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from Francis Cabrel - In Extremis (2015) | |||||
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from Francis Cabrel - Des Roses & Des Orties (2008)
Deja nos villages s'eloignent
Quelques fantomes m'accompagnent Y'aura des deserts, des montagnes A traverser jusqu'a l'Espagne Et apres... Inch'allah On a de mauvaises chaussures L'argent cousu dans nos doublures Les passeurs doivent nous attendre Le peu qu'on a ils vont le prendre Et apres... Est-ce que l'Europe est bien gardee ? Je n'en sais rien Est-ce que les douaniers sont armes ? On verra bien Si on me dit, c'est chacun chez soi Moi je veux bien, sauf que chez moi Sauf que chez moi y'a rien Pas de salon, pas de cuisine Les enfants machent des racines Tout juste un carre de poussiere Un matelas jete par terre Au dessus... Inch'allah Vous vous imaginez peut-etre Que j'ai fait tous ces kilometres Tout cet espoir, tout ce courage Pour m'arreter contre un grillage Est-ce que l'Europe est bien gardee ? Je n'en sais rien Est-ce que les douaniers vont tirer ? On verra bien Si on me dit, c'est chacun chez soi Moi je veux bien, sauf que chez moi Sauf que chez moi y'a rien Je n'en sais rien On verra bien Moi, je veux bien Sauf que chez moi... La moitie d'un echafaudage J'en demande pas davantage Un rien, une parole, un geste Donnez-moi tout ce qu'il vous reste Et apres... Je n'en sais rien On verra bien Moi, je veux bien Sauf que chez moi... Deja nos villages s'eloignent... |
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from Francis Cabrel - Algo Mas De Amor (2000)
Si es verdad que la gente se ama
Si los ninos somos iguales (pues) lo vamos a lograr Es casi mas facil que cantar Hay que pedir Que nos regalen Algo mas de amor que lo normal Si la luz es la misma siempre Aunque hay pieles que ellos prefieren Lo vamos a lograr Es casi mas facil que cantar Hay que pedir Que nos regalen Algo mas de amor que lo normal Tan solo un poco mas de amor Sin frialdad Sin soledad Y sin dolor Si en la cima de nuestro sueno Ellos tratan de corromperlo Lo vamos a lograr Es muestra mision Es casi mas facil que cantar Hay que pedir Que nos regalen Algo mas de amor que lo normal Si es verdad que la gente se ama Y los ninos somos iguales (pues) lo vamos a lograr Es muestra mision Es casi mas facil que cantar Vamos a lograr Que nos regalen Algo mas de amor que lo normal |
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from Francis Cabrel - Les Durs De Poussiere (2005)
Ami cherche un autre ami perdu
Dans l'immensite des nus Visages et corps inconnus Reveur cherche a retrouver son ciel Du fond de la nuit appelle Son etoile maternelle Car il y a vingt ans un orage M'a fait tomber de mon nuage Et m'a laisse seul dans ce monde abandonne Au matin d'un lointain voyage Je suis tombe de mon nuage Je n'ai jamais senti la terre sous mes pieds Reviens, etoile aux plaines d'argent Reviens chercher ton enfant Avant qu'il ne soit geant Avant qu'il ne se brule a un feu Qu'il ne se blesse a un jeu Avant qu'il ne soit trop vieux Car il y a vingt ans un orage M'a fait tomber de mon nuage Et m'a laisse seul dans ce monde abandonne Au matin d'un lointain voyage Je suis tombe de mon nuage Je n'ai jamais senti la terre sous mes pieds Il y a vingt ans un orage M'a fait tomber de mon nuage Et m'a laisse seul dans ce monde abandonne Au matin d'un lointain voyage Je suis tombe de mon nuage |
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from Francis Cabrel - Sarbacane (2000)
Tu voudrais qu'elle t'aime
T'as change tes manieres, Tu prends des allures mondaines, Tu racontes seulement Tes voyages en premiere, En premiere. Tu veux qu'elle t'estime, Tu sors tes plus belles lectures, T'as vu des centaines de films, T'explique d'ou viennent Ces tapis sur le mur, sur le mur. Et y'a une heure ou va retentir... Le signal. Tu voudrais qu'elle reve, Tu gardes un petit doigt en l'air, Tu parles de decalages horaires, Des plages blanches A l'autre bout de la terre, De la terre. (Ou)Pourquoi pas Venise, Quand les fontaines s'allument, En dessous des lumieres grises, On pourrait danser Sur le bord des lagunes, Des lagunes. Et y'a une heure ou va retentir... Le signal, Un moment ou tu vas t'sentir... Animal, animal, animal, Animal, animal. Celui qui attend sous le deluge, Qui couche contre la porte, Celui qui crie, Qui hurle jusqu'a ce que tu sortes, Qui t'aime dans la voiture, Qui court quant tu appelles, Qui pleure, qui pleure, qui pleure ≪Mon Dieu que les femmes sont belles!≫ ≪Mon dieu, mon Dieu, mon Dieu...≫ ≪Que les femmes sont...≫ Tu voudrais qu'elle danse, Qu'il y ait des fleurs partout par terre, Et dans le grand silence, Tu te sens capable de marcher sur la mer, Sur la mer. Tu voudrais qu'elle t'aime, Tu sors tes plus belles lectures, Et t'en oublies certaines, Comme ces filles a plat posees sur tes murs, Sur tes murs. Et y'a une heure ou va retentir... Le signal, Un moment ou tu vas t'sentir... Animal, animal, animal, Animal, animal. Animal, Le signal, Le signal, Animal... |
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from Francis Cabrel - Algo Mas De Amor (2000)
Tu voudrais qu'elle t'aime
T'as change tes manieres, Tu prends des allures mondaines, Tu racontes seulement Tes voyages en premiere, En premiere. Tu veux qu'elle t'estime, Tu sors tes plus belles lectures, T'as vu des centaines de films, T'explique d'ou viennent Ces tapis sur le mur, sur le mur. Et y'a une heure ou va retentir... Le signal. Tu voudrais qu'elle reve, Tu gardes un petit doigt en l'air, Tu parles de decalages horaires, Des plages blanches A l'autre bout de la terre, De la terre. (Ou)Pourquoi pas Venise, Quand les fontaines s'allument, En dessous des lumieres grises, On pourrait danser Sur le bord des lagunes, Des lagunes. Et y'a une heure ou va retentir... Le signal, Un moment ou tu vas t'sentir... Animal, animal, animal, Animal, animal. Celui qui attend sous le deluge, Qui couche contre la porte, Celui qui crie, Qui hurle jusqu'a ce que tu sortes, Qui t'aime dans la voiture, Qui court quant tu appelles, Qui pleure, qui pleure, qui pleure ≪Mon Dieu que les femmes sont belles!≫ ≪Mon dieu, mon Dieu, mon Dieu...≫ ≪Que les femmes sont...≫ Tu voudrais qu'elle danse, Qu'il y ait des fleurs partout par terre, Et dans le grand silence, Tu te sens capable de marcher sur la mer, Sur la mer. Tu voudrais qu'elle t'aime, Tu sors tes plus belles lectures, Et t'en oublies certaines, Comme ces filles a plat posees sur tes murs, Sur tes murs. Et y'a une heure ou va retentir... Le signal, Un moment ou tu vas t'sentir... Animal, animal, animal, Animal, animal. Animal, Le signal, Le signal, Animal... |
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Samedi Soir Sur La Terre (1995)
Si j'ai bien toute ma memoire
Disait dieu dans un coin du ciel J'avais commence une histoire Sur une planete nouvelle, toute bleue Bleue, pour ne pas qu'on la confonde Je vais m'aaseoir sur le rebord du monde Voir ce que les hommes ont fait J'y avais mis des gens de passage J'avais melange les couleurs Je leur avais appris le partage Ils avaient repete par coeur "toujours" ! tous toujours dans la meme ronde Voir ce que les hommes en ont fait Je me souviens d'avoir dit aux hommes Pour chaque fille une colline de fleurs Puis j'ai plante des arbres a pommes Ou tout le monde a mordu de bon coeur Et partout, partout des rivieres profondes Je vais aller m'asseoir sur le rebord du monde Voir ce que les hommes en ont fait Soudain toute la ville s'arrete Il parait que les fleuves ont grossi Les enfants s'approchent, s'inquietent Et demandent "pourquoi tous ces bruits ?" Sans doute, dieu et sa barbe blonde Dieu qui s'est assis sue le rebord du monde Et qui pleure de le voir tel qu'il est ! Dieu qui s'est assis sue le rebord du monde Et qui pleure de le voir tel qu'il est ! |
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Les Durs De Poussiere (2005)
Colchiques dans les pres
Fleurissent, fleurissent Colchiques dans les pres C'est la fin de l'ete La feuille d'automne Emportee par le vent En rondes monotones Tombant, tourbillonnant Nuage dans le ciel S'etire, s'etire Nuage dans le ciel S'etire comme une aile La feuille d'automne Emportee par le vent En rondes monotones Tombant, tourbillonnant Chataignes dans les bois Se fendent, se fendent Chataignes dans les bois Se fendent sous nos pas La feuille d'automne Emportee par le vent En rondes monotones Tombant, tourbillonnant Et ce chant dans mon coeur Murmure, murmure Et ce chant dans mon coeur Murmure le bonheur La feuille d'automne Emportee par le vent En rondes monotones Tombant, tourbillonnant La feuille d'automne Emportee par le vent En rondes monotones Tombant, tourbillonnant |
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from Francis Cabrel - In Extremis (2015) | |||||
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from Francis Cabrel - Les Beaux Degats (2005)
Deux ou trois anges autour
Toujours en sentinelles Des papillons aux ailes lourdes De cannelle Y'a pas de raison que ce soit confidentiel Chaque fois que je te vois, que je t'appelle La vie me donne ce que j'attends d'elle Dans chaque bar, chaque coin de rue Chaque chapelle Tout le monde voit bien que sans toi Je derive au diesel Toi t'as les clefs de tout, de la Tour Eiffel C'est de la-haut que tu colores l'arc-en-ciel C'est pour ca que je t'appelle "Bonne nouvelle" J'entends les cuivres, les cordes, les cors Les violoncelles Je vois le monde loin, loin Sous mes echelles La nature a beau faire le lait, le miel Le grand, l'inestimable, l'Essentiel C'est toujours mieux sous ton ombrelle Bonne nouvelle Je me battais comme tout le monde Pour quitter mes ombres profondes Des tunnels Dans la grande course d'obstacles Je t'attendais comme un miracle Un Noel Il est venu mon jour de chance Ni en retard, ni en avance Ponctuel Quand t'as allume ton sourire J'ai pu enfin m'entendre dire La vie me donne ce que j'attends d'elle Comme ca ce serait donc moi le gars aux yeux Pleins d'etincelles Celui qui connait toutes tes couleurs de rimmel A chaque fois que nos doigts s'entremelent Est-ce que tu sens les nuages a tes semelles Et si c'etait eternel ... Dans quelque temps, dans quelques tours De carrousel Quand je t'ecrirai des mots d'amour Poivre et sel Y'a pas de raison que ce soit confidentiel Je dirai comme a chaque fois que je t'appelle La vie me donne ce que j'attends d'elle La vie me donne ce que j'attends d'elle ... Je me battais comme tout le monde ... |
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from Francis Cabrel - La Tournee des Bodegas (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Autour du blues - vol. 2 (2003) | |||||
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3:54 | ||||
from Francis Cabrel - 77/87 (1992) | |||||
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from Francis Cabrel - Carte Postale (2005) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Hors Saison (1999)
Cent ans dans la peau de l'esclave
Et juste apres cent ans de plus Chercher des miettes sous la table Avant que les blancs ne marchent dessus Dormir sous des paquets de planches Chanter seulement le dimanche Tu vois la femme noire Dans le role de la bonne Avec tout a cote Tout tordu sous bonhomme Apres ca faut pas que tu t'etonnes C'est eux qui ont fait Eux qui ont fait Son House et Charlie Patton Howlin' Worf et Blind Lemon Bien rouge le sang de l'Afrique Sur la jolie fleur du coton La toute nouvelle Amerique La belle democratie "Welcome" Bateaux deportant les villages Au bout de l'immense voyage Grave dans la memoire Pour des annees lumiere Chaque larme d'ivoire Chaque collier de fer Apres ca faut pas que tu t'etonnes C'est eux qui ont fait Eux qui ont fait Son House et Charlie Patton Howlin' Worf et Blind Lemon Toujours plaire aux marchands de fantome Elle qu'on achete et lui que l'on donne Naitre avec la peine maximum Toujours vivant dans ce que nous sommes Peuple interdit du reste des hommes Cherchent le bleu de l'ancien royaume Eux qui ont fait faut pas que ca t'etonnes Son House et Charlie Patton Blind Blake et Willie Diton Ma Rainey et Robert Johnson Howlin' Worf et Blind Lemon Son House et Charlie Patton |
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from Francis Cabrel - Carte Postale (2005)
Elle, elle sort tout droit d'une aquarelle,
Avec ses dentelles d'autrefois, Elle est belle comme un chemin de croix. Elle, les enfants l'appellent Chandelle, Parce qu'elle tremble a chaque pas, Mais le prisonnier c'est moi. Refrain: Si elle a peur, si elle a froid, moi aussi. L'hiver est fait pour que nos corps se serrent, Et se serrent sans bruit. Si elle a peur, si elle a froid, moi aussi. Chandelle je suis le premier qui l'appelle, Le premier qui lui ouvre les bras, Comme si chez nous elle n'existait pas. Et d'elle, je recois quelques nouvelles Par les oiseaux qu'elle m'envoie, "Je suis loin mais ne t'inquiete pas". (Refrain) Mais chacun de ses silences est mortel, Chacun de ses mots te porte au ciel, Hey, d'aussi loin que tu sois, Si tu m'entends, arrete-toi, Toi qui cours pour que ton corps soit transparent, Toi qui pleures que la vie te prend tout ton temps, Hey, d'aussi loin que tu sois, Si tu m'entends, arrete-toi, Chandelle, c'est ma chanson pour toi, Ma chanson pour toi. Mais Chandelle, c'est toujours le soir de Noel, Quand elle revient vers chez moi, Et meme je ne suis pas sur qu'il ait fait nuit, Entre hier et aujourd'hui. |
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from Francis Cabrel - Les Durs De Poussiere (2005)
Toi tu essaies comme les autres fous
D'arreter le temps, de le briser d'un seul coup Et tu plantes tes ongles aux pierres de sa vie Il t'emporte avec lui Au moment ou tu penses etre enfin le plus fort C'est trop tard, tu dors Alors tu reves d'etre le pretre hindou Qui encense le soir le ciel de Dien Bien Phu Mais sa voix est trop grave Mais tu as peur des croix Qui terminent ses bras Viens, change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il arrache sa vie et te soigne avec ca Change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il dechire la nuit qui coule au fond de toi Qui coule au fond de toi Alors tu prends des grains de sucre roux Et tu deviens la star des flashs, des interviews Mais tes mots sont trop hauts Et les mecs des journaux Ne les comprennent pas Leurs crayons sont trop fins Leur soleil est trop bas Et tout se brise et tu tombes aux genoux D'une horde de rats Les princes des egouts C'est leur chef qui le dit Je peux sauver ta vie Si tu couches avec moi Viens, change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il arrache sa vie et te soigne avec ca Change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il dechire la nuit qui coule au fond de toi Qui coule au fond de toi Disons qu'un jour il n'y ait plus de tabous Qu'il n'y ait plus d'interdits Ni de pretres jaloux Juste un grain dans la foule Une pierre qui roule Et tout le monde s'en fout Viens, change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il arrache sa vie et te soigne avec ca Change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il dechire la nuit qui coule au fond de toi Qui coule au fond de toi Viens, change de docteur Viens, j'en connais un meilleur Il dechire la nuit qui coule au fond de toi Qui coule au fond de toi |
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from Francis Cabrel - Carte Postale (2005)
Y a les bandes blanches qui defilent
Et ta vie qui s'accroche a son fil Tu es dans la zone rouge du compteur Mais tu ne t'occupes plus des couleurs Il faut surtout pas que tes mains tremblent Y a les troncs des arbres qui t'attendent Meme dans les passages difficiles Y a les bandes blanches qui defilent Y a le vent qui siffle sous les toles Et le cri des pneus quand tu decolles Et derriere toi la nuit qui retombe Sur le sillage etroit de ta bombe Est-ce que c'est ton cœur qui fait hurler la machine Ou bien le moteur qui bat dans ta poitrine Et qui propulse ton projectile Entre les bandes blanches qui defilent Refrain: Chauffard, chauffard Tu vois le monde autour dans des brumes liquides Et c'est pour ca que tu cours toujours sur la voie rapide Chauffard, chauffard Tu pousses la musique jusqu'au plus fort Pour pas sentir les doigts de la mort Et ni les chiens qui aboient dans leur sommeil Ni les hommes de loi que tu reveilles Tu vois quelques taches claires sur le dos des camions Quelques mots de travers sur des panneaux bidons Et ton sang fait monter les aiguilles Jusqu'au rouge des feux que tu grilles (Refrain) Tu dis que tu connais ton nom par cœur Et que tu preferes le son de ton moteur Que si jamais personne ne t'arrete T'iras te crasher sur le fond de la planete Que tu vibres quand les virages s'avancent Et que la vitesse te laisse ta chance Et que t'es jamais aussi tranquille Que quand les bandes blanches defilent (Refrain) (x2) Chauffard, chauffard, chauffard, chauffard |
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Vise le ciel (2013) | |||||
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4:42 | ||||
from Francis Cabrel - Hors Saison (1999)
Il revait de noircir des pages
D'ecrire des choses nouvelles Elle, aurait peint des paysages Et joue du violoncelle A s'aimer toujours davantage Ils ont trouve naturel Elle, le cambouis des garages Lui, les produits de vaiselle Elle posait ses doigts sur la carte Toujours du cote chaleur De temps en temps faudra qu'on parte S'embrasser ailleurs Elle ne voit pas le temps qui passe Ils prennent tellement a cœur Ces fins de semaine sur place Autour d'un bouquet de fleurs... Jamais de cris, de problemes Tout le monde peut voir comme ils s'aiment Ni double fond, ni double jeu Rien que de la lisse surface Que du collant double face Fasse le ciel qu'on soit comme eux Comme eux Ils revent d'un chambre tranquille De quelques jouets au milieu Qu'importe l'endroit ou le style Le centre-ville ou la banlieue De temps en temps faudra qu'on parte Un jour, il ecrira un peu Elle sait ou elle a range la carte Pour les jours ou ca ira mieux Jamais de cris, de problemes Tout le monde peut voir comme ils s'aiment Ni double fond, ni double jeu Rien que de la lisse surface Que du collant double face Fasse le ciel qu'on soit comme eux Comme eux |
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from Francis Cabrel - Vise le ciel (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Carte Postale (2005) | |||||
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from Francis Cabrel - Fragile (2000)
Refrain :
Cool papa cool C'est pas parce que ton reve s'ecroule Qu'il faut que tu tires dans la foule autour de toi. Cool papa cool On n'est pas fait du meme moule Toi t'es rocher, moi pierre qui roule On ne choisit pas Ta fortune eclate Tes pretres se battent Juste en bas de chez toi Ta fille se shoote Ton fils fait la route Ta maitresse recoit Y'a tes heros qui sautent Y'a des mendiants qui votent Y'a ta femme qui boit Y'a plus de cathedrales Y'a des stars en sandales Et personne les croit (Refrain) Tous les traitres t'embrassent Ton pavillon de chasse Est plein de juges hors la loi Y'a des huissiers qui sonnent Y'a dieu au telephone T'as du sang sur les doigts Le temps te bouscule Ton image brule Mais ne t'en fais pas Faut que tu comprennes Que dans dix ans a peine C'est peut-etre a moi qu'on dira... (Refrain) |
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from Francis Cabrel - Algo Mas De Amor (2000)
Noche y soledad
Como siempre en este bar Con los pies alla abajo en el polvo Y la mente niebla y nada mas En cada color te veo a ti Las curbas de tu piel En todas las salas de los aeropuertos Todos los puertos sin playa y sin sol Solo contigo vibro ya ves Cosa de equilibrio Cuando te vas me cortas las alas Y caigo lejos de ti, lejos de ti Tan lejos de ti Con los demas no puede ser Lo de volverte a ver No tengo lagrimas para mi cuerpo Las he dejado en el arroyo Me estorban los demas Los que hablan fuerte, hablar por hablar Y te veo siempre en los escaparates Y entre las botellas de saden confort Solo contigo vibro ya ves Cosa de equilibrio Cuando te vas me cortas las alas Y caigo Iqos de ti, Iejos de ti Tan lejos de ti Un nuevo trago y despues Quiero dormir Intentando estar de nuevo a tu lado Como antes me abrazabas Los demas me molestan Los que hablan fuerte, hablar por hablar Y te veo siempre en los escaparates y entre las botellas de saden confort Solo contigo vibro, ya ves Cosa de equilibrio Cuando te vas me cortas las alas Y caigo lejos de ti, lejos de ti Tan lejos de ti |
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from Autour du blues - vol. 1 (2001) | |||||
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from Francis Cabrel - Sarbacane (2000) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Les chemins de traverse (Remastered) (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Quelqu`un De L`interieur (2005)
Dame d'un soir,
Je t'imagine, sans effort. Dame d'un soir, Quand je m'endors, Laisse faire la lumiere, Laisse-toi soulever doucement, Fermes les yeux, Dehors il pleut, un peu. Tu derives, captive Vers le soleil blanc d'un nouveau jour, Quelqu'un t'attend, Au bout de l'Ocean. Dame d'un soir? Les sirenes te previennent Qu'un voilier s'approche de ton corps, Plein de rubans, Et de papillons blancs Pour tes ailes d'enfant. Nos epaules se frolent, Nos voiles se fondent au meme feu, Nos corps se glissent, Jusqu'aux plages d'Atlantis. Les sirenes te previennent Qu'un voilier s'approche de ton corps, Plein de rubans, Et de papillons blancs, Pour ton ventre d'enfant. Le silence immense, Juste la musique de ton cœur, Personne autour, Que nos haleines d'amour. Aquarelle, nouvelle, Sur des fils de laine roses et blancs, Fermes les yeux, Dehors il pleut, un peu un peu? |
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from Francis Cabrel - In Extremis (2015) | |||||
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from Hugues Aufray - New Yorker (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Hors Saison (1999)
Je t'aime depuis toujours
Et je viens seulement te dire Je t'aime pour longtemps encore Tes mots de velours Ta peau jusqu'a en eblouir Tes yeux de chercheur d'or Toutes ces nuits d'hiver Ces longues, longues journees de pluie J'en entends parler chez les autres Moi, quel que soit le ciel T'es mon eternelle eclaircie depuis toujours Et je viens seulement te dire Pour longtemps encore Le monde autour N'est rien qu'un brumeux souvenir Rien qu'un lointain decor Comme sur ces horloges Les memes aiguilles, jour et nuit S'en retournent l'une vers l'autre Moi comme tu vois Je retourne vers celle que j'aime depuis toujours Pour seulement lui dire Pour longtemps encore Meme au bout du monde C'est le meme ciel, le meme lit La meme chaleur qui m'entoure Les memes parfums Ceux qui enveloppent mes nuits depuis toujours Et je viens seulement te dire Pour longtemps encore Je retourne vers celle que j'aime Depuis toujours Oh je retourne vers celle que j'aime Depuis toujours... Depuis toujours |
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from Francis Cabrel - Fragile (2000) | |||||
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from Francis Cabrel - Des Roses & Des Orties (2008)
On serait des gens formidables
Des etres parfaits Des chanteurs charmants, charitables Humbles et discrets Contre toutes les injustices Et de tous les combats Mais on est normalement egoiste Et c'est chacun chez soi On ferait des chansons eternelles Et en quelques couplets On ferait la Terre plus belle L'homme moins mauvais Ca ferait de nous des etres rares Et comme immortels Mais on fait des petites chansons qui se fanent Et on se fane avec elles Et on se fane avec elles On se fane avec elles On ferait des chansons utiles A la societe Pour en denoncer les derives Et les absurdites Comme tirer sur un oiseau qui chante Une cartouche en plein coeur Mais on fait des petites chansons hesitantes Et on regarde ailleurs On dirait des choses essentielles Et de toute beaute Comme on serait ne avec des ailes Ca serait pas complique On aurait des mots qui touchent et qui transpercent Les traitres et les menteurs Mais on fait de petites chansons pour le commerce Et on tremble de peur On tremble de peur Et on tremble de peur On serait des artistes immenses Des divinites Consideres comme une chance Pour l'humanite Il suffirait qu'on apparaisse Pour que le monde soit heureux Mais en fait, les gens nous aiment et puis nous laissent Et c'est sans doute mieux |
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from Francis Cabrel - Des Roses & Des Orties (2008)
Vous vous etes et nous nous sommes,
Des hommes pareils, Plus ou moins nu sous le soleil, Meme cœur entre les memes epaules, Qu'est ce qu'on vous apprend a l'ecole, Si on y oublie l'essentiel, On partage le meme royaume, Ou vous vous etes et nous nous sommes, Moi j'ai des iles, j'ai des lacs, Moi j'ai trois poissons dans un sac, Moi je porte un crucifix, Moi je prie sur un tapis, Moi je regne et je decide, Moi j'ai quatre sous de liquide, Moi je dors sur des bambous, Moi je suis docteur marabout, Et nous sommes des hommes pareils, Plus ou moins loin du soleil, Blanc, noir, rouge, jaune, creole, Qu'est ce qu'on vous apprend a l'ecole, S'il manque l'essentiel, Semblable jusqu'au moindre atome, Vous vous etes et nous nous sommes, Moi je me teins et je me farde, Moi mes chiens montent la garde, Moi j'ai piege ma maison, Moi je vis sous des cartons, Moi j'ai cent ans dans deux jours, Moi j'ai jamais fait l'amour, Nous enfants, neveux et nieces, On dort tous dans la meme piece, Quel que soit le cri qu'on se donne, On nage dans le meme aquarium, On partage le meme royaume, Ou vous vous etes et nous nous sommes, Ou nous sommes des hommes pareils, Plus ou moins nus sous le soleil, Tous tendus vers l'espoir de vivre, Qu'est ce qu'on vous apprend dans les livres, S'il y manque l'essentiel, (bis) J'aime mieux ce monde polychrome, Ou vous vous etes et nous nous sommes, Des hommes pareils (x6) J'aime mieux ce monde polychrome ou nous sommes ... |
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from Francis Cabrel - Des Roses & Des Orties (2008)
Vers quel monde, sous quel regne et a quels juges sommes-nous promis ?
A quel age, a quelle page et dans quelle case sommes-nous inscrits ? Les memes questions qu'on se pose On part vers ou et vers qui? Et comme indice pas grand chose Des roses et des orties Les mains peintes, les mains jointes on se courbe et on remercie On implore, on s'inquiete et c'est trop tard quand on a comprit Malgre tout ce que l'on ose et qui parfois reussi On ne laissera pas grand chose Que des roses et des orties On est lourd, tremblant comme des flammes de bougies On hesite a chaque carrefour Dans les discours que l'on a apprit Mais puisque on est lourd Lourd d'amour et de poesie Voila la sortie de secours On se rapproche, on se reparle, on se pardonne et on reconstruit Et de ce seul monde qui vaille la peine y aura tout ce qui nous reunis Et de tout ce qui nous oppose on en sortira grandit Et si on laisse peu de choses y aura Plus de roses que d'orties On est lourd, tremblant, comme les flammes des bougies On hesite a chaque carrefour Aux discours que l'on a apprit Mais puisque on est lourd Lourd d'amour et de poesie Voila la sortie de secours |
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from Francis Cabrel - Photos de voyages (Remastered) (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Sarbacane (2000)
J'ai du dormir debout,
Pas un mot, pas un geste, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Quelque part au ciel, J'attends des nouvelles, Mais les etoiles sont floues. Il tombe autant de pluie Que tout l'amour qu'il merite, L'homme qui courait apres Lucie Est parti quand meme un peu vite. Dans les mauvaises fables, Dans les vents de sable, Le diable est partout. J'ai du dormir debout. ..Dormir debout. C'est une histoire de fous, Tout ce vide que tu laisses, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Au ciel quelque part, difficile a voir, Quand t'es K.O. debout... Des millions de lumieres, Accrochees aux barrieres, De ce temps qui gache tout, Comme des signaux pour lui dire, Qu'y a deja des rivieres, Au milieu des deserts, Et des champs de cailloux, Et qu'on lui garde surtout, Et qu'on lui garde surtout, Sa place au milieu de nous, ..Au milieu de nous... Juste au milieu de nous, Pour tout le temps qu'il nous reste, L'homme qui pouvait sauver l'amour Est parti sans laisser d'adresse. Depuis le fond du ciel, Jusqu'aux murs des hotels, Les etoiles sont floues. J'ai du dormir debout. ..Dormir debout... J'ai du dormir debout. ..Dormir debout... J'ai du dormir! ..Debout... |
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Autour du blues - vol. 2 (2003) | |||||
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from Francis Cabrel - In Extremis (2015) | |||||
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from Francis Cabrel - Vise le ciel (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Fragile (2000) | |||||
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from Francis Cabrel - Quelqu`un De L`interieur (2005) | |||||
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from Francis Cabrel - Les Beaux Degats (2005)
Elle danse sur des parquets immenses
Aussi luisants qu'un lac Confuse dans les vents qui s'amusent A sa robe qui claque Ondulant comme une flamme Ballerine, elle balance sans efforts Elle rentrera par le grand escalier Qu'elle adore Elle court par les ruelles autour Dans les rires et les flaques Legere par-dessus les barrieres Et les grilles des parcs Ondulant comme une flamme Elle s'envole au bras d'un conquistador Sur la chaise mobile Ou lourdement pese son corps Elle dort C'est l'histoire d'a peine une seconde Enfin elle peut faire comme tout le monde Poursuivre un oiseau, un ballon, un tresor Mais, Elle dort attachee a un siege Comme sur l'eau le bouchon de liege Et toujours ce fil qui la ramene au bord (1/2) Elle sort ni blessee ni fragile Ni poupee de cristal Dehors ou le monde defile A vitesse normale Ailleurs dans d'autres costumes Et debout surtout dans d'autres decors Sur la chaise mobile Ou lourdement pese son corps Elle dort Elle dort comme on plonge dans un livre Elle dort comme on commence a vivre Surtout quand le monde accelere dehors Mais, Elle dort attachee a son siege L'enfant jamais descendue du manege Elle aime ses heures brulantes ou elle pense Qu'elle danse ? ? Sur des parquets immenses Aussi luisants qu'un lac... Confuse dans les vents qui s'amusent A sa robe qui claque |
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Fragile (2000) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Des Roses & Des Orties (2008) | |||||
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from Francis Cabrel - Carte Postale (2005)
Ce soir son reve a rejoint
Le dernier wagon d'un train Elle s'en va vivre ailleurs Loin des murs gris ou elle pleure Elle connait quelqu'un Qui va croire en son histoire Et lui ouvrir le cœur Il fera bruler des mots Pour lui rechauffer la peau Et pour la couvrir de fleurs Elle s'en va vivre ailleurs Au bras d'une etoile bizarre D'une star, d'un modele, d'un chanteur Refrain: On lui a tant parle de sa vie Qu'elle veut la vivre On lui a tant parle de lui Qu'elle veut le suivre Ou peut-etre qu'elle l'a choisi Pour qu'il la delivre Elle part pour qu'il la sauve Qu'il lui dise des phrases mauves Pour qu'il l'emporte ailleurs Loin des murs gris ou elle pleure Il n'y aura que lui sur sa route Elle vivra toutes ses folies par cœur (Refrain) Tant pis si c'est un mirage L'autre cote de l'image Ne lui fait meme pas peur Elle s'en va vivre ailleurs Meme si le chanteur vit dans une autre histoire Et meme si son regard n'est qu'un miroir Qu'un miroir Qu'un miroir |
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from Francis Cabrel - Les Beaux Degats (2005)
Nous, tout petits deja durs
Tout dans nos musculatures Et toutes ces bagarres qu'il nous tarde Elles, belles, elles nous regardent Nous, ravis qu'on nous admire Nous, nos salaires, nos sourires Et tous ces defauts que l'on farde Nous, nos trophees, nos armures Nos mains en dessous des voitures Et tous ces bars qui nous retardent Elles, belles, elles nous regardent Nous, nos envies, nos hormones Nous, nos treillis verts et jaunes Nous, devant quand ca bombarde Saura-t-on jamais ce qu'elles pensent D'en haut de leurs belles patiences Est-ce qu'elles nous prennent pour ce qu'on est Des benets ... Abonnes aux bonnes manieres comme Les anniversaires fantomes Des lointains, des touristes Inconnus chez le fleuriste Nous, les bobos qui chagrinent Nous, nos corps a la medecine Pour une piqure, une echarde Elles, belles, elles nous regardent Mais nous, jamais dans les cuisines Nous, confondre vaisselle fine Avec les verres a moutarde Saura-t-on jamais ce qu'elles pensent D'en haut de leurs belles patiences Est-ce qu'elles nous prennent pour ce qu'on est Des benets ! Abonnes aux bonnes manieres comme Se garer sur les geraniums Des lointains, des touristes Inconnus chez le fleuriste Nous, perdus dans ce mystere Et puis sans elles, comment faire Alors ... Toute notre vie on bavarde D'elles, belles, qui nous regardent |
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from Francis Cabrel - La Tournee des Bodegas (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - 77/87 (1992)
D'abord nos corps qui se s?arent,
T'es seule dans la lumi?e des phares, T'entends ?chaque fois que tu respires Comme un bout de tissu qui se d?hire. Et ? continue encore et encore, C'est que le d?ut d'accord, d'accord... L'instant d'apr? le vent se d?ha?e, Les heures s'allongent comme des semaines, Tu te retrouves seule assise parterre, A bondir ?chaque bruit de porti?e. Et ? continue encore et encore, C'est que le d?ut d'accord, d'accord... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher, C'est toujours le m?e film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace. T'as personne devant... La m?e nuit que la nuit d'avant, Les m?es endroits deux fois trop grands, Et t'avances comme dans des couloirs, Tu t'arranges pour ?iter les miroirs, Mais ? continue encore et encore, C'est que le d?ut d'accord, d'accord... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher, C'est toujours le m?e film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace. T'as personne devant... T'as personne... Faudrait que t'arrives ?en parler au pass? Faudrait que t'arrives ?ne plus penser ?? Faudrait que tu l'oublies ?longueur de journ?. Dis-toi qu'il est de l'autre c??du p?e, Dis-toi surtout qu'il ne reviendra pas. Et ? fait marrer les oiseaux qui s'envolent, Les oiseaux qui s'envolent. Les oiseaux qui s'envolent. Tu comptes les chances qu'il te reste, Un peu de son parfum sur ta veste, Tu avais d?confondre les lumi?es D'une ?oile et d'un r?erb?e. Et ? continue encore et encore, C'est que le d?ut d'accord, d'accord... Et ? continue encore et encore, C'est que le d?ut d'accord, d'accord... Y'a des couples qui se d?ont, Sur les lames de ton plafond, C'est toujours le m?e film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace, T'as personne devant... personne... Quelque chose vient de tomber Sur les lames de ton plancher, C'est toujours le m?e film qui passe, T'es toute seule au fond de l'espace. T'as personne devant... personne... Y'a des couples qui se d?ont, Sur les lames de ton plafond, C'est toujours le m?e film qui passe... Le m?e film qui passe |
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from Francis Cabrel - La Tournee des Bodegas (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Photos de voyages (Remastered) (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Algo Mas De Amor (2000)
Por ella cambiarias el correr de la nubes
Y envejeceras mucho antes de tiempo La perderas mil veces en los vahos de los puertos Esta escrito Volvera herida, con olor a otro Oiras tus gritos, que el diablo se la lleve! Ella querra tu perdon y la perdonaras Esta escrito Ella esta siempre en tu memoria De dia y de noche Ella baila detras de la niebla Y tu vas buscandola Rezaras para nada, hasta Dios se ha marchado Te beberas Ios bares que te pondran delante Te pasaras las noches mirando la calle Esta escrito Ella esta siempre en tu memoria De dia y de noche Ella baila detras de la niebla Y la buscas errante Pero no hay amor sin amargura Ay! tu suenas, tu suenuas Que le gusta y que quiere ? Y porque tantas sombras en tu mirada ? Que le gusta ? Con que suena ? A quien ve ? Y porque tantos lazos atandote Con que suena ? Me contaras suspiros encajes y llantos Pero al fin diras que ya no es tan bella Y que ya bas vivido horas mas intensas Ella esta siempre en tu memoria De dia y de noche Ella baila detras de la niebla Y la buscas errante Pero no hay amor sin amargura Ay! Tu suenas, tu suenas Ella esta siempre en tu memoria Ella balla detras de la mebla Y la buscas errante Yo he vivido la misma historia Por eso cuento los dias, yo cuento los dias Por eso cuento los dias |
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Photos de voyages (Remastered) (2013) | |||||
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from Nana Mouskouri - Rendez-Vous (2011) | |||||
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from Francis Cabrel - Hors Saison (1999)
Comme j'arrivais la tete en vrac
Entre ma guitare et mon sac J'entends, malheureux ne bougez plus Ne bougez plus Le prochain pas que vous allez faire Peut vous mener droit en enfer Personne ne vous a prevenu Vous etes sur Hell nep Avenue Boulevard des papiers qui s'envolent Le vent y descend droit du pole Ca fait des chansons de travers, de travers Chanteurs aux epaules tombantes Pris dans les fougeres grimpantes Encore une averse de plus Sur Hell nep Avenue Quelques mesures de silence A l'heure ou l'autobus s'avance Aucune fille n'en descend, et le blues reprend On peut voir se creuser les rides De ceux qui attendent dans le vide Il n'y a pas de ciel par-dessus La Hell nep Avenue Personne ne vous a prevenu A cette heure-ci elle viendra plus Il n'y a pas de ciel par-dessus La Hell nep Avenue Avenue du blues, boulevard de personne On y a vu trainer Robert Johnson Jusqu'au matin grattant la misere, la misere Il reste un carre de pelouse Ou quelques silhouettes jalouses Viennent pour fleurir la statue Vous etes sur Hell nep Avenue Tendresse pendue aux pupitres Rue des fenetres sans vitres Combien d'amoureux etendus, etendus On y a tous chante une fois Une fois et puis t'oublies plus La Hell nep Avenue... Combien d'amoureux etendus Tellement, tellement de silhouettes perdues Encore une averse de plus sur la Hell nep Avenue Personne ne vous a prevenu A cette heure-ci elle viendra plus Il n'y a pas de ciel par-dessus la Hell nep Avenue... |
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from Francis Cabrel - Hors Saison (1999)
C'est le silence
Qui se remarque le plus Les volets roulants tous descendus De l'herbe ancienne Dans les bacs a fleurs Sur les balcons On doit etre hors-saison La mer quand meme Dans ses rouleaux continue Son meme theme Sa chanson vide et tetue Pour quelques ombres perdues Sous des capuchons On doit etre hors-saison Le vent transperce Ces trop longues avenues Quelqu'un cherche une adresse inconnue Et le courrier deborde Au seuil des pavillons On doit etre hors-saison Une ville se fane Dans les brouillards sales La colere oceane est trop pres Les tourments la condamnent Aux ecrans de fumee Personne ne s'eloigne du quai On pourrait tout prendre Les murs, les jardins, les rues On pourrait mettre Aux boites aux lettres nos prenoms dessus Ou bien peut-etre un jour Les gens reviendront On doit etre hors-saison La mer quand meme Dans ses rouleaux continue Son meme theme Sa chanson vide "ou es-tu ?" Tout mon courrier deborde Au seuil de ton pavillon On doit etre hors-saison... Une ville se fane Dans les brouillards sales La colere oceane est trop pres Les tourments la condamnent Aux ecrans de fumee Personne ne s'eloigne du quai |
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from Francis Cabrel - La Tournee des Bodegas (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - 77/87 (1992)
1 Si c'est vrai qu'il y a des gens qui s'aiment
Si les enfants sont tous les m?es Alors il faudra leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Juste un regard facile ?faire Un peu plus d'amour que d'ordinaire 2 Puisqu'on vit dans la m?e lumi?e M?e s'y a des couleurs qu'ils pr??ent Nous, on voudrait leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Juste un regard facile ?faire Un peu plus d'amour que d'ordinaire Juste un peu plus d'amour encore Pour moins de larmes, pour moins de vide Pour moins d'hiver 3 Puisqu'on vit dans le creux d'un r?e Avant qu' l'amour ne touche nos l?res Nous on voudrait leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Il faudra leur dire C'est comme des parfums qu'on respire Juste un regard facile ?faire Un peu plus d'amour que d'ordinaire 4 Si c'est vrai qu'il y a des gens qui s'aiment Si les enfants sont tous les m?es Alors il faudra leur dire les mots qu'on re?it C'est comme des parfums qu'on respire Il faudra leur dire |
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Vise le ciel (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Les Durs De Poussiere (2005)
Imagine une nuit d'hiver
Des arbres morts, les bras ouverts Une nuit profonde et glacee Que tu est seul a traverser Le vent a du bruler tes mains T'es presque a genoux quand soudain Dans la nuit d'hiver que tu imagines Se leve un feu sur la colline Refrain : Imagine, imagine-toi Tu as moins peur, tu as moins froid Imagine, imagine un peu Comme la premiere fois que j'ai croise ses yeux Devant chez toi tout a vieilli Tout a seche, tout a jauni Le fleuve a fini de couler Tout ca tu peux l'imaginer La terre craque et se divise Le soleil brule ta chemise Tu crois que tout va disparaitre Quand tu entends une source naitre Imagine, imagine-toi Tu as moins peur, tu as moins froid Imagine, imagine un peu Comme la premiere fois que j'ai croise ses yeux Tu fais la collection des femmes Tu a fait un lac avec leurs larmes Pour s'asseoir dans ta limousine Elles se battent, j'imagine Ton bonheur ressemble a l'hiver a un paysage a l'envers Tu as toujours peur, tu as toujours froid Puisque tu ne la connais pas Imagine, imagine-toi Tu as moins peur, tu as moins froid Imagine, imagine un peu Comme la premiere fois que j'ai croise ses yeux |
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from Francis Cabrel - In Extremis (2015) | |||||
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from Francis Cabrel - 77/87 (1992) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Les chemins de traverse (Remastered) (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Carte Postale (2005)
Quand les vents se dechirent sur les angles des toits
Des rues que je traverse a peine Quand les journees s'etirent et n'en finissent pas Je m'ennuie de chez moi Quand je sens que l'automne se consume la-bas Quand je sais que le feu devore Les berges de Garonne ou les arbres flamboient Je m'ennuie de chez moi De ce bout de terrain qui a brule ma memoire Ce petit point sur le grand canevas Qu'un grand-pere italien a choisi par hasard Y'a longtemps deja (bis) Quand le mot tambourin ne chantait que pour moi Quand je me cachais pour l'entendre La cabane du jardin, la clef du cadenas Y'a longtemps deja Lorsque j'y pense trop Lorsque mes yeux se froissent Puisque je sais qu'il existe sans moi Je mets mon cœur en haut des pilotis de glace Je continue comme ca (bis) Lorsque j'y pense trop Lorsque mes yeux se froissent Puisque je sais qu'il existe sans moi Je mets mon cœur en haut des pilotis de glace Je continue comme ca Quand je m'ennuie de chez moi |
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from Francis Cabrel - Les Durs De Poussiere (2005) | |||||
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from Zazie - L'intégraRe (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Fragile (2000) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - La Tournee des Bodegas (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - 77/87 (1992) | |||||
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from Francis Cabrel - Les chemins de traverse (Remastered) (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Les Durs De Poussiere (2005) | |||||
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from Francis Cabrel - Sarbacane (2000) | |||||
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from Francis Cabrel - Coffret 3 CD : En Public / Samedi Soir Sur La Terre / Sarbacane [box] (2016) | |||||
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from Francis Cabrel - Samedi Soir Sur La Terre (1995)
Mon enfant nue sur les galets
Le vent dans tes cheveux defaits Comme un printemps sur mon trajet Un diamant tombe d'un coffret Seule la lumiere pourrait Defaire nos repaires secrets Ou mes doigts pris sur tes poignets Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai Quoique tu fasses L'amour est partout ou tu regardes Dans les moindres recoins de l'espace Dans le moindre reve ou tu t'attardes L'amour comme s'il en pleuvait Nu sur les galets Le ciel pretend qu'il te connait Il est si beau c'est surement vrai Lui qui ne s'approche jamais Je l'ai vu pris dans tes filets Le monde a tellement de regrets Tellement de choses qu'on promet Une seule pour laquelle je suis fait Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai Quoique tu fasses L'amour est partout ou tu regardes Dans les moindres recoins de l'espace Dans le moindre reve ou tu t'attardes L'amour comme s'il en pleuvait Nu sur les galets On s'envolera du meme quai Les yeux dans les memes reflets Pour cette vie et celle d'apres Tu seras mon unique projet Je m'en irai poser tes portraits A tous les plafonds de tous les palais Sur tous les murs que je trouverai Et juste en-dessous j'ecrirai Que seule la lumiere pourrait... Et mes doigts pris sur tes poignets Je t'aimais, je t'aime et je t'aimerai |
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from Francis Cabrel - 77/87 (1992)
Y'a plusieurs mètres d'eau dans les rues de ma peine
Plusieurs tonnes de boue dans le flot de mes veines La rivière charrie les fils du téléphone Avec encore dedans mes appels qui résonnent La pluie a délavé tous les mots que j'invente Les oiseaux ont crié pour pas que tu m'entendes Aux endroits où tu étais y'a des morceaux de glace Et des arbres en travers pour ne pas que je passe Où tu iras je te suivrai Je te suivrai... Même quand tu auras fermé ta centaine de portes Même quand tu auras pleuré pour les enfants d'un autre Même quand tu auras éteint ce qui brûlait le mieux Même si tu pars plus loin que ne portent mes yeux Où tu iras je te suivrai Je te suivrai... Même au plus profond du silence Je t'entends encore me dire On s'approche du ciel Nos livres fermés se balancent J'veux pas tomber tout seul, tomber tout seul J'veux pas tomber tout seul Si tu veux j'aimerai même ceux qui te touchent Ceux qui ont le goût de toi encore plein la bouche Même ceux que tu hais, même ceux que aimes Il y'a tellement d'eau dans les rues de ma peine... Où tu iras je te suivrai Je t'entends encore me dire On s'approche du ciel J'veux pas tomber tout seul, tomber tout seul J'veux pas tomber tout seul Il a neigé partout aux rebords des fenêtres De cette ville floue de ne plus te connaître Encore combien d'hivers passeront sous ma porte Avant qu'un jour j'ose dire que j'aime quelqu'un d'autre |
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) | |||||
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from Francis Cabrel - Photos de voyages (Remastered) (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Vise le ciel (2013) | |||||
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from Francis Cabrel - Les Beaux Degats (2005) | |||||
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from Francis Cabrel - L`Essentiel / 1977-2007 (2009) |