morge wird de tuets numm weh We d'Sunne schiint de chanis gseh Usi Gschicht da gab numm viu meh Aus oppe ne hampfle Schnee U sone hampfle Schnee die tuet nid weh Doch we d'Sunne wider untergeit U da Mond dert ubmer steit De tat j aues das da abegheit De tati aues das es witergeit Oh bitte lut mer numme a Ha di scho fasch vergasse gha Wenn i di so ghore de fahts wider a De mocht i di i mine Arme ha La mi los es wird mer zviu Chum sag, was isch das fur es Spiu Sag doch andlech was isch dis Ziu Mit dam blinde Boomerang giu I chont mer zmitz is gfrorne Lache schla Nei so chas numme witer gah Oh bitte lue mi nid so a Oh bitte chontisch jitzr gah Chontsch mi jitz alleini la Was mer gisch das schudsch mer ni U winnis buge u draie, i gsehs nid i Das opis so laars Geng no so schwar cha si Doch wes Nacht wird dank i wider dra Wid mi hesch i dine warme Arme gha Und aues faht vo vore a Sag, wo ni mi verlore ha, mi i dir verlore ha E Tufu seit mer blib no chli En Angu seit mer s'isch verbii Mochtisch no einisch mit mer zame si, Weisch was das bruch i nid |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
J'ai passe la Nuit debout
Dans le Noir et l'impatience A me souvenir de vous De vos mains, de vos Silences Ah! J'etais si jeune alors Je ne comprenais pas grand Chose Je n'aimais que votre Corps Vos joues en devenaient Roses J'ai passe dans vos genoux Plus de temps que necessaire Et votre sourire est flou Votre voix n'est plus si claire Ah! jetais aveugle alors Je marchais vers la Lumiere Je ne croyais pas a la Mort Les Mots je ne savais qu'en faire Oh ou etes-vous, ou etes-vous Maintenant que je pourrais vous aimer Ou etes-vous, ou etes-vous Maintenant que j'ai besoin de vous J'ai passe la Nuit debout A chercher votre Visage Vous aviez des Mots trop doux Je ne connaissais que la rage Ah! J'etais si fier alors Que je ne voulais rien entendre Le Desir etait si fort Que je me mordais la Langue J'ai danse, pensant a vous Apres toutes ces annees blemes Je n'ai rien trouve du tout Rien qui n'en valut la Peine Oh ou etes-vous, ou etes-vous Maintenant que je pourrais vous aimer Ou etes-vous, ou etes-vous Maintenant que j'ai besoin de vous J'ai passe la Nuit debout Loin du Bruit, du Deshonneur Loin du sang, loin du degout Et ce fut un vrai bonheur Ah! Je vous revois hier Agitant votre mouchoir Mais j'avais tellement a faire Je nourrissais tant d'espoirs |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Je croise des rêves, je croise des gens,
je croise des morts et des vivants. Le jour se lève en emportant de la poussière, des ossements. Sous les mensonges, sous les tourments, la nuit s'étire, l'ombre s'étend. Petite éponge noyée de sang, ne vois-tu rien venir devant ? Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Poignée de sable qu'on voit filant, d'entre nos doigts, n'y rien pouvant. Sur son nuage va chevauchant chacun de nous cheveux au vent. Manteau de gloire, Manteau d'argent, on va tout nu par tous les temps. Chanson pour boire, chanson seulement, pour dire le vide que l'on ressent. Ce que main donne, l'autre reprend, ce que l'on tient fichera le camp. Noir dit un homme, l'autre dit blanc, il faut parfois tuer le temps. Qu'est-ce que l'on cherche ? Qu'est-ce qu'on apprend ? Où sont les perches que l'on nous tend ? |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Il n'a aucune chance avec elle :
Je l'ai prévenu, Mais il veut essayer quand même : Il est têtu. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain:} Il ne m'écoute jamais. Il fait ce qui lui plaît, Car encore ne connait Ni remords, ni regrets. Inutile de le mettre en garde : Il tend les bras. Il trouve ce monde si désirable Qu'il n'attends pas. Il tient les serments, les promesses Pour de l'or pur, pour de l'airain. Trahi, il en tombe sur les fesses Mais il n'y pense plus le lendemain. {Refrain} Il bénit chaque jour qui se lève, Se frotte les mains. Il voit partout de la lumière, Même dans les coins. Il se jette la tête la première, Sans hésiter, sans prendre soin De glisser un oeil en arrière, Pour voir s'il connait le chemin. {Refrain} Si j'ai passé la nuit entière A lui parler, Au matin c'est lui qui m'enterre Pour la journee. Il ne veut pas de mes conseils, Me sourit d'un air entendu, Puis s'en va recevoir sa peine, Le coeur léger, la joue tendue. {Refrain} |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
J'attends a la riviere
Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient J'attends le nez en l'air Je n'me tords pas les mains On gagne ou bien on perd Mais c'est plutot bien Je m'en irai tout a l'heure Je reviendrai demain On n'sort pas du desert On tourne sans fin Le jour tombe et l'enfer N'est pas aussi lointain Mais je n'suis pas amer Toujours on en revient Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain Je garde les bras ouverts Le vent passe entre mes mains C'est l'heure de la priere Mais rien ne vient On finit par s'y faire Avec un peu d'entrain On sait bien qu'nos miseres Ne prennent jamais fin Et les blessures se ferment Et attendre n'est rien Et les larmes sont vaines Et c'est le meme refrain J'attends a la riviere Je surveille le chemin Je n'ai rien d'autre a faire Mais rien ne vient |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
Here's a word or two
To tell you I exist Here's a word for you To tell you I still do Put them in your mouth And say like I do I exist, I exist, I exist Here's a note or two To tell you that I love Here's a note for you To tell you I still do Put them in your mouth And sing like I do Yes I love, yes I love, I love Here's a song for you To tell you how live fades Here's a song for you To tell you that's OK I put it in my mouth And try to believe it's true But I don't, I don't, no I don't Here's a word or two To tell you I exist Here's a word for you To tell you I still do Put them in your mouth And say like I do I exist, I exist, I exist That's me don't be scared - Swallow |
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from Stephan Eicher - Carcassonne (2001)
I could use a lie or two
I'll keep them for me Won't use them on you Stretched here on my back Like a turtle rehearsing suicide On my knees for Prayers, songs, accusations, whatever Go out and invent Yourselves new ones That's the way it's written here That's the way That's the way it's written here On this blankets Between ashes and lost hair Wheels, powder, citylights, whatever I leave it on the nightshade Of my window While it goes on It goes: "shouting, choking, laughing", whatever While I lay here in this body Only waiting for some sleep That's the way it's written here That's the way That's the way it's written here On these blankets Between ashes and lost hair |
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from Stephan Eicher - Monsieur N (2003) | |||||
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